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Psychologie
I. Terminologie :
Psychologie vient du grec, psycho et logos qui signifient science de l’âme. Objet du
discours rationnel = âme (qui vient de anima en latin : esprit et psyché en grec qui est une
héroïne d’un conte et un miroir) l’âme qui est le miroir de l’être humain.
La psychologie est un terme récent fabriqué par les savants du 16ème siècle, mais c’était de
l’animisme ou encore de l’astrologie ou encore l’intention des dieux envers les hommes ou le
contact avec les morts. Cette dimension a disparu et les psychologues ne croient plus en l’âme
humaine mais à l’analyse des comportements humains.
A. Définition
Sens populaire :
- Connaissance spontanée des pensées, des sentiments, des émotions d’autrui. Double
vérité derrière le mot autrui, comprendre les autres mais aussi se connaître soi-même
dans la dynamique avec l’autre.
- Mentalité, ou état d’esprit, cela engendre aussi les préjugés sur les autres.
Sens scientifique :
- Connaissance rationnelle du comportement des êtres vivants, des animaux et des êtres
supérieurs. Aujourd’hui la pratique sur les êtres supérieurs (rats, chimpanzé) est
réglementée. Avec l’être humain, c’est les pathologies ou accident (càd le domaine
clinique) qui permettent de déceler les mécanismes qui aide à la connaissance du
psychologique.
- La psychologie scientifique ne considère pas l’être humain à part mais parmi les
espèces animales, en comparaisons avec les animaux supérieurs.
La psychologie est bien une science qui utilise des méthodes scientifiques, des labos, des
enquêtes. Elle adopte une attitude d’objectivation. Même si cela est difficile en prenant compte
du spirituel de l’homme.
B. Le conflit épistémologique des sciences humaines :
Basé au départ sur un schéma d’explication causale critiqué par les phénoménologues.
Si être scientifique, c’est être objectif, avec des faits observables en labo, alors la plupart des
sciences de la nature ne sont pas scientifiques. Il faut donc relativiser l’unilatéralité de cette
conception scientiste.
DYLTHEY a remanié le champ du savoir en distinguant les sciences de la nature et les
sciences de l’esprit, et leur méthodologie respective. Il y a d’une part l’explication et d’autre
part la compréhension (sciences de l’esprit).
- Sciences de la nature erklären ---------- Situation réponse
- Sciences de l’esprit Verstehen--------- le sens relève de l’interprétation
Pour SCHLEIERMACHER, les sciences humaines seraient herméneutiques donc
interprétatives. Recontextualiser la bible a permis de relativiser le côté intouchable et absolu.
Remonter les traces à ce que cela signifie, passé du signifié au signifiant. DILTHEY fait la
même chose en philosophie fin 18ème siècle, soit on fait appel au sens, à la compréhension, soit
on fait appel à l’expérience, au comportement. La psychologie est en perpétuel devenir, et l’on
se dirige vers la singularité mais si on réduit la psychologie aux sciences naturelles, la
singularité de ce que l’on ne voit pas disparaît forcément. Tout le problème des sciences
humaines est d’être science du singulier et ce singulier nécessite des outils d’interprétation.
Dans ce contexte, l’observateur doit s’autocritiquer, relativiser les points de vue.
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II. Orientations des pratiques psychologiques
A. La psychopédagogie :
L’objet d’étude est le développement de la personne (lié à l’éducation) et des
apprentissages (lié à l’école), et cela durant toute sa vie. On étudie aussi tous les handicaps
physiques ou sociaux. Il existe des centres psycho-médico-sociaux attachés aux écoles : les
P.M.S., tribunaux de jeunesse, … Les pédagogues étudient l’évolution des apprentissages, faut-
il ou non étudier la théorie des ensembles en primaire ou en secondaire comme avant ?
