livret_de_voyage_uk

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Euro class trip to England
London – Cambridge
September 20th – 23rd 2016
Programme
Mardi 20 septembre
5h45 : Rendez-vous à l’arrêt de bus 132 Rue des carrières à Ivry (arrêt Lavoisier-Carrières)
6h : Départ pour Calais (arrêt vers 9h dans une aire de repos pour le petit déjeuner à emporter ou acheter)
11h20 : Départ du Shuttle après les formalités de Douanes à Calais
10h55 (heure anglaise) : Arrivée à Folkston, (arrêt dans une aire de service pour le déjeuner à emporter ou
acheter)
14h : visite de Kew Gardens (divers parcours d’étude)
19h : rencontre avec les familles hôtesses de Harrow (« banlieue » nord ouest de Londres)
Mercredi 21 septembre
8h : Rendez-vous au point de rencontre puis trajet vers le centre de Londres en car (ne pas oublier le piquenique fourni par les familles)
10h : visite guidée du musée Flemming
Marche à travers Hyde Park et pique-nique
14h : visite du National History Museum ou du Science Museum
17h30 : reprise du car
19h : retour au point de rencontre à Harrow
Jeudi 22 septembre
8h : Rendez-vous au point de rencontre puis trajet vers le centre de Londres en car (ne pas oublier le piquenique fourni par les familles)
10h : visite libre (audioguide ou feuille de route) du centre historique et universitaire de Cambridge
13h : visites thématiques dans le jardin botanique universitaire de Cambridge
15h30 : expériences interactives au Cambridge Science Center
16h45 : reprise du car
19h : retour au point de rencontre à Harrow
Vendredi 23 septembre
8h : Rendez-vous au point de rencontre (ne pas oublier les bagages et le pique-nique fourni par les
familles)
9h : visite en groupe de 4 quartiers de Londres
Déjeuner à acheter dans Londres
14h : reprise du car en direction de Folkstone
18h20 : Départ du Shuttle après les formalités de douane
Diner pique-nique fourni par les familles hôtesses
Minuit – 1h : Arrivée à Ivry (arrêt de bus 132 Rue des carrières)
Information utiles
Mme Rétoré : 06 62 22 16 07
Famille hôte :
Lieu de rendez-vous : Harrow Leisure Centre, Christchurch Avenue, Harrow HA3 5BD
Famille hôte des professeurs : Mrs KARAH ,01923 510 410, the Oak, Carpenders Avenue
Référentiels pour les élèves de TS
Référentiel pour les thèmes 1-A-5 et thème 2-B
La plante fixée et la plante domestiquée
Je dois savoir
définir :
angiosperme
morphologie
anatomie
histologie
physiologie
photosynthèse
absorption
transpiration
pollinisation
fécondation
dissémination
tige
feuille
racine
stomate
xylème
phloème
poil absorbant
cuticule
fleur
verticille
sépale / pétale
étamine / pistil / carpelle
pollen
ovule
gamète
graine
fruit
évolution
coévolution
gène architecte
gène du développement
espèce
variété
biodiversité
croisement
génome
sélection
polyploïde
hybride
génie génétique
transgénèse
ogm
nommer :
-
les contraintes de la plante fixée
les surfaces d’échange et la nature des échanges de la plante avec l’air et le sol
les systèmes capteurs, conducteurs et transformateurs des plantes
les solutions (morphologiques ou physiologiques) des plantes pour leur croissance, leur protection, leur reproduction
les ressemblances et les différences dans l’accès à l’énergie chez les animaux et les végétaux
l’organisation florale (noms des éléments de la fleur et leur rôle) et son contrôle
les mécanismes de pollinisation et de dispersion des graines
les étapes pour réaliser un croisement et obtenir un hybride
les caractéristiques pouvant être recherchées dans une plante domestiquée
les moyens d’améliorer une espèce végétale
expliquer :
-
comment une plante se procure les éléments indispensables à sa croissance et où elle les utilise
les relations entre caractéristiques des plantes et contraintes de la vie fixée
comment certaines plantes résistent aux variations du milieu (biotique et abiotique)
quelle expression de gènes permet une certaine organisation (morphologie) florale
comment une plante peut se reproduire
ou supposer une coévolution plante/animal
comment obtenir de nouvelles plantes
représenter par un schéma :
- l’organisation fonctionnelle d’une plante
un diagramme floral
-
Je dois savoir faire
manipuler :
-
effectuer des estimations de surface d’échange
réaliser une dissection florale
communiquer :
-
par un dessin
- par un schéma fonctionnel
- par un texte argumenté
raisonner :
-
-
mettre en relation une observation et un fonctionnement
mettre en relation plusieurs documents pour expliquer un mécanisme
mettre en relation un agent pollinisateur et une plante
