Manuel p. 390 document 1 b.
a) La propension moyenne à consommer est la part de son revenu qu’un individu consacre à sa
consommation.
La propension marginale à consommer est la part de son revenu supplémentaire qu’un
individu consacre à sa consommation.
b) De la demande de biens et services anticipée par les entrepreneurs : de la « demande
effective ».
Puisque l’entreprise adapte la quantité de travail à la demande qu’il prévoit : autrement dit
puisqu’il fait le nécessaire pour satisfaire la demande.
c) Le marché des biens et services est en équilibre.
d) Il n’y a aucune raison pour que l’équilibre sur le marché des biens et services corresponde au
plein-emploi.
Il peut donc y avoir du chômage involontaire durable.
Question d’actualité La BCE mène une politique expansive : elle a baissé son taux directeur
à 0,5 % (le taux le plus bas depuis la création de l’euro) et envisage de
le baisser encore si la récession s’aggrave.
Document 7
a) Non : il n’y a pas de corrélation entre le coût salarial unitaire et le taux de chômage.
b) Oui, à court terme. Mais lorsque la crise se prolonge, elle ne suffit pas à ce que l’augmentation
de la demande soit supérieure à l’augmentation de la productivité : le chômage continue à
augmenter.
On estime qu’il au minimum un taux de croissance de 1,5 % pour que le chômage régresse.
La relance des années 2008 et 2009 a évité que toute l’économie ne s’effondre. Mais il aurait
fallu des dépenses colossales pour éviter le chômage.
c) Il y a d’autres causes que conjoncturelles au chômage : des causes structurelles.