L’origine des adipocytes et des ostéoblastes est commune.
VRAI FAUX
R : Vrai ! Cellule souche mésenchymateuse
La survenue d’une fracture « basse énergie » chez un patient VIH doit évoquer
prioritairement le diagnostic d ’ostéoporose.
VRAI FAUX
R : Non ! L’ostéoporose est un diagnostic d’exclusion
Les données actuelles établissent clairement un lien entre la maladie VIH, l’ostéoporose et la
responsabilité des antiprotéases .
VRAI FAUX
R : Non. Données contradictoires, fonction de l’ancienneté de la maladie et de sa prise en charge
thérapeutique.
La vitamine D est hydroxylée au niveau du foie, du rein et des macrophages (A). Elle est
stockée dans les cellules adipeuses (B). Le défaut d’hydroxylation, l’accélération de sa
dégradation sont deux mécanismes rencontrés au cours des rétroviroses (C).
A
B
C
R : A ,B ,C.
Le remodelage osseux chez l ’adulte est très rapide (<1 mois)(A), intéresse l’ensemble du
squelette simultanément et harmonieusement (B).
A
B
R : Faux ! temps de remodelage=250 jours. 20% du squelette par an. L’os trabéculaire (20% du squelette)
assure 80% des échanges
Les prévalences de l’ ostéopénie (A), de l’ostéoporose (B) et de la pathologie fracturaire (C)
sont plus élevées chez les patients VIH que chez les témoins .
A
B
C
R : A,B. Aucune étude ne permet d’affirmer C
La découverte d’une ostéoporose densitomètrique chez le patient VIH implique une enquête
étiologique (A), radiologique (B),et un traitement médicamenteux (C).
A
B
C