MOTRICITE : SYNDROME PYRAMIDAL NEUROPSY : APHASIE Souvent du à une lésion de la voie motrice du SNC du tonus ( hypertonie spastique : cad qui survient à la langagière. mobilisation passive du muscle ), réflexes ostéo- Comment parle le patient ? tendineux extrêmement vifs, le signe de Babinski Aphasie non fluente ( PS parle peu ), logorrhée, jargon, Signe de Babinski Réflexe ostéo-tendi Est associé à : troubles de la commande motrice, trouble Trouble du langage, il faut explorer ses capacité Percussion d’un tedon à l’aide d’un marteau réflexe.La vivacité des réflexes est variable d’un individu à l’autre, la norme se voit par la symétrie des réflexes. Atteinte du SNC : réflexes augmentés. Atteinte périphérique : réflexes diminués. paraphasie ( prend un mot pour un autre ), stéréotype ( un mot ou un phonème qu’il module ). Quelle information me fait-il passer ? Comment comprendre le patient ? Tester par des ordres simples ou complexes. L’aphasie entraîne souvent des diff de compréhension ( pouvant touché que le langage complexe ou toute la Réflexes cutané plantaire, de la plante des pieds compréhension ). La compréhension n’est pas lié au au bord externe du gros orteils, la réponse est la degré d’aphasie. Enfin les mimique peuvent aider le ps a flexion du gros orteils ( dès acquisition de la se faire comprendre. marche ). Le ps peut-il lire ou écrire ? Si lésion des voies pyramidal : réflexe inversé = Atteinte du langage écrit est parfois associé au langage signe de babinski. oral. MOTRICITE : SYNDROME MYOGENE Atteinte intrinsèque des fibres musculaires Faiblesse musculaire : durée d’installation variable, de localisation variable. Si paralysie des muscles occulaires : ophtalmoplégie, si chute des paupières associées : ptosis Hypotonie : peut s’accompagner d’une diminution de la mobilité et de la force des extrémités. Atrophie ou hypertrophie : peut être en lien avec un déficit moteur. Difficultés de décontraction : myotonie, peut être majorée NEUROPSYCHOLOGIQUE 1 Apraxie : trouble de la réalisation des gestes sans qu’il y ait atteinte musculaire ou sensitif périphérique. Les troubles peuvent toucher : les gestes symboliques, l’imitation d’autrui, geste d’utilisation d’objets, prise d’un objet pour un autre, mauvaise orientation de l’objet lors de son utilisation, … Anosognosie : méconnaissance du déficit Hémiasomatognosie : le patient ne reconnaît pas son hémicorps comme lui appartenant. par le froid. Négligeance : impossibilité de réagir à des stimulis Intolérance à l’effort : accompagnée ou non par des présents dans l’espace négligé. Négligeance douleurs et des courbatures qui peuvent persistées visuospaciale, est à gauche = asymétrie dans les gestes plusieurs jours. quotidien ( installation dans le lit, fauteuil, habillage, Accès de paralysie : peuvent s’installer rapidement après toilette, repas… ) un effort ou un repas riche en glucides ; s’améliore Agnosie visuelle : trouble de la reconnaissance des objets spontanément. Paralysie périodique. sans trouble visuel. NEUROPSYCHOLOGIQUE : TROUBLES DES HEMISPHERES La nature des troubles dépend de la localisation des lésions. Hémisphère gauche : plus spécialisé dans les activités du langage et du geste. Une lésion peut donc entraîner une aphasie et une apraxie. Hémisphère droit : est plus spécialisé dans la prise en charge de l’espace corporelle et extracorporelle, et de l’attention. Les troubles seront : une négligence, une hémiasomatognosie ou une anosognosie. NEUROPSYCHOLOGIQUE 2 Syndrome frontal : rôle des lobes frontaux : contrôle du comportement social, initiation et contrôle de l’action, mise en place d’une stratégie. Donc trouble du comportement social. Trouble de l’initiative avec inhibition motrice : Le patient peut être prostré, adynamique, bougeant et parlant que sur incitation. Ou, au contraire, il peut être désinhiber, l’activité motrice peut être désordonnéee, les propos peuvent être inadaptés (plaisanteries inadaptées, proposition sexuelle), le comportement urinaire peut être touché. Trouble de la mémoire : amnésie souvent lésions frontales, temporales, thalamiques. Amnésie antérograde : incapacité à fixer les évènements récents ( qui ont eu lieu après la maladie ). Amnésie rétrograde : est rare, ne se souvient plus des évènements précèdent la maladie. Les causes : syndrome de Korsakoff (alcoolique et carentielle) ; trauma crânien ; dégénérative (Alhzeimer) ; AVC ; encéphalite. VISUELLE Examen des pupille : normalement elles ont le même diamètre. Peuvent se dilater en mydriase dans l’obscurité ; peuvent se contracter en myosis. RPM : réflexe photomoteur normal est une contraction en myosis lors d’un éclairage brutal. Un aréactivité de la pupille témoigne d’une paralysie du 3° nerf crânien. Anisocorie : inégalité du diamètre de la pupille. Hémianopsie latérale homonyme : H.L.H. = déficit unilatéral du champs visuel ( du centre jusqu’à la périphérie ) sans baisse de l’acuité visuelle. L’examen neuro : déplacement du doigt devant le ps les deux yeux ouverts puis œil par œil. Périmétrie de Goldman : exam ophtalmo détection du déplacement de la lumière. Causes : lésion des voies visuelles hémisphérique pariétale, temporales ou occipitale.