The end of the free lunch La fin de la gratuité de nouveau à la une // on reparle de la fin de la gratuité le gratuit, c’est fini Titre : Allusion à une expression en anglais : « there’s no such thing as a free lunch » : you can’t get thgs g for nothing on n’a rien sans payer « Ces dernières année, les consommateurs se sont habitués à / ont pris l’habitude de profiter des offres gratuites de toute sorte qu’ils trouvent en ligne / offertes par (les sites) internet / de la gratuité d’usage offerte par internet : infos, musique, courriers électroniques, et même accès rapides à internet . feast on something a Freebie : given to you without your havingto pay for it (esp as a way of attracting your support or interest for a comp)be used to + ing : avoir l’habitude de online freebies : online est utilisé en tt qu’adj, il faut étoffer offres gratuites offertes en lignes, proposées par le sites internet En ce moment, cependant, ce n’est pas avec encore plus / de nouvelles offres de services gratuits que les entreprises qui fonctionnent sur internet / entreprises de l’internet / géants de l’internet / stars de la toile/ sites internet font la une / font parler d’elles mais avec des annonces de licenciements, et l’annonce qu’ils vont (commencer à/ se mettre à ) faire payer leurs services/ rendre leurs services payants. » A dotcom (also dot.com) : a company that does most of its business on the internet The dotcom boom = internet bubble Dotcom crash = when the bubble burst éclatement de la bulle internet to make the news / make news with : faire parler de soi, faire la une yet more : traduit une certaine irritation « encore plus de » lay-offs : licenciement (notez le “s” sur la postposition (vb to lay off) charge for sotgh : faire payer They are to : indique que c’est prévu peut parfois ê traduit par « devoir » parfois par un futur Ces lignes sont apparues / ont été publiées ds The Economist en avril 2001 mais pourraient tout aussi bien s’appliquer aujourd’hui. Pendant les années de l’explosion / de l’expansion / les années fastes de l’internet s’est répandue l’idée que la gratuité, tout au moins la gratuité des services en ligne, était chose possible. As applicable today : pourquoi ‘as’ en début ? c’est une struc comparative incomplète : as applicable today as they were then Get about : se répandre (cf « about ») qui indique l’idée de mvt : get abt pour l’unilingue c’est « to travel, go to different places » Such as thing as : une telle chose (on utilise bp le contraire : “there is no such thg as a free lunch”, justement) Ici il y a insistance sur la possibilité : there could be d’où le choix de « était (chose) possible » plus fort (et dc plus proche du sens ) que « il pouvait y avoir une chose comme » 1 Des entreprises sont apparues, offrant services et contenus accessibles gratuitement en ligne, avec l’espoir qu’il serait possible, ultérieurement, de transformer les millions de coups d’œil qui seraient alors/ensuite jetés sur leurs pages /= les millions de clics d’accès/ millions de connexions / de visites qui allaient suivre en revenus, grâce à la publicité Spring up : apparaître, et suivi du but on a dc deux idées à la fois « monetise », qui n’existe pas mais vient de « money » : transformer en argent « eyeballs » désigne les yeux (en tt que verbe to look closely at so ) = ici cf “ “ désigne les regards, le fait que des millions de gens regardent / lisent = ont accès aux infos et services on peut dc changer l’image pour plus de clarté, il faut simplement rendre l’idée que des gens vont profiter des offres et se connecter, regarder etc Eventually : faux ami, au final, finalement, en fin de cours, ultérieurement Resulting : résultant de leurs offres de choses gratuites dc « qui allaient suivre » Though placé entre virgules à le même sens que however entre virgules (cf seconde ligne du texte) Cependant, les choses n’ont pas marché ainsi / cela ne s’est pas passé comme cela / et le résultat a été/ en a résulté /et ce qui est arrivé c’est l’éclatement de la bulle internet / l’effondrement de la net économie. Les sociétés / entreprises de la toile ont alors essayé de faire payer aux consommateurs l’accès à leurs sites mais peu d’entre elles ont réussi à faire payer les gens. Work out : indique le résultat Faire la diff entre work something out : comprendre après réflexion Et work out tt seul: 1) faire du sport, et 2) autres sens : a) résulter : the the trip worked out cheaper in the end et : b) bien se passer : le’s hope the new job works out well for him ds les deux cas il y a l’idée d’un résultat Pay up : informel, est utilisé qq vous devez de l’argent Et puis tt a recommencé exactement comme avant, dès 2004, avec l’introduction de Google en bourse/ lorsque G a été côté en bourse. Le fait que Google soit capable / ait la capacité de placer de petits encarts publicitaires ciblés à côté de ses résultats de recherche, ainsi que sur/ dans d’autres sites internet, a montré que l’on pouvait effectivement gagner de l’argent / est la preuve qu’il est effectivement possible de gagner de l’argent avec la publicité en ligne, à condition de la cibler avec précision ; une difficulté que l’on pouvait laisser G traiter, ce qui était bien pratique. It= renvoie à ce qui précède All over again : insistance Starting with: donne simplement la date ne pas traduire par “en commençant” Stockmarket : bourse to be listed on the