mettre en relation un agent disséminateur et une plante
mettre en relation une organisation florale et l’expression de certains gènes
analyser les mécanismes de survie des plantes
comparer des plantes cultivées et sauvages pour identifier les caractères sélectionnés et des modifications génétiques
Référentiel pour le thème 1-A-1, 2, 3 et 4
Génétique et Evolution
Je dois savoir
définir :
méiose
chromosomes homologues
biodiversité
primate
fécondation
brassage intrachromosomique espèce
homme
zygote
brassage interchromosomique population
singe
gamète
appariement
évolution
bipédie
génome
crossing over ou enjambement coévolution
gène
famille multigénique
gène du développement arbre phylogénétique
allèle
diploïde / haploïde/ polyploïde hétérochronie
ancêtre commun
caryotype
dominant / récessif
sélection naturelle
chromosome
trisomie / monosomie
dérive génétique
chromatide
spéciation
nommer :
- les deux phases clés de la reproduction sexuée -le comportement des chromosomes lors de la méiose
- un mécanisme créateur d’allèles
- deux mécanismes mélangeant les allèles
- des anomalies pouvant survenir lors de la méiose
- des modalités de diversification du vivant
-des exemples de diversification non génétique du vivant
- les spécificités humaines (genre Homo) chez les primates
- les dates d’apparition des premiers primates, des premiers humains
- les caractéristiques de l’ancêtre commun des hommes et des singes
expliquer :
- l’évolution de la quantité d’ADN au cours de la méiose et de la fécondation en liaison avec le comportement
des chromosomes
- le brassage intra et interchromosomique lors de la formation des gamètes en relation avec le déroulement de la méiose
- l’unicité génétique de chaque zygote, unicité résultant des brassages chromosomiques ayant lieu lors des deux phases
- comment un œuf fait du neuf (diversité génétique immense des zygotes)
- l’apparition d’anomalies chromosomiques
- le mécanisme de duplication de gène
- le lien diversification du vivant et duplication de gènes
- le lien entre chronologie et intensité d’expression de gènes et diversification du vivant
- la biodiversité comme produit et étape de l’évolution
- les limites de la notion d’espèce
- comment malgré la proximité génétique, singes et hommes sont très différents
- la parenté homme / singe
- la controverse sur l’arbre de parenté des primates
représenter par un schéma :
- le comportement des chromosomes lors de la méiose et de la fécondation (portant des allèles de gènes)
- le mécanisme de crossing over ou enjambement
- les mécanismes expliquant des anomalies chromosomiques
- l’évolution d’espèces
Je dois savoir faire
communiquer :
- par un dessin
- par un schéma fonctionnel
- par un texte argumenté
raisonner :
- ordonner et interpréter des observations microscopiques de cellules en méiose ou fécondation
- lire et interpréter des caryotypes
- effectuer une analyse statistique simple de résultats de produits de méiose et de fécondation
- proposer une histoire évolutive dans une famille multigénique
- étudier les modalités d’une diversification du vivant (avec ou sans modification du génome)
- comparer des gènes du développement pour en identifier des homologies de séquence (utiliser Anagène)
- analyser des exemples de spéciation
- relier des caractères anatomiques à un caractère (ex bipédie)
- positionner des espèces dans un arbre phylogénétique
Annales de bac sur les thèmes correspondants
GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION
Métropole session 2016 1ère PARTIE : (8 points)
SYNTHÈSE (5 points)
Les relations entre organisation et mode de vie, résultat de l’évolution : l’exemple de la vie fixée chez les plantes
Dans son ouvrage, « L’éloge de la plante » (2004), le botaniste F Hallé discute des surfaces d’échanges chez les
végétaux et animaux. « Mesurer la surface d’un végétal n’est pas chose facile […] Quelle peut être la surface aérienne
d’un arbre de 40 m de haut ? Une estimation de 10 000 m 2 (1 ha) n’est certainement pas exagérée ; la surface «
interne » permettant les échanges gazeux serait 30 fois supérieure. […]. En ce qui concerne les surfaces racinaires, les
investigations sont encore plus difficiles et les données encore plus rares : la surface souterraine d’un plant de seigle
serait 130 fois plus grande que la surface aérienne. […]. »
Exposer en quoi les structures des organes impliqués dans les échanges nutritifs externes et internes d’une
plante sont adaptées à son mode de vie fixé.
