On a vu qu’on trouve l’optimum si on part de W.
Si on part d’un autre point ? Ex : on part de 0, A n’a rien, l’autre a tout : on ne peut pas
améliorer la situation de A sans détériorer celle de B : est aussi un point parétien.
En partant n’importe où dans le graphique, on va trouver d’autres équilibres parétiens.
Courbe verte donne toutes les situations optimales selon les dotations initiales. Selon les
dotations initiales choisies, obtention courbe verte qui est la courbe des contrats, que laquelle
se situe le contrat d’arrivée.
Isoquantes : courbe rouge trace kle fait que quel que soit le point sur lequel on se situe sur
cette courbe, on produit la même quantité avec des facteurs de prod qui varient.
On a définit une courbe de contratt pour définir les échanges entre conso.
On définit une autre sorte de courbe de contrat entre poducteurs sur les facteurs de prod. Elle
me donne la frontière des possibilités de prod qu’on a déjà vue.
Pour chacun des producteurs, le maximum de ce qu’il peut produire est l’idée de la frontière
des capacités de prod.
Idée simple que l’échange permet l’allocation optimale des ressources.
CF GRAPH slide 217.
Idée qu’il est possible de trouver par l’échange de trouver un équilibre partiel entre deux
biens. On est arrivé au bout, point de tangence, on ne peut plus bouger.
2ème tps : ce qui est vrai pour 2 biens est-il généralisable ?
Réflexion de Walras, boîte à n61 dimensions donc oui on peut s’en sortir, système
d’équations simultanées.
Ensuite, on se pose la question de savoir si cet équilibre permet une allocation optimale des
ressources : courbe des contrats conso et producteur. On a constaté que courbe des contrats
était en fait frontière des possibilités de production qu’on avait déjà obtenue.
Graph : on a ce qui sera produit. On va répartir entre les deux individus les biens : courbe des
contrats. On est bien dans une situation dans laquelle on a un équilibre possible, qui en + est
une allocation optimale.
B) Ce lien entre équilibre concurrentiel et équilibre parétien a été formalisé par les deux
théorèmes de l’économie du bien-être :
Théorèmes de l’économie du bien-être :
Enoncé des deux théorèmes :
- L’allocation d’équilibre réalisée grâce à un ensemble de
marchés concurrentiels est nécessairement efficace au sens de Pareto. Autrement dit, la façon
dont les différents biens sont alloués aux différents acteurs grâce à un ensemble de marchés
concurrentiels est nécessairement efficace au sens de Pareto cad que cette allocation est
obligatoirement un optimum de Pareto. Une fois l’équilibre atteint, on obtient un optimum de
Pareto. Quel que soit le point de départ, si on laisse fonctionner le marché de façon
concurrentielle, on obtient forcément un équilibre qui correspond à une allocation optimale
des ressources au sens de Pareto. Idée qu’il n’y a aucun autre équilibre qui soit préféré par
l’ensemble des acteurs. Equilibre contesté par personne car est le meilleur que chacun puisse
espérer. C’est ce qui justifie l’utilisation du marché dans une société.
Par cette procédure, avec une dotation initiale, la mécanique du marché nous conduit à
quelque chose qui n’est contestable par aucun des acteurs. Justification idéologique très
puissante du fonctionnement du marché. Fait avancer tout le monde jusqu’à un point où l’on
ne peut faire mieux. Tout le monde y gagne, même si tout le monde ne gagne pas la même
chose.
Idée qu’il y a du gain dans l’échange.