Théâtre d’Une Pièce Rue du Belvédère 20 1050 Bruxelles Tél. : 02/640 46 76 E-Mail : [email protected] DEXIA : 068-2465156-25 Direction : Bernard Lefrancq Candide, ou l’Optimisme De VOLTAIRE Adaptation et Mise en scène : Bernard Lefrancq Scénographie : Thierry Bosquet TABLE DES MATIÈRES NOTE D’INTENTION ................................................... Page 3 OBJECTIFS .............................................................................. Page 3 ORIGINALITÉ DU PROJET ............................................... Page 4 SYNOPSIS ..................................................................... Page 6 ÉLÉMENTS DE THÉÂTRALISATION........................ Page 7 DISTRIBUTION ............................................................ Page 7 CRITIQUES ................................................................... Page 8 BERNARD LEFRANCQ ............................................... Page 11 ANTOINE MOTTE ........................................................ Page 12 PHILIPE SASSOYE ....................................................... Page 13 2 Note d’intention Tout d’abord, il convient de mentionner que le théâtre d’une pièce est né grâce au théâtre littéraire de la Clarencière où il est en résidence. Ce projet nous est en partie venu à l’esprit pour célébrer les dix ans du théâtre de la Clarencière. L’adaptation de Candide au théâtre avait déjà été faite par Bernard Lefrancq en 2002 avec la « Compagnie des galeries » dans le cadre de la tournée des châteaux. Pour cela à l’époque il y avait sept comédiens et les lieux changeants chaque jours, le décor devait être adaptable à chaque endroit tout en restant parlant. Aujourd’hui, en 2010, nous aimerions avec le théâtre d’une pièce produire à nouveau cette pièce, la réadapter, et la promouvoir ainsi que les artistes belges au sein du « festival off d’ Avignon », en France. Objectifs : Par ce spectacle, nous nourrissons d’abord et avant tout la volonté de rendre l’œuvre de Voltaire accessible à un large public. Certes, nous ne sommes ni les premiers ni les derniers a avoir ce discours… En effet, le Théâtre d’une pièce est né avec la volonté de faire aimer au plus grand nombre les grands auteurs et les belles lettres. Dans ce cadre, nous tirons un plaisir énorme à adopter une démarche de médiation culturelle et parvenir à accrocher un large public avec des auteurs souvent présentés comme trop obscurs, intellectuels, ou élitistes est pour nous une vive source de satisfaction. Nous essayons de faire un travail de vulgarisateurs au sens noble du terme, c'est3 à-dire de passeurs qui permettent à tout un chacun d’accéder à la culture et à ses représentants les plus illustres. Cet état d’esprit nous a amené à concevoir les spectacles d’abord et avant tout comme des divertissements mais pas au sens vulgaire ou négativement connoté que cette acceptation peut porter aujourd’hui. En effet, nous sommes intimement persuadés que le plaisir est l’élément moteur qui va pousser le public à découvrir ou redécouvrir un auteur, une œuvre, à se déplacer pour voir une production théâtrale, à ouvrir un ouvrage pour se délecter des mots qui s’y trouvent… Tout en respectant aussi scrupuleusement que possible le texte et les indications des auteurs, nous nous employions donc à en tirer tous les ressorts aptes à captiver le spectateur et à le maintenir en haleine. C’est la démarche qui a déjà présidé à la mise en scène de « Huis clos » de Sartre ou à celle de « La leçon » d’Ionesco ou de « Vénus et trois acteurs, un drame » de Ghelderode et c’est encore celle –ci qui gouverne cette production autour de l’œuvre de Voltaire. Originalité du projet : Ce projet est intéressant à plusieurs points de vues. Candide est un classique de la littérature française qui a déjà su conquérir ses lettres de noblesse. C’est une œuvre souvent étudiée par les jeunes élèves du secondaire, toutes sections confondues, même ceux n’ayant pas une vocation littéraire. Il devenait