Jeudi 2 décembre CORRECTION DE L`EVALUATION

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Jeudi 2 décembre
CORRECTION DE L’EVALUATION
INTERMEDIAIRE
1) Il s’agit d’un narrateur qui raconte à la troisième personne (« Lucien était
douillettement recroquevillé sur lui-même », lg1).
2) Il s’agit d’un point de vue interne (« il se sentait attiré vers un inconnu », lg
12).
3) On peut relever le champ lexical du bonheur (« douillettement », lg1,
« plaisait », lg 1, « détendu, heureux », lg 2, « plénitude », lg 4, « bien dans sa peau »,
lg 4/5, « heureux de vivre », lg 5, « un bonheur », lg 5). Ce champ lexical montre que
Lucien est heureux de vivre.
4) On peut relever le champ lexical de la douleur (« douleurs épouvantables »,
lg 6, « pris dans un étau », lg 6, « écrasé », lg 7, « ce mal », lg 7, « punition », lg 8,
« écartelait », lg 8, « brisait », lg 8, « coups de bâton », lg 8/9). Il y a opposition entre
ces deux champs lexicaux.
5) « Qui le submergeait » est une proposition subordonnée relative,
complément de l’antécédent « flot ».
« Qui l’entraînait loin de ses rivages familiers » est une proposition
subordonnée relative, complément de l’antécédent « un courant ».
« Comme si un carcan […] pieds » est une proposition subordonnée
conjonctive circonstancielle, complément circonstanciel de comparaison du verbe
« était ».
« Qui l’effrayait déjà » une proposition subordonnée relative, complément de
l’antécédent « un inconnu ».
6) Le lecteur pense dans un premier temps que le personnage de Lucien est un
homme qui vit des épreuves. Il est tout d’abord heureux (« il ne s’était […] heureux »,
lg 2) puis il pense subir des violences (« on brisait ses muscles », lg 8). Le lecteur
pense ensuite qu’il est en train de mourir (« je vais mourir », lg 9). Mais en fait,
Lucien est un nouveau-né en train de naître (« Lucien était né », lg 22).
7) Une nuit, je fus réveillé par des douleurs épouvantables. Je me sentis pris
dans un étau, écrasé par le poids de quelque fatalité. Quel était ce mal qui me fondait
dessus ? Et pourquoi sur moi plutôt que sur un autre ? Quelle punition m’était
infligée ? C’était comme si on m’écartelait. On brisait mes muscles à coups de bâton.
« Je vais mourir », me dis-je.
8) Le vocabulaire mélioratif donne une image positive de quelqu’un ou de
quelque chose. Le vocabulaire péjoratif donne une image négative de quelqu’un ou
de quelque chose.
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