-1L’Irak II : Le régime du Baas L’Irak républicain : de la fin de la monarchie au coup d’État du Baas (1958-1968) De la « politique des notables » à la « politique des régimes ». Les alliances du général Kassem Le coup de force du 14 juillet 1958 et le général Abdul Karim Kassem. Les attentes des Kurdes et des communistes. Une alliance au nom de l’irakité L’alliance de Kassem avec l’armée : répression sur communistes et renouveau de la lutte armée de Mustafa Barzani. Le mécontentement des secteurs panarabistes. Le premier putsch du parti Baas en 1963. L’impitoyable répression anticommuniste. Le retour des baasistes en juillet 1968 : le tandem Ahmad Hassan al-Bakr/Saddam Hussein. La doctrine officielle du Baas. Le Baas en Irak (1952) 1968-1979 La création d’un Front national « progressiste » rassemblant le Baas, le PCI et le PDK, en 1973. La manne pétrolière et le traité d’amitié entre l’Irak et l’Union soviétique, en 1972 = fin de l’alliance avec communistes et Kurdes. La consolidation de la açabiyya La « confessionnalisation » du Baas. -2 L’accaparement du pouvoir par des açabiyyas et le clan Takriti. L’autoritarisme comme l’issue logique et inévitable. Le triomphe de Saddam Hussein (1979-1991) La prise du pouvoir de Saddam Hussein en juillet 1979. La construction du pouvoir baassiste comme « biopouvoir » : un pouvoir qui « se situe et s’exerce au niveau de la vie, de l’espèce, de la race et des phénomènes massifs de population ». L’émergence d’un État bureaucratico-autoritaire. Saddam et les religieux chiites Le début de la confrontation entre le gouvernement et le clergé chiite. La victoire de la révolution islamique en Iran et le retour triomphal de Khomeiny à Téhéran : le Conseil suprême de la révolution islamique (CSRI, 1982). La deuxième guerre du Golfe (1991) et la rupture du régime baasiste avec la communauté chiite irakienne. Saddam Hussein et les Kurdes La loi sur l’autonomie du Kurdistan (1974) et ses limites. La question de Kirkouk. L’alliance de Barzani avec l’Iran et ses conséquences. La campagne Anfal.