CHRISTIAN MARC GENDRON Touche-à

CHRISTIAN MARC GENDRON
Touche-à-tout aussi talentueux que prolifique, Christian Marc Gendron chante,
pianote, gratte la guitare, la basse, pioche la batterie et s’adonne même à la
trompette. Aussi à l’aise dans le rock que le jazz – qui fait Pop! – le jeune artiste
maîtrise l’art de la mélodie accrocheuse comme nul autre.
Un talent d’abord reconnu par ses pairs – tant sur scène aux côtés de Stéphane
Rousseau, Roch Voisine, Sylvain Cossette, Mario Pelchat, Cindy Daniel, Bruno
Pelletier, Nanette Workman, Andrée Watters, Lucky Uke, France D’Amour, et
plusieurs autres que pour sa plume d’auteur-compositeur, notamment pour Marc-
André Fortin, Cindy Daniel, Marie-Pierre Perreault et Marie-Chantal Toupin – la
réputation de l’homme n’est pratiquement déjà plus à faire.
C’est toutefois lorsqu’il foule les planches que Christian Marc déploie sa pleine
mesure. Avec plus de 2000 représentations derrière la cravate, et une expérience
sur les grandes scènes d’ici et d’ailleurs (Viva Casino, Danse Sing, Piano Men) tout
comme les salles les plus intimes, le public pris à témoin vibre à tout coup.
Récemment, sa performance au sein de la production Crocodile Rock présentée à
Atlantic City a su séduire public (50 000 spectateurs) et critique (New York Daily
News, Philadelphia Daily News) tout à la fois qui y vu poindre le début d’un jeune
artiste des plus prometteurs de sa génération.
Et bien que s’inscrivant dans la relève 2010, la voix du jeune homme se fait
entendre depuis déjà quelque temps autant à la télé (publicité Mazda), qu’à la radio
(Puisqu’il faut se lever, 98.5 de même qu’au cinéma (Les Boys III, À vos marques
Party, Lance Et Compte – le film).
Fin prêt pour les devants de la scène, voici qu’il présente un premier gravé officiel
– précédé de deux extraits, « Do I love you (je t’aime encore) » et « Si tu veux »
qui s’accaparent déjà les premières places des palmarès radio – qui dévoilera enfin
au grand jour la finesse et le talent débordant de l’artiste à grand déploiement
qu’est Christian Marc Gendron.