L’exposé doit être structuré avec une introduction et une conclusion et sera accompagné d’un schéma fonctionnel
synthétique.
GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION - LA PLANTE DOMESTIQUÉE
QCM (3 points) Cocher la bonne réponse, pour chaque série de propositions :
1 – La collaboration plante-animal :
□ s’exerce exclusivement lors de la pollinisation
□ s’exerce lors de la pollinisation et de la fécondation
□ s’exerce lors de la pollinisation et de la dispersion des graines
□ s’exerce exclusivement lors de la dispersion des graines
2 – Les variétés hybrides :
□ sont obtenues par transgénèse
□ combinent des caractères agronomiques des deux parents
□ résultent d’auto-croisements
□ résultent d’un processus de sélection variétale seule
3 – Les plantes OGM sont le résultat de :
□ mutations d’espèces cultivées
□ hybridations d’espèces cultivées
□ sélections variétales
□ génie-génétique
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Emirat Arabes Unis session 2013
GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION : LA VIE FIXÉE CHEZ LES PLANTES
L’organisation fonctionnelle des plantes (Angiospermes) résulte d’une histoire évolutive qui sélectionne un certain nombre de
caractéristiques répondant aux exigences d’une vie fixée à l’interface entre deux milieux, l’air et le sol.
QCM (3 points) Répondre au QCM en cochant la bonne réponse
1- La plante fixée :
☐ ne possède aucun moyen de défense contre les variations climatiques
☐ ne peut jamais se défendre contre les prédateurs
☐ peut se reproduire avec une autre plante de la même espèce
☐ peut disperser sa descendance sous forme de pollen
2- La racine :
☐ contient uniquement des vaisseaux du xylème
☐ ne contient pas de sève élaborée
☐ permet l’absorption de matière organique à partir du sol
☐ permet l’absorption d’eau et d’ions à partir du sol
3- La fleur :
☐ a une organisation contrôlée par des gènes de développement
☐ produit du pollen au niveau du pistil
☐ attire toujours des insectes pollinisateurs
☐ se transforme en graine après fécondation
Synthèse (5 points)
Les plantes ont une vie fixée, ce qui peut constituer un obstacle au moment de la reproduction sexuée.
Montrez en quoi une coopération avec des animaux permet la reproduction sexuée de certaines plantes à fleurs.
Votre exposé sera structuré et l’expression écrite soignée.
GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION- La vie fixée des plantes
Métropole Septembre 2015
La fonction de nutrition assure à un organisme sa croissance et son entretien. Elle implique des échanges.
Montrer comment les plantes, bien que fixées, assurent ces échanges à l’interface sol/air.
L’exposé doit être structuré avec une introduction et une conclusion rédigées. Le développement sera exclusivement
réalisé sous forme d’un schéma fonctionnel.
Pondichery 2013
Les végétaux terrestres sont pour la plupart des êtres vivants fixés. La vie fixée impose des contraintes.
Présentez les différentes contraintes liées à la vie fixée et les caractéristiques des végétaux terrestres qui
peuvent leur être reliées.
Votre travail sera structuré et comportera une introduction et une conclusion rédigées. Le développement sera réalisé
sous la forme d'un tableau présenté sur une double page.
2ème PARTIE – Exercice 1 (3 points)
GÉNÉTIQUE ET ÉVOLUTION
Le riz de la mousson (1)
Les caractéristiques des plantes sont en rapport avec la vie fixée.
Un espèce de riz, Oryza fluitans, est cultivée dans les zones de mousson qui peuvent subir des inondations plus ou moins durables.
Oryza fluitans résiste aux contraintes des inondations progressives et prolongées, en gardant le haut de la tige et les feuilles audessus du niveau de l’eau.
On cherche à comprendre comment la tige et les feuilles du riz Oryza fluitans sont maintenues hors de l’eau, lors des moussons.
Les palmiers du monde (2)
La famille des palmiers regroupe près de 3000 espèces différentes. D’origine tropicale, certaines espèces ont connu au cours de
leur histoire une grande extension géographique alors que d’autres sont limitées dans des milieux restreints.
À partir de l’étude des documents, identifier les facteurs qui peuvent expliquer les différences de répartition actuelle des
deux espèces de palmier étudiées.