dès lors primordial de théâtraliser ce texte pour le rendre plus accessible et peut être faire en sorte d’intéresser un public réticent à la littérature, toujours dans la démarche de « vulgarisation » que nous venons de développer. Il semblait donc opportun de faire découvrir à l’ensemble de ces 4 jeunes à la fois les arts de la scène (car leur promotion est à mes yeux un objectif fondamental) mais aussi un des plus grands auteurs français du XVIIIème. De plus, la morale délivrée par cette œuvre me parait tout à fait d’actualité. On peut faire un parallèle entre les institutions critiquées par Voltaire et celles d’aujourd’hui. Il est important de reconnaître la légitimité d’une autorité, mais il ne faut pas basculer dans une obéissance totalement passive qui peut mener au fanatisme de toute sorte. L’importance est donnée à la critique, à l’objectivité et à l’ouverture intellectuelle : « Il faut cultiver son jardin » comme dirait Candide, et non accepter les choses telles qu’elles sont : « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles », comme le dirait Pangloss. La maxime de Candide prend tout son sens dans notre époque où notamment la télévision dicte les comportements, les modes, les façons de penser, où la conscience sociale est atténuée au profit de l’individualisme. Il est important à mon sens de prendre conscience qu’il faut devenir un acteur de la vie de tous les jours, de faire des choix, de décider par soi même et non de se laisser influencer par des gens, des groupes, des idéologies. Ce message est d’autant plus fort aujourd’hui, dans un contexte de forte pression sur les personnes, de stress au travail et dans la vie, dans un contexte de mondialisation et d’inégalités économiques qui fait ressortir les indépendantismes, les extrémismes ou encore le nationalisme. Cette œuvre apparaît comme un appel à la raison, à l’échange et à la réflexion : c’est pourquoi nous aimerions jouer cette pièce en France avec une équipe de professionnels issus de Belgique, deux pays cousins entre lesquels les échanges sont fructueux. 5 Synopsis : Candide vit dans le château de son oncle, le baron de Thunder-ten-Tronckh, chez qui il vit une existence paisible et protégée. Jusqu'au jour où son oncle le renvoie, à cause d'un baiser qu'il a donné à sa cousine Cunégonde. Là, il vit une longue suite de péripéties. Il se fait tout d'abord enrôler de force dans l'armée bulgare, dont il arrive à s'enfuir. Il regagne la Hollande, et y retrouve Pangloss, son ancien précepteur, qui lui apprend que le château de son oncle a été brûlé et que Cunégonde a été violée, puis éventrée par des soldats bulgares. Pangloss et Candide partent ensuite pour le Portugal, mais le bateau qui les y conduit fait naufrage. Ils réchappent de la catastrophe, et arrivent à Lisbonne en plein tremblement de terre. Ils sauvent des vies, mais sont accusés par l'Inquisition : Pangloss est tué, et Candide flagellé. La vieille dame qui le soigne lui présente une magnifique femme : c'est Cunégonde. Elle a finalement survécu à ses tortionnaires bulgares. Candide, Cunégonde et la vieille dame embarquent pour l'Amérique latine. Arrivés sur place, ils sont obligés de se séparer, l'Inquisition ayant retrouvé la trace de Candide, qui doit donc fuir avec son valet Cacambo. Au Paraguay, Candide rencontre le frère de Cunégonde, lui aussi rescapé. Mais celui-ci refuse que Candide prenne sa sœur pour épouse : ils se battent, et Candide tue son ennemi. Candide et Cacambo partent pour un pays inconnu. Après d'autres péripéties, ils gagnent l'Eldorado, « le pays où tout va bien ». Ils veulent témoigner de ce qu'ils ont vu, ce qui les oblige donc à quitter l'Eldorado. Candide charge Cacambo de ramener Cunégonde, et tous se donnent rendezvous à Venise. Après de multiples nouvelles aventures, Candide gagne Venise, où il finit par retrouver Cacambo, qui est devenu esclave, et Cunégonde, défigurée par la maladie. Candide l'épouse tout de même. Il achète une