B. La psychologie expérimentale :
Née fin du 19ème quand les spécialistes ont décique la psychologie devait devenir
une science, le but étant de saisir les processus d’adaptation des êtres vivants dans leur milieu
naturel. WILHELM WUNDT a inventé la psychophysique basée sur un présupposé empirique
anglo-saxon. Tout ce qui est de l’esprit, vient par la sensation, du corps (inspiré de John
Locke). STIMULI (provoque) SENSATIONS (hypothèse) PERCEPTIONS (association)
IDEES. En étudiant la manière dont le processus fonctionne, on reconstruit l’esprit à partir
du physique. Inspiré de la philosophie des empiristes qui disent qu’il n’existe rien dans
l’intellect qui n’ait pas commencé par les sens. Le rapport entre les stimulations de l’extérieurs
et le psychique, ce sont les 5 sens (vision, audition, toucher, odorat et goût). Ce morcellement
permet une objectivation de l’expérience, on maîtrise le tout avec des appareils physiques.
Les empiristes furent contrés par Descartes, et les matérialistes contrés par les
spiritualistes qui disaient qu’il existe des idées innées. Il y eu ensuite une réaction de la
gestaltpsychologie (forme) avec Köhler, Koffka et Wertheimer. Pour eux, il y a des lois de la
perception, fond et forme. Pour les gestaltistes, l’homme organise le el. Percevoir n’est pas
photographier le réel mais l’organiser. Ex : ____ = ____, OK mais >-----< = <-----> ? La partie
est toujours interprétée par rapport au contexte dans lequel elle se trouve. La théorie de
WUNDT est démontrée comme fausse, l’intelligence c’est faire des liens.
Selon KANT, qui parle des catégories de l’entendement, le réel est inconnaissable, nous
ne connaissons que le résultat de l’interprétation unificateur de notre raison. La loi de
l’équilibre et de la perception, comme le décrit KANT, sont des lois qui font que nous
intuitionnons un tout. C’est la dynamique de la perception de la réalité que WUNDT n’avait
pas su saisir. (Ex : mélodie = lois rythmiques visuelles).
Au States, WATSON, considère que la conscience n’est pas objet de science, de
psychologie. Il fonde le béhaviorisme. On ne s’intéresse plus qu’à l’observable, on élimine
l’intériorité pour la réaction face à une situation. Pour son élève, SKINNER, à l’opposé de
CHOMSKY (grammaire génératrice), le langage lui-même est un conditionnement, de
l’imitation. Pour ces behavioristes, l’être humain est un être qui réagit à son milieu. Connaître,
s’est agir, questionner et influencer. Le réel influence l’humain et vice-versa.
Ensuite, en Russie, PAVLOV s’intéresse à la psychophysiologie et aux réflexes. Il
étudie comment l’organisme s’adapte à son milieu. Le réflexe conditionné grâce à un stimulus
conditionnel (viande + sonnette pour un chien = salivation même sans viande la sonnette le
fait saliver). On utilise ce procédé dans la publicité, on utilise notre inconscient. Pavlov est en
résonance avec les behavioristes, notre conscience est fondée par des lois (dirigées par un
système nerveux et physiologique), on ramène la psychologie à de la physiologie, ramener le
complexe au simple ce qui permettrait de maîtriser un sujet. Mais cette maîtrise n’est
qu’apparente car il y a toujours des lacunes dans les données.
Les naturalistes s’intéressent aux animaux, ils font de la psychologie comparée entre les
comportements humains et animaux. Ils se fondent notamment sur l’éthologie (ethos =
habitudes, mœurs, caractères) qui est l’étude scientifique des animaux dans leur milieu naturel
(sans se faire remarquer, caméra infra-rouge etc.). Quelques grands noms : Lorenz, Tinbergen,
Von Frisch.
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KONRAD LORENZ étudia l’agressivité. Pour l’animal, elle est explicable par rapport
aux lois biologiques tandis que chez l’homme, elle énigmatique et délirante.