stockmarket : inscrit à la côte, être côté, A listed company : côtée en bourse The shares are listed at £40 Provided : donne la condition Outsource : faire appel à des sous traitants it pays to have part of its work done by another company Convenient = pratique , ici c’est un adverbe Aujourd’hui la réalité économique s’impose de nouveau, avec des conséquences aujourd’hui familière(s) / bien connues / que l’on connaît déjà. Le nombre de sociétés opérant sur internet 2 / sites internet capables de / susceptibles de vivre de l’argent rapporté par la publicité en ligne s’avère être bien moins important que prévu /inférieur à ce que l’on avait pu imaginer. Les entreprises opérant sur internet, une fois encore / une seconde fois, licencient, réduisent/ diminuent leurs activités, leur champ d’activité, ferment, essaient de se vendre = de se faire racheter par les riches géants de l’internet, ou parlent de rendre payant l’accès à leurs services et contenus. Turn out : indique le résultat : s’avérer Scale back : scale down = réduire, devenir plus petit, réduire ses activités Reduce the number, size or extend : ici c’est vague, on ne sait pas si elles diminuent leurs activité ou la taille de l’entreprise # Scale up Deep-pocketed Industry giants To have deep pockets : avoir de l’argent Industry : celle dont on parle dc internet Les formes en –ing, « scaling back, shutting down » viennent du fait que le premier verbe « are laying people off » est au présent dit « progressif », les autres verbes aussi, c’est juste que l’auxiliaire n’est pas répété, mais c’est bien une suite d’actions qui sont décrites : are laying people off, are scaling back, are shutting down, are trying to sell themselves, are talking Certains (tels que MySpace et Youtube) ont réussi à trouver des acheteurs avant l’éclatement de la bulle, refilant ainsi à d’autres (respectivement, News Coorporation & Google ) le soin de trouver un modèle/un mode de fonctionnement rentable. Give something away : donner sans faire payer Pick up the tab: ramasser l’addition, donc payer L’idée que l’on peut offrir des choses/ quelque chose en ligne sans faire payer , et l’espoir que les revenus de la publicités vont apparaître un jour ou l’autre plaisent sans nul doute aux utilisateurs / sont ss nul doute populaires auprès des utilisateurs, qui bénéficient ainsi de services gratuits.// il est certain / indéniable que l’idée que…. Au final cependant, toute entreprise a besoin de revenus, et la publicité, semble-t-il, ne va pas suffire/ n’en amènera pas assez. La gratuité des contenus et des services était une idée séduisante mais ce que l’éclatement à deux reprises de la bulle de l’internet nous apprend c’est que que quelqu’un, quelque part, devra payer l’addition. ( la leçon a tirer de ces deuxbulles internet c’est que…) To appeal : plaire (cf sex appeal) Every business : plutt « toute » que « chaque » : ds le sens de quelle qu’elle soit, ds la rue ou sur internet It transpires : it seems Free content/// a beguiling idea : plutôt nominaliser l’adj free en nom gratuité For lunch : on n’a pas traduit cet élément de l’expression puisqu’elle n’existe pas en frs on va dc abandonner l’image du repas, et en fait « payer l’addition » se suffit à elle mê 3 Huit ans après l’explosion de la première bulle Internet, la Silicon Valley s’apprête-t-elle à vivre un nouvel «hiver nucléaire» comme le pronostiquait récemment le correspondant de The Economist à San Francisco ? Confrontés à une forte détérioration du marché publicitaire …les géants de l’Internet pourraient bien être rattrapés à leur tour par la crise, à commencer par Google qui pour la première fois de son histoire vient d’enregistrer une baisse de 3 % de son chiffre d’affaires. Quatre ans après l’arrivée d’une nouvelle génération de sites qui ont vite remporté un foudroyant succès d’audience en surfant sur une nouvelle vague participative et partageuse, le Web 2.0 est de nouveau confronté à la dure réalité économique : comment gagner de l’argent quand on n’a rien à vendre à ses usagers Dans la foulée de l’introduction en Bourse de Google en 2004, des flopées de sites se sont construits sur l’idée que leur totale gratuité d’usage pouvait être financée par toujours plus de publicité. De nouvelles stars de la toile, les Myspace, YouTube, Dailymotion, Facebook et maintenant Twitter ont émergé dans la foulée et gonflé une nouvelle bulle Internet 2.0. Jusqu’à ce que la crise actuelle fasse clairement apparaître que le nombre de sites susceptibles de vivre de cette seule manne publicitaire était infiniment inférieur à ce que l’on avait pu imaginer. Une manne qui, en plus de se réduire avec la crise (selon Forrester, les dépenses publicitaires en ligne devraient passer d’un taux de croissance de 30 % ces dernières années à moins de 10 % en 2009), n’a jamais réussi à se valoriser sur la Toile en raison de la profusion de sites en compétition pour la capter. Quitte à la brader. Les plus talentueux de ces sites ont réussi à se faire racheter à des prix parfois démentiels sur la promesse qu’ils étaient la nouvelle révolution à ne pas manquer : Rupert Murdoch s’est payé pour un demi-milliard de dollars Myspace, Yahoo le site FlickR, et Google pour 1,65 milliard de dollars celui de YouTube. Beaucoup d’autres n’ont pas eu cette chance et, à court de cash et de financements, n’ont plus d’autre choix que de licencier ou fermer. 4