Q6 – A l’aide du vocabulaire suivant complétez le texte à trous : chômage, investissement, rationnelles, consommation, marché,
pervers, relance, anticipent, déflation, ralentir, inflationnistes, monnaie, intérêt, compétitivité, récession, dépenses, laissez-faire,
épargne, emprunter, production, prix (x 2), rigueur, salaires, prêteurs, pouvoir d’achat (x 2), forte.
En cas de déséquilibre économique, le…………………n’est pas capable de rétablir rapidement la situation. Les
agents économiques qui réagissent aux variations des……….prennent des décisions………………………..au niveau
microéconomique qui ont des effets……………..au niveau macroéconomique.
Ainsi, en période de………………………, le recul de l’activité économique engendre……………………..de masse
et baisse du…………………………des ménages. Logiquement les ménages vont accroitre leur ……………………….
de précaution pour faire face aux incertitudes de la conjoncture. Ce faisant, ils ralentissent leur …………………………,
ce qui accroit la baisse de la……………………………et de l’emploi. Parallèlement, les entreprises………………………
le recul de l’activité, stoppent leur projet d’……………………………….et se séparent d’une partie de leurs salariés ce
qui accroît la crise. La mévente des produits et l’importance du chômage favorisent la baisse des prix et des…………..
réels. L’économie entre en……………………Les tensions sociales et politiques augmentent et remettent en cause
le………………………..La lenteur de l’ajustement de l’économie par la déflation a été soulignée par J.M. Keynes qui
déclarait en 1931 : « A long terme, nous sommes tous morts ». Face à la paralysie des entreprises et des ménages
qui, tétanisés par la peur de l'avenir, ne veulent ou ne peuvent plus investir et consommer, seul l'Etat dispose de la
capacité d'……………………. et de dépenser. Il va donc adopter un plan de…………………..qui consiste à accroître
les……………………publiques afin d’accroître la demande et la production.
De même, en cas de croissance économique effective trop…………..par rapport au potentiel de croissance de
l’économie, des tensions………………………………peuvent se manifester et être à l’origine d’un cercle vicieux aux
conséquences néfastes. L’inflation se traduit en effet par une baisse du pouvoir d’achat de la………………….., qui
mine la confiance qu’ont les agents en elle, et par une perte de …………………………….-prix au niveau international,
ce qui peut avoir des effets négatifs sur les échanges extérieurs et donc la production réalisée à l’intérieur du pays.
Elle a également pour effet, si les revenus n’augmentent pas au même rythme que les prix, de provoquer une baisse
du…………………………..des ménages qui pourrait être source de ralentissement de l’activité. Elle provoque enfin,
lorsqu’elle n’est pas compensée par une hausse des taux d’………..…, des transferts de richesse des….……………,
épargnants notamment, vers les emprunteurs. L’Etat va alors adopter des plans de………………….pour……………….
la demande et ralentir la hausse des…………..
B – Les politiques conjoncturelles budgétaires et monétaires
a) – Qu’est-ce qu’une politique conjoncturelle ?
1 – La définition des objectifs de la politique économique a progressivement émergé des débats suscités par la grande
dépression des années 30 et ensuite par la diffusion des thèses keynésiennes. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, et
jusqu’aux années 60, un quasi-consensus existait pour reconnaître le rôle, voire la responsabilité de l’État dans la gestion des
principaux problèmes macro-économiques. Dès lors, les économistes ont le plus souvent pensé la politique économique comme un
choix économique parmi d’autres : il s’agit d’atteindre au mieux certains objectifs en gérant un certain nombre de contraintes et en
utilisant de la façon la plus efficace un certain nombre d’instruments (monnaie, taux d’intérêt, taux de change, budget de l’État). Du
débat théorique sur la nécessité des interventions de l’État dans l’économie nationale, il ressort habituellement quatre objectifs : le
plein-emploi, le soutien de l’activité économique ou la croissance, l’équilibre extérieur, la stabilité des prix.
(Source : Jacques Généreux, Introduction à la politique économique, Seuil, 1993)
Q1 – A partir du texte et du vocabulaire, remplissez le texte à trous : court, échanges, moyens, croissance, prix, carré magique,
budgétaires, institutions, augmentation, offre, banque centrale européenne, keynésiennes, inflation, conjoncturelles, long, mesures,
pouvoirs publics, monétaires.
Les politiques économiques recouvrent l’ensemble des ……………prises par les ……………………………vis-à-vis
de l’économie. Elles sont caractérisées par la hiérarchisation des objectifs poursuivis et par le choix des
……………mis en œuvre pour les atteindre.
Les politiques…………………………visent des objectifs à…………terme de rétablissement des grands équilibres
macroéconomiques. Elles sont essentielles au moment des retournements de la conjoncture, en vue d’échéances
électorales ou encore face à la pression de l’opinion publique. Les objectifs principaux des politiques économiques
conjoncturelles sont ceux mis en évidence graphiquement par le «………………………..………………» proposé par
Nicolas Kaldor : le plein-emploi ; la……………………; l’équilibre des…………………..extérieurs et la stabilité des……..
L’État devient ainsi une sorte « d’auxiliaire » du marché, en tentant, par son intervention, d’orienter l’activité
économique dans un sens jugé souhaitable.
Elles peuvent prendre des formes différentes en fonction des « outils » utilisés.
Les politiques ……………….visent, par l’intermédiaire du niveau et de la structure des recettes et des
dépenses publiques, à influer sur l’activité économique. Ainsi, par exemple, une ………...…………………des
dépenses publiques peut accroître la demande, ce qui poussera les entreprises à augmenter leur niveau de
production.
Les politiques …………………..….ont pour objectif de contrôler le niveau de la masse monétaire, et donc
indirectement le niveau de l’…………….……….Depuis 1993, les politiques monétaires ne sont plus de la
responsabilité des États en Europe, mais des banques centrales nationales, réunies depuis au sein de la
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