Section RÉFÉRENCE 4
derniers aspects sont venus plus tard
dans l’hindouisme.
Les hindous aspirent à briser les chaînes
de l’action (le karma) et des
renaissances par la connaissance du Soi-
Brahman. Celui-ci assure la libération
des renaissances et la réunification du
Soi-Brahman par le sacrifice rituel, pour
obtenir le support des dieux, et par la foi
(soumission, amour, dévotion).
Chemin-à-Haut-Branches ou Chemin du
Milieu qui assure l’abolition du désir.
C’est une voie d’application de
8 grandes vertus : l’opinion ou la foi, la
pensée ou la volonté, la parole, l’action,
l’effort, l’attention, la contemplation et
la compassion.
viendra libérer le peuple juif. Si je suis
un juif, c’est que je suis sauvé. On naît
juif.
existence vertueuse, tournée vers
l’amour de son prochain et l’adoration
de Dieu.
prière Salât (5 fois/jour);
aumône;
jeûne ramadân;
pèlerinage à La Mecque.
le mensonge, les jeux d’argent, le vol, la
violence, le spiritisme, l’ivrognerie,
l’introduction de sang par voie buccale
ou intraveineuse, l’avortement, les
sports violents ou à risque, le tabagisme,
la drogue, les fêtes jugées contraires aux
normes bibliques d’où l’importance de
bien connaître la Parole de Dieu.
Conception du salut et de l'au-delà
C’est le cycle des renaissances qui
vient du karma. Le but ultime consiste à
libérer l’atman qui est en chacun de nous
pour reconstituer Brahman. Le salut,
c’est le bonheur. Tout le monde veut
aller au ciel … et veut mourir.
Le cycle des renaissances vient de ce
que chaque action génère un effet, un
résultat. Le désir et l’acte bon produisent
un résultat bon, les mauvais, un résultat
mauvais. Pour mettre fin au cycle des
renaissances, il faut atteindre l’absence
d’action donc de résultat afin que soit
libérée en chacun, la parcelle divine qui
contribuera à la reconstitution de l’Être
unifié qui est Brahman.
L’au-delà c’est la réunification de
l’atman à Brahman.
Le salut, c’est la fin du cycle des
renaissances avec la libération de
l’atman.
Conception du salut et de l'au-delà
Les bouddhistes croient en la
réincarnation : l’âme d’un mort renaît
sous une forme humaine ou non. On
veut arrêter le plus tôt possible de se
réincarner pour atteindre le Nirvana.
Le Nirvana, c’est la victoire sur
l’illusion, l’arrêt des effets karmiques
c’est la vacuité, c’est le rien! Je n’ai
plus mal.
Conception du salut et de l'au-delà
Le salut est collectif; il est offert
d’abord au peuple élu. À sa mort, un juif
va dans les