K 3 Les théories économiques Cahiers français n°280 Histoire de la

K3
Les théories économiques
Cahiers français n°280
Histoire de la pensée économique
La Documentation française, 1997
N.B. : Pour faciliter votre travail de préparation aux questions, certains ouvrages
vous seront utiles. On citera entre autres :
 Jean-Marie Albertini & Ahmed Silem, Comprendre les théories économiques,
Seuil, 2001
 Hervé Defalvard, La pensée économique néoclassique, Dunod, 2000
 Jean Bonceur et Hervé Thouément, Histoire des idées économiques, Nathan,
2000
 Gilles Jacoud et Eric Tournier, Les grands auteurs de l’économie, Hatier, 1998
 Bernard Bernier, La pensée économique contemporaine, Dunod, 2001.
Préliminaires :
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
18.
19.
20.
Qu’est-ce que le mercantilisme ? Dans quelle mesure peut-on parler d’un néomercantilisme d’inspiration keynésienne ?
Pierre de Boisguilbert, un précurseur de Jean-Baptiste Say ?
Les physiocrates étaient-ils libéraux ?
En quoi l’école classique est-elle « une école introuvable » ?
Définissez les expressions « salaires naturels », « profits naturels ».
L’état stationnaire chez les classiques.
Les critiques adressées à la notion de main invisible.
Fétichisme de la marchandise et aliénation chez Karl Marx.
Comment Karl Marx établit-il que la force de travail crée de la valeur ?
Les contradictions du système capitaliste selon Karl Marx.
Comment obtient-on l’équilibre du consommateur ?
Individualisme méthodologique et subjectivisme.
Le libéralisme d’Adam Smith et le libéralisme de Frederich Von Hayek.
L’incertitude en économie.
A quoi sert la théorie des jeux en économie ?
Le marché de la monnaie chez J.M. Keynes.
Pourquoi, selon Keynes, un équilibre de sous-emploi peut être durable ?
Courbe de Phillips : la critique de Milton Friedman.
Le théorème d’équivalence de Robert Barro.
Quel est l’apport des nouveaux keynésiens à la science économique ?
Plats de résistance :
1.
2.
3.
4.
Adam Smith est-il un auteur moderne ?
Marx était-il un auteur classique ?
Classiques et néoclassiques : ruptures et continuités.
Peut-on encore être keynésien aujourd’hui ?