Intérêt de la mycorhization sur la croissance et la nutrition minérale du palmier dattier (3)
Depuis dix ans, la disparition importante de palmiers dattiers dans certaines palmeraies des oasis tunisiennes menace l’équilibre de
ces écosystèmes ainsi que la production agricole de dattes.
Le sol des palmeraies étant particulièrement pauvre et aride, le succès d’une replantation nécessite donc de disposer de plantules
de palmier dattier capables de se nourrir et de croître rapidement.
À partir de l’exploitation des documents, montrer que l’association plante-champignon contribue à améliorer la croissance
et la nutrition minérale des plantules de palmier dattier et peut être ainsi utilisée dans le repeuplement des oasis.
Floraison et reproduction (4)
La plante de l’espèce Gorteria diffusa possède des inflorescences présentant une grande variété d’ornementation selon les
individus.
On étudie deux variétés, la forme « okiep » et la forme « spring ».
Chez cette espèce la reproduction se fait par pollinisation croisée (le pollen d’une inflorescence doit se déposer sur une autre
inflorescence).
À partir de la seule exploitation des documents, expliquer comment la variété « spring » a une plus grande efficacité de
reproduction que la variété « okiep ».
Les mécanismes de défenses chez les végétaux (5)
L’intégrité d’un organisme lui impose d’être capable de se défendre face aux multiples agresseurs auxquels il sera confronté au
cours de son existence.
On cherche à montrer comment les végétaux peuvent se défendre face à leurs agresseurs.
La pollinisation du baobab repose sur la collaboration entre un animal et une plante (6)
On cherche à identifier le pollinisateur.
cocher la bonne réponse dans chaque série de proposition du QCM.
Brassages chromosomiques chez la tomate (7)
Des croisements entre plants de tomates différents permettent d’obtenir des variétés qui présentent un intérêt pour l’agronomie et
la commercialisation.
On cherche à obtenir des grosses tomates dont la vitesse de maturation est compatible avec une distribution commerciale :
la maturation doit se réaliser de manière ralentie, afin d’augmenter la durée de conservation du fruit.
LA PLANTE DOMESTIQUÉE
Syndrome de domestication (1)
La sélection exercée par l’Homme sur les plantes cultivées a souvent retenu des caractéristiques différentes de celles des plantes
sauvages et favorisant leur utilisation.
On appelle « syndrome de domestication / domestication syndrome » l’ensemble des caractéristiques de la plante qui diffèrent
entre la plante sauvage et ses « ancêtres » sauvages.
À l’aide des trois documents fournis, précisez les différentes caractéristiques associées au syndrome de domestication en
comparant les blés modernes et ancestraux. Précisez ensuite, en le justifiant, la caractéristique sélectionnée qui a rendu
possible les techniques de récolte du blé.
Obtention d’une nouvelle espèce (2), Raphanobrassica
L’Homme est capable d’agir sur le génome des plantes cultivées et d’intervenir sur la biodiversité.
Mettez en évidence les étapes de l’obtention de Raphanobrassica et expliquez pourquoi elle n’est pas cultivée aujourd’hui.
QCM Annales 0
10) Bien que le concept d’espèce soit délicat à définir, on peut néanmoins considérer qu’il s’agit :
de tous les individus interféconds
d’une population ayant le même patrimoine génétique
d’une population isolée géographiquement d’autres populations
d’une population d’individus interféconds,
isolée génétiquement d’autres populations
11) Le genre Homo :
est constitué par l’homme et les grands singes actuels
correspond à un groupe d’êtres vivants dont la biodiversité est maximale à l’époque actuelle
est associé à la production d’outils complexes
est apparu il y a environ 55 à 60 millions d’année
12) Le genre Homo se distingue des autres primates par :
une bipédie occasionnelle
un dimorphisme sexuel marqué
une bipédie avec trou occipital en arrière
une bipédie avec un trou occipital avancé
13) En relation avec la vie fixée, les plantes ont développé
un système racinaire permettant des échanges de CO2 avec le sol
un système racinaire permettant des échanges d’eau avec l’atmosphère
un système aérien permettant des échanges d’ions, d’eau et de gaz avec l’air
un système aérien et un système souterrain pouvant échanger de la matière par un système vasculaire
14) Le pollen :
correspond au gamète femelle
est produit par les étamines
représente l’embryon de la future graine
est toujours transporté par les insectes
15) La collaboration animal- plante
s’exerce exclusivement lors de la pollinisation
s’exerce lors de la pollinisation et de la fécondation
s’exerce lors de la pollinisati
on et de la dispersion des graines
s’exerce lors de la pollinisation et de la dispersion des gamètes
16) Le fruit :
contient une quantité variable d’ovules
contient une quantité variable de graines
se forme seulement à partir de l’ovule
se forme avant la pollinisation
17) La technique d’hybridation
permet d’obtenir des variétés nouvelles qui cumulent les caractéristiques des 2 parents
consiste à croiser toujours 2 individus d’espèce différente
consiste à croiser 2 individus afin d’obtenir des homozygotes
est la seule technique permettant de modifier le patrimoine génétique d’une plante
Comparison with English Biology Curriculum A and AS Levels
Kew gardens
-
Compulsory spots
 The Hive: follow the Pollination Trail to learn how Kew is exploring and nurturing the special

relationship between bees and plants (pick up a leaflet)
The Rhizotron :an underground lab constructed to study the soil and its interactions with plants and
animals. Inside, an installation explains the relationships that exist between tree roots, the soil and
organisms such as nematodes, beetles, woodlice and bacteria. On the floor is a mosaic inspired by the
mutually beneficial relationships that exist between many plant roots and fungi.
