Conception G. BODIMBOURG
La bougie
La bobine d’allumage
Le condensateur
L’allumeur
Le circuit d’allumage
L’allumage électronique
LE FASCICULE N° 10
MÉTIERS DE LA MÉCANIQUE
DES
L’ALLUMAGE
Conception G. BODIMBOURG
L’ALLUMAGE
CONDITIONS À REMPLIR PAR LE SYSTÈME D’ALLUMAGE
Conception G. BODIMBOURG
LA BOUGIE
Le procédé basse tension ne permet pas l’instantanéité et précision de l’allumage. La
solution est dans :
BUT DE L’ARC ÉLECTRIQUE
Pour arriver à ce résultat, il faut élever la température en un point du mélange, mais
également en ionisant les molécules
RAPPEL un atome se compose de :
PROTONS => ……………………………………….
NEUTRONS => ……………………………….. nulle.
Dont l’ensemble constitue le noyau de l’atome, autour duquel gravitent les électrons
particules chargées négativement. Lorsqu’un atome perd un plusieurs électron, il se
trouve chargé positivement et constitue un ION positif. Inversement lorsqu’un atome capte
un plusieurs électrons, il se trouve chargé négativement et constitue un ION négatif.
C’est cette transformation qui constitue:
L’IONISATION DES MOLÉCULES
BOUGIE ( Constitution )
1
2
3
4
5
6
7
GAMME THERMIQUE
…………………
Grande surface d’échauffement
interne avec dispersion thermique
lente.
Faible surface d’échauffement
interne avec dispersion thermique
rapide.
…………………..
1
2
3
4
5
6
7
Conception G. BODIMBOURG
La notion de bougie froide ou bougie chaude est définie par le trajet d’évacuation de la chaleur
L’ÉTINCELLE
ÉLÉVATION DE LA TEMPÉRATURE
Chaque mélange a une température d’inflammation qui lui est propre environ
pour le mélange (air - essence). Porté a cette température il s’enflamme spontanément
même s’il n’est pas en contact avec un corps en ignition.
Pour permettre la propagation de l’inflammation :
On cherche à élever la température de l’arc pour avoir le plus grand rayonnement
calorifique sur le plus grand volume possible.
FORME DE L’ÉTINCELLE
L’écartement des électrodes augmente la sécurité d’inflammation du mélange
carburé.
CONCLUSION SUR L’ÉTINCELLE HAUTE TENSION
On doit obtenir une tension suffisante pour ioniser le mélange et permettre le
passage de l’étincelle 20 kV environ.
On doit libérer une énergie suffisante pour avoir une température d’arc supérieur à
la température d’inflammation.
On doit libérer cette énergie dans un temps très court 1/ 1000 de seconde environ.
Température d’arc Égale à la
Température d’inflammation
Faible volume échauffé
Température d’arc Supérieur à la
Température d’inflammation
Grand volume échauffé
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LA BOBINE D’ALLUMAGE
Pour obtenir la ionisation en milieu gazeux 15000 à 20000 volts environ sont nécessaire.
Cette tension est obtenue par effet magnétique du courant.
PRINCIPE
Remplaçons l’aiment permanent par un second bobinage alimenté en courant continu.
A
L’approche et l’éloignement du bobinage B produisent des variations d’aimantation
Batterie
En approchant et en éloignant un aimant
permanent d’un bobinage, les variations
d’aimantations produites
A
B
A
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