métairie 6 et y accueille tous ses compagnons, avec la nouvelle devise selon laquelle « il faut cultiver son jardin ». Éléments de théâtralisation : Dans notre optique de « popularisation » (comme développé en première partie), et dans le respect de l’intégrité du texte, notre idée est de préparer ce spectacle dans une ambiance ludique féerique, de magnifier chacune des aventures de Candide. Nous voulons amplifier la dimension du conte, présente tout au long de l’œuvre. Il est également important de tenir le public en haleine, le rythme est soutenu par de nombreux vas et viens des comédiens, et grâce l’utilisation d’éléments de décors qui par leur nature ne représentent rien en particulier, mais qui par le jeux théâtrale deviennent parlants de réalisme et endossent plusieurs fonctions. L’emploi de la farce et du gag à aussi son importance puisqu’il s’agit d’intéresser un publique n’ayant pas d’intérêt pour les œuvres classiques. Le jeu des lumières doit rester doit rester simple pour marquer clairement chaque phases du récit et intensifier l’émotion de l’instant. Distribution : Par : Antoine Motte & Philipe Sassoye Mise en scène : Bernard Lefrancq 7 Critiques : Voici une critique de la pièce jouée en 2002 avec la compagnie des galeries, par Roger SIMONS, dans sa rubrique « Spectacles, Théâtre, Opéra », tenue sur le site de « Ciné Maniacs » (www.cinemaniacs.be) : Un texte superbe de Voltaire , adapté par Fabrice Gardin pour la tournée des Châteaux en Wallonie par la Compagnie des Galeries. Un très beau spectacle de théâtre populaire qui nous réjouit et nous entraîne dans de nombreuses aventures drolatiques, dramatiques , cruelles, amoureuses… Fabrice Gardin : J’ai essayé de reprendre le plus fidèlement et le plus sobrement possible l’intrigue, l’humeur , l’humour et la structure de Candide. Elle permet tous les possibles, aurait dit Pangloss, car tout est à inventer. Fabrice Gardin, attaché aux relations publiques du Théâtre Royal des Galeries, peut se féliciter et afficher une belle victoire car son adaptation est excellente, directe, vivante, dans un style vif et joyeux, dotée d’un texte très parlant. On sent le travail d’équipe de la Compagnie, celui des acteurs et de Bernard Lefrancq, le metteur en scène. Ce dernier apporte une grande inventivité au spectacle qui se joue dans un rythme effréné, sans le moindre temps mort. Efficace, de bon goût et farci de gags et trouvailles. Performance d’acteurs qui ont à se soucier non seulement de l’interprétation du texte, mais également de leurs nombreux changements de costumes , de perruques , de maquillage , d’accessoires et des multiples éléments de décor , décor qui se modifie rapidement par le truchement d’un toile de fond , de mâts qui se dressent sur le 8 podium (du vrai théâtre de tréteaux), d’un énorme coffre dans lequel plongent presque tous les personnages ( drôle et inventif ! ), des montées et descentes des trois marches qui donnent accès aux planches du « théâtre « dressé dans la cour de nos châteaux. Une véritable gymnastique exécutée avec brio par les comédiens du spectacle dont on peut louer le talent et la complicité : Alexandre Crépet (Candide) , Michel Poncelet, Cécile Florin, Jacqueline Paquay, Marc De Roy, Bernard Lefrancq, Jean-Paul Clerbois et Claire Tefnin. La plupart de ces acteurs ont du reste à jouer plusieurs personnages au cours de la représentation. Fabrice Gardin : Est-il raisonnable d’être optimiste ? Candide vient à se poser la question après que le baron de Thunder-ten-tronckh l’a chassé de chez lui, d’un coup de pied au derrière…Adieu la belle Cunégonde , le château de Westphalie et autres satisfactions . Commence alors un grand voyage, initiation aux horreurs du monde : guerre, tremblement de terre , gouvernement autoritaire et sévices infligés aux femmes , le tour de la planète se transforme en un répertoire des actes d’inhumanité. De quoi en sortir plus averti, donc moins candide, et plus philosophe. A souligner