NIKOLAAS TIMBERGEN a plutôt étudié le territoire chez les animaux (lieu de
reproduction, de lutte,…)
EDWARD T. HALL considère l’être humain à titre comparatif. Le territoire de
l’homme est la culture. Chaque être humain est entouré d’une bulle invisible qui définit son
espace corporel. Cette territorialité est définie comme proxémie. On agit différemment à la
distance corporelle suivant la culture. La proximité s’établit sur 4 modalités. Pour les
américains par exemple, le mode public est entre l’infini et 3m60 ; le mode social est de 2m10
à 1m20 ; le mode personnel est de 40 à 25 cm et le mode intime est de 14cm5. C’est une
intériorisation de sa culture. Les américains travailleront portes ouvertes et c’est inconcevable
chez les allemands ! Il n’y a pas que la distance, le sonore, le temporel, le matériel,… jouent
aussi. Chez les animaux, il s’agit de l’instinct. Chaque animal a une distance, une territorialité
animale qui se fait vis-à-vis des prédateurs,… Chez l’homme, la culture s’est substituée à la
nature. Le corps est un radar permanent qui fonctionne à la culture. Hall a également étudié les
réactions physiologiques, corporelles, lorsque l’espace personnel est transgressé. Ce code
devient alors conscient lorsque l’on est en danger.
Sur le plan de la psychologie animale on retrouve KARL VON FRISCH qui a étudié les
mœurs des abeilles. Il se demandait comment elles se transmettaient la découverte d’un butin.
C’est grâce à une danse qui indique la distance aux autres mais pas la nature du butin.
C. La psychologie sociale :
S’occupe des relations de l’individu par rapport au groupe. G. LEBON qui a écrit l’âme
des foules qui a même inspiré Hitler à écrire Mein Kampf, examine les manières de tous les
types humains et leurs caractéristiques quand ils sont en foule. On observe une régression de
l’intelligence et une oblitération du jugement. Les chants, tambours,… de guerre augmentent
encore ce sentiment d’appartenir à un tout. On observe non seulement un régression infantile
mais aussi une dépendance totale à l’égard du meneur qui a une influence quasi hypnotique.
L’imitation quant à elle est une contagion mentale, un autre mécanisme en psychologie
sociale. Elle donne l’impression qu’il n’y a qu’un grand corps avec une seule âme. Il existe des
foules spontanées, des foules organisées (Eglise, armée), les foules dépendent de
l’identification (langage chrétien : être frère), les différences individuelles s’effacent, même
modèle idéalisé (le Christ).
La psychologie sociale industrielle facilitera la production des entreprises, mais il existe
aussi une psychologie sociale utilisée par les pédagogues, les éducateurs ou les mouvements de
jeunesse. Ceux-ci se posent la question relative à l’autorité, à quelles conditions l’individu
accepte l’autorité. La psychologie sociale est proche de l’étiologie et d la sociologie.
D. La psychologie médicale :
La relation clinique c’est un type de pratique qui s’opère entre le patient et le médecin.
Clinique ne veut pas dire hôpital. La pratique clinique de la psychologie est la psychothérapie
et est effectuée par des psychocliniciens ou psychothérapeutes. C’est l’étude de la personnalité
humaine, elle réfléchit la différence entre la normalité et la pathologie.(On lutte pour la non-
exclusion et l’envoi en asile. Un psychologue n’est pas un médecin, les psychiatres sont
médecins, ils sont là plus pour parler, se confier, extérioriser ce qui a été refoulé, … la
solidarité sociale ayant fortement diminuée avec l’industrialisation et l’urbanisation. C’est au
19ème siècle, que c’est développée la psychiatrie et ce n’est qu’après la deuxième guerre
mondiale que la psychologie est entrée en jeu. La psychiatrie a deux orientations :
- Orientation biologique : elle traite des troubles psychiques par voies médicamenteuses
ou par d’autres interventions sur des processus physiologiques.
