3ème C Corrigé : Texte autobiographique. Auteur VassilisAlexakis Edition seuil Collection points Romans 1991 1. Le pronom personnel « je » 1ère personne du singulier domine dans ce texte, On ajoute le pronom réfléchi « me » Les phrases qui le montrent : « je connaissais », « Je n’avais pas l’impression que le français me trahissait », « j’avais commencé et abandonné » 2. A l’époque : GN prépositionnel CCT du verbe avoir A la veille de mon départ CCT du verbe être Ces deux indicateurs de temps permettent de situer le texte dans le temps et de préciser 3. Ces éléments indiquent qu’il s’agit d’un récit autobiographique. 4. Qui suscitaient le même genre de commentaire que mes rédactions en grec : Proposition subordonne relative complément de l’antécédent « rédaction ». Que j’avais commencé au bout de quelques pages : proposition subordonnée relative complément de l’antécédent « texte » Qui me donna envie d’écrire en francais : proposition subordonnée relative compléments de l’antécédent « auteur » 5. Que la langue française pouvait me fait rire : Proposition subordonnée complétive COD du verbe « soupçonnais » Que : conjonction de subordination 6. Le narrateur a appris le français et il le domine facilement pour pouvoir écrire des rédactions de deux ou trois pages. Cette langue lui est donc relativement familière Cependant il a des difficultés à lire des textes utilisant un vocabulaire plus difficile. Il est aussi enchanté par la langue d’Ionesco une langue simple qui le fait rire et il découvre la richesse de cette belle langue 7. Je suis arrivé : Participe passé employé avec l’auxiliaire être s’accorde en genre et en nombre avec le sujet « je » (le narrateur est un jeune homme) J’avais commencé : Participe passé employé avec l’auxiliaire avoir ne s’accorde pas avec le sujet Les mots étaient très simples : adjectif qualificatif s’accorde en genre et en nombre avec le sujet les mots Réécriture : J’ai du mal à raconter la suite de mon voyage en France. Plus d’une fois j’ai parlé de la journée du départ mais je ne suis pas encore partie. Je fus affreusement mécontente de partir. J’avais été ravie que l’évêque d’Athènes m’avait alloué une bourse afin que je puisse poursuivre mes études. Je suis donc partie et j’étais curieuse de franchir la ligne de l’horizon.