encore les illustrations sonores et le choix musical de qualité (musiques de films et grands classiques). Lumières simples mais précises (huit spots dressés dans la cour du château) Je le répète du théâtre populaire qui se déplace chaque jour pour donner l’envie aux habitants des régions visitées de « refaire « connaissance avec Voltaire, et peut-être avoir l’envie de (re)lire son roman, mais également de tomber en amour pour le théâtre. Un spectacle à voir qui ne pourra que vous amuser, dérider, enchanter, régaler, plaire… 9 Un mot de Fabrice Gardin lors d’une interview, à propose de Bernard Lefrancq : Tu avais déjà adapté le Candide de Voltaire pour la tournée des châteaux et aussi Le Tour du Monde en 80 Jours de Jules Verne. Pour Candide, c’est différent. C’était une idée qui me trottait en tête et que j’ai proposée à David pour la « Tournée des châteaux ». Je savais au départ que je devais faire un spectacle pour 7 comédiens, je savais que c’était un tréteau et du plein air, pas de décor et très peu d’accessoires puisqu’on changeait tous les x jours de lieu et – point très important – je savais que c’était Bernard Lefrancq qui mettrait en scène. Bernard a une créativité et une inventivité extraordinaires. On peut lui dire de monter un spectacle sans rien. Je me souviens par exemple, qu’il a transformé un tabouret en bateau, et les gens y croyaient… Je savais qu’à certains endroits de mon texte il y avait des vides qui seraient comblés pat l’invention de Bernard. Ce fut à nouveau une aventure passionnante, bien que, à ce qu’on m’a dit, j’étais quand même très très blanc lors de la Première (rires). Pour toute expérience, je n’avais alors écrit que 2 petits textes pour Marc De Roy dans La Revue, mais ce n’étaient là que de petits moments dans un grand spectacle. Ce n’est pas pareil. Cette écriture de textes pour La Revue est une excellente école : cela ne dure que 2 minutes 30 et ça doit tenir la route, ça doit faire rire ou au moins sourire. J’ai participé à 3 « Revue des Galeries » et Candide c’était au milieu de cette période-là. 10 Bernard Lefrancq : Bernard LEFRANCQ a été élève chez Louis Verlant et régisseur au Théâtre du Parc, il a également obtenu un Premier Prix au Conservatoire de Bruxelles dans la classe d’André Debaar. Il a joué dans de nombreuses pièces au Théâtre des Galeries dont La Dame de chez Maxim, Le Mariage de Melle Beulemans, Dix petits Nègres, La Puce à l’Oreille, Tailleur pour Dames, Drôle de Couple, Beaucoup de Bruit pour rien, Croque-Monsieur, La Chatte sur un Toit brûlant, Cyrano de Bergerac, Témoin à charge, A chacun sa vérité,… Bernard Lefrancq a mis en scène Le Triomphe de l’Amour, Les Folies amoureuses, le Système Ribadier, Bougnol se marie, Chat en Poche, Le Barbier de Séville, Le Malade Imaginaire, Candide, L’Avare, Madame Sans-Gêne et Monsieur Chasse pour la Tournée des Châteaux et C’est encore mieux l’Aprèsmidi, Un Chapeau de Paille d’Italie, Itinéraire bis et Madame Sans-gêne au Théâtre des Galeries. Il a joué et mis en scène de nombreux autres spectacles dans des lieux très différents. Comédien de La Revue, il en est également co-auteur et co-metteur en scène. Collaborateur et partenaire actif du théâtre de la Clarencière depuis sa création en 2000, il a mis en scène plusieurs spectacles s'adressant aux adolescents : Huis clos de Sartre, La leçon de Ionesco, Vénus de Ghelderode, ... Ses débuts de carrière ont été réalisés dans le secteur Jeune public avec notamment plusieurs années de tournées aux côtés de Frédéric Latin. Il y revient aujourd'hui, convaincu que le théâtre doit initier les plus petits et pour cette raison il prend la suite de Tristan Moreau – indisponible pour le moment -,pour la continuité du spectacle Igor, l'ourson qui venait du froid de Fabienne Govaerts en sélection aux rencontres jeune Public de Huy en août 2010. 