-
Interesting spots
 The palm house (adaptations + domestication)
 The Mediterranean garden (from desiccation tolerance to desiccation resistance)
 Plant family beds (classification, cousinhood, evolution)
 Princess of Wales Conservatory exhibits plants in ten climatic zones
 Davies alpine house (adaptations to rough conditions)
 The Grass Garden
-
Attractions
 The Treetop Walkway via a stairway consisting of 118 steps. At the entrance to the Treetop Walkway
are sculptures carved from tree trunks illustrating microscopic elements of trees to explain how trees
grow. Leaves, for example, have breathing pores shaped like lips and tubes called ‘phloem’ pump sap
from leaves to fruits and roots.
 Japanese garden
 Marianne’s north gallery (plant painting) or Shirley Sherwood gallery of botanical art
 Marine aquarium
 Bamboo garden
 Play areas : Climbers and creepers - Log trail
Alexander Fleming Laboratory Museum
A little bit of history
Science museum
Journeys Through Medicine
This exhibition is situated on Floor 2 of the Museum between the Media Space and Energy Galleries.
Engineer Your Future
Challenge of Materials
Natural History Museum
-
Compulsory spots
 Human evolution
 Human biology
 Evolution (cladistics – phylogenic trees)
-
Interesting spots
 Earth science (subduction, collision, weathering)
 Human biology
Walking tour through Imperial College London, the only university
which focuses exclusively on science, engineering, medicine and business
Cambridge
Darwin : Zoological Museum, Sedgwick Museum of Earth science
Cambridge University Botanic Garden
Cambridge University Botanic Garden was developed by John Stevens Henslow, mentor of Charles Darwin, and
opened to the public in 1846. Many of the plants it contains have traditional uses as medicines, foods, dyes or
materials for building, writing or making clothes.
Different trails
 Compulsory
- Adaptation trail (glass house)
- Tropical economic garden (glass house)
- Genetics garden (origins of domesticated plants)
-
 Interesting
Chemical trail
Systemic beds
Healthy herbie
Chronological beds
Scented garden
Dry garden
Adaptation trail
Strategy
How this strategy works
Water uptake
Example of plant
using this strategy
Obtain water from a
permanent ground supply
Extensive shallow
lateral roots
Succulent leaves,
stems or tubers
Water storage
Allow expansion
Global shape
Waxy leaves
Few or sunken stomata
Reducing water loss
Shut stomata during the day,
C storage during the night
Few or no leaves
Creates humid microhabitat,
reduces air movement
Drop leaves during dry
period
Genetics garden
The display focuses on new crops for the future while it pays homage to the past by re-creating the hybridisation
experiments undertaken here at the Botanic Garden by Cambridge zoologist William Bateson at the turn of the
twentieth century after his re-discovery of the work of monk, Gregor Mendel. Together with collaborators R C Punnett
and Edith Saunders, Bateson’s major contribution to genetics (a word he invented) came from studies on sweet peas
(Lathyrus odoratus). They found that, remarkably, crossing a white- by a white-flowered plant gave a full-coloured
offspring and concluded that two independent genes controlled flower colour, so separating the analysis of genes from
the characters they determined.
Ancestral plant
Derivated plants
Technique used
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