- Orientation psychothérapeutique : désigne des traitements psychologiques de troubles
psychiques ou de troubles somatiques (comportement néfaste pour la santé).
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La psychologie clinique n’utilise pas de médicaments mais le langage, les paroles ou le
langage corporel et la qualité de confiance dans la relation entre le psychologue et le patient.
La démarche d’un psychologue clinicien consiste à établir une recherche scientifique. (Pour le
moment la médecine expérimentale est sponsorisée par les firmes pharmaceutiques). Mais ce
qui compte c’est que le patient soit pris en charge sur tous les plans, son état d’esprit y compris
pour ne pas passer à côté des causes de la maladie.
A. Le modèle médical :
En psychologie clinique on suit le modèle médical : diagnosticétiologietraitement.
- Diagnostic : on cherche les troubles appelés symptômes si il en existe plusieurs
cohérents alors ils forment un syndrome. On établit un diagnostic grâce à l’observation
des signes objectifs (extérieurs) et des signes subjectifs (montrés par 1/3). Dans
l’examen des signes subjectifs on distingue l’anamnèse ou l’on demande au patient de
reconstituer l’histoire de sa maladie (hérédité et passé).
- Etiologie (étude de la cause d’une maladie) : le médecin relie des symptômes entre eux,
on cherche le développement de la maladie pour pronostiquer (côté prédictif).
- Traitement : remèdes appelés thérapeutiques. Les thérapeutes ont développé des
techniques de soins, des mesures de comportement, d’hygiène alimentaire,…
B. La démarche clinique en psychologie :
Le médecin ne fait pas qu’examiner et écouter, il y a une part psychologique importante
dans la médecine mais la médecine se technologisant, la part découte se réduit. Il faut donc
une aide psychologique. Les remèdes ont une fonction symbolique et pas seulement
biologique, c’est l’effet placebo. Dans tout médicament, il y a un effet placebo, effet
psychique. L’attente du patient envers le médecin est énorme et porteuse de guérison. Il s’agit
de l’effet psychothérapeutique.
En psychologie clinique, diagnostic psychodiagnostic ; étiologie
psychopathologie ; traitement psychothérapie.
1. Psychodiagnostic :
Il existe deux style de psychodiagnostic, soit l’entretien (dialogue et/ou technique
d’examen), soit les tests (questions sur les ressources intellectuelles et globales de la
personnalité et/ou de l’intelligence).
- Le test d’intelligence :
Première version de 1905 des français A. BINET et TH. SIMON à la demande du
ministère de l’éducation pour dépister rapidement et efficacement les enfants mentalement
déficients. Le premier test date de 1911. Il s’agit d’une échelle de mesure du développement
d’intelligence chez l’enfant de 3 à 17/18 ans. Le but étant de détecter un retard intellectuel, on
propose pour chaque âge une série d’épreuves et ensuite on définit 5 ou 6 épreuves que tel âge
ou tel âge est censé savoir résoudre.
La difficulté de l’expérience, c’est de transposer les idées que nous avons de
l’intelligence en épreuves pratiques, ensuite de définir l’intelligence d’1 enfant de 3 ans. Jeunes
nommer parties du corps, objet/usage, identifier dessins,… Moyens répéter des nombres,
phrases et histoires, ressemblance/différence,… Adolescents connaissance de vocabulaire,
définition de mots abstraits,…
Une autre exigence est la durée de passation, et enfin il faut coter ce test. La cotation se
fera par mois, dans le cas d’une réponse au dessus de son âge, l’enfant gagne un mois. L’âge
mental de l’enfant est celui que le test lui attribue, il faut ensuite le comparer avec l’âge réel. Il
existe trois degrés dans l’état d’arriération du développement intellectuel : 1er degré débile
(pas d’initiatives ni d’autonomie, +/- 10 ans) ; 2ème degré imbécile (irresponsable, +/- 7/8
ans) ; 3ème degré idiot (profond ou léger, +/- 3/4 ans).