11 Antoine Motte : Antoine MOTTE DIT FALISSE Allée des platanes, 17 4600 VISE 04/379.41.81 0494/69.85.66 Né le 15 octobre 1989 Étudiant : Conservatoire Royal de Bruxelles : Section « Théâtre – Art de la parole ». ÉTUDES Athénée Royal de Visé de 2001 à 2005 en section latin-sciences. Athénée Royal de Fragnée de 2005 à 2007 en section « Français parlé – Art de la parole » 6 années de théâtre à l’académie César Franck de Visé Troisième Bachelor au Conservatoire Royal de Bruxelles section « Théâtre – Art de la parole » début septembre 2007 EXPERIENCE PROFESSIONNELLE Isis (Lecture spectacle) de Nawal El Saadawi, à l’occasion de la remise du Doctor Honoris Causa de la VUB/ULB, mis en scène par Patricia Houyoux Les midis de la poésie 2009, mis en scène par Jacques Neefs « Chat et souris », saison 2009-2010, au théâtre royal des Galeries, mis en scène par Bernard Lefranc « En attendant Godot », saison 2009-2010, au théâtre des Martyrs, mis en scène par Elvire Brison. « Igor, l’ourson qui venait du froid … « , aux Rencontres sélection Jeune public de Huy et pour les saisons 2010 et 2011 – mise en scène de Bernard lefrancq. 12 Philippe SASSOYE : Depuis 1971, il écrit et présente ses textes lors de soirées poétiques ou de soirées de cabaret, dont une au Palais des Beaux Arts en 1976. De 1974 à 1985, en tant que responsable et président d'un groupe de jeunes, il anime plusieurs soirées poétiques sur des thèmes variés : poètes belges, grecs, chinois, humoristes, etc. Après cinq ans de cours d'Art Dramatique, de 1986 à 1991, dans la classe de Danièle Munter, il se lance dans l'aventure du théâtre en jouant dans de nombreuses troupes à raison de environ trois spectacles par an. En 1990, après cinq ans de cours dans la classe de Alain Miniot, il obtient la médaille du Gouvernement en Déclamation. Depuis 1991, il est animateur de théâtre et de déclamation lors de stages d'été pour jeunes et adultes organisés par son épouse, Dany Dufrane, dans le cadre de découvertes de l'art. Ces stages portent sur des activités artistiques diverses et sont une initiation au théâtre, à l'expression corporelle, à la danse, à la peinture, à la sculpture et à la musique. Il fait partie du jury pour le Trophée Provincial lors de la saison 1991-1992. Depuis 1993, il continue ses activités théâtrales en temps que comédien mais également en temps que metteur en scène. Lors de la saison 1993 - 1994, il est chargé de cours d'initiation au théâtre à Berchem-Sainte-Agathe. En mai 1995, il anime, avec son épouse, un stage d'initiation au théâtre pour adultes dans le cadre de la semaine du théâtre amateur organisée par la Fédération Nationale des Compagnies Dramatiques. En mai 1996, pour la même fédération, il anime un stage sur Jean de Lafontaine. 13 En 1996, la pièce écrite par lui Les Zigotos, une adaptation des Rustres de Goldoni, est présentée à Bruxelles. En mars 1998, et dans le cadre du centième anniversaire de la naissance de l'auteur, il présente, à Berchem-Sainte-Agathe, sa mise en scène de La Farce des Ténébreux de Michel de Ghelderode. A cette fin, il dessine les décors, les costumes et les masques et se charge, avec la troupe, de la réalisation de ceux-ci. Cette pièce est sélectionnée pour la finale du Trophée National et remporte la médaille de bronze de la Fédération et la médaille d'argent du concours. Cette pièce reçoit également le prix d'Excellence avec félicitations du Jury au concours régional (COCOF). En mars 2000, Précieuses et Ridicules, pièce recomposée au départ de scènes prises dans le répertoire de Molière, obtient un prix d’Excellence avec félicitations du Jury au concours de la COCOF. Pour le Festival de Spa d’août 2000, le Théâtre des Sources fait appel à lui pour jouer deux rôles dans leur création de Les Précieuses ridicules de Molière. En 2006-2007, il tient le rôle du professeur dans une autre production du Théâtre littéraire de la Clarencière : La Leçon d’Eugène Ionesco déjà avec Frédérique Panadero dans une mise en scène de Bernard Lefrancq. En outre, il donne également des cours d’Arts de la Parole à Woluwe StLambert. 14