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Les résultats s’expriment aujourd’hui sous forme de quotient intellectuel inventée par
WILLIAM LOUIS STERN. (Age mental / âge réel) * 100 = Q.I., la norme est de 100, au-delà
de 140 on est doué, en deçà de 80 on est débile. Les psychiatres parlent d’oligophrène
(insuffisance mentale globale).
Il faut adapter le test à la culture, Binet et Simon avait projeté la leur. Le progrès en
psychologie, s’est toujours fait en contestations des résultats précédents. C’est grâce à eux
qu’on a mis sur pied les critères scientifiques d’un test, les critères de validation scientifiques :
la sensibilité (ne pas privilégié qu’un seul domaine) ; la fidélité (mesures doivent être
constantes) ; la validité (les résultats doivent correspondre à l’objet étudié)
Difficulté de définir une bonne ou une mauvaise réponse : ce qui est absurde = ce qui
est bête avoir trois frères, Jean Philippe et moi, l’enfant répond que c’est le psychologue qui
est bête. Les tests n’ont de valeur que statistique.
- le test de personnalité :
La personnalité n’est plus mesurable mais comparable. Comparaison de critères
entre une personne inconnue et un groupe de personnes connues (malades mentaux ou
physiques, homme célèbre, criminels,…) Le problème est qu’il y a une chose d’incomparable,
être humain. Il faut des méthodes appropriées, dans l’histoire on a classé l’homme en le situant
dans l’univers. La première théorie sur la personnalité fut cosmologique : eau, air, terre et feu
il est froid celui-là, il a un tempérament de feu…
Les premières théories de la personnalité furent celles du tempérament. Le caractère de
quelqu’un c’est quelque chose d’imprimé en lui qui va le suivre toute sa vie.
Théorie de HEYMANS, WIERSMA Le SENNE :
Trois dimensions du caractère : Emotivité Activité Rétentivité (Primaire ou
Secondaire). En combinant on obtient huit tempéraments : EAP (colérique), EAS (passionné),
E nA S (mélancolique), nE nA P (amorphe), nE nA S (apathique).
Théorie de KRETSCHMER
Médecin, psychiatre et criminologue. Pour lui, tout s’explique par l’organisme,
l’embryon est constitué de trois couches de tissus dont certains vont devenir : l’ensemble des
viscères, le squelette et les muscles, la peau et le système nerveux relié au cerveau. Cela va
donner des types physiques différentiels et observables qui vont avoir des modes extrêmes : les
viscéro-toniques, les athlétiques, les cérébro-toniques.
Il prétend que le type physique est corrélé à un certain type de tempérament. Le
physique joue inconsciemment sur nos choix.
Méthode : il a pris les malades mentaux et a constaté que statistiquement : les longs
étaient schizophrènes, les gros dépressifs et les athlétiques hystéro-épileptiques. Il également
psychiatre en milieu carcéral et associe crime et morphologie, pour lui on peut prédire des
prédispositions à devenir voleur (cérébro-tonique) plutôt que meurtrier (athlétiques) ou violeur
(viscéro-tonique). Mais il y a une grande incertitude, cette manière de penser est très médicale,
la connaissance des normaux passe par la connaissance des troubles. Ce test est néanmoins
réducteur car il y a des gens inclassables, dysmorphiques, et si un viscéro-tonique fait régime,
il devient athlétique et donc schizophrène ? « Le prix de la science c’est la négation de
l’individualité ».
Autre sortes d’approches de la personnalité : le questionnaire et la méthode projective.
a) Le questionnaire : développé surtout pour l’orientation professionnelle, intérêt pour le
type de profession qui conviendrait ou pour saisir le caractère. On espérait qu’un groupe
professionnel développe des attitudes semblables.
On les utilise aussi en sociabilité, utilisés dans l’industrie, ici encore la fiabilité n’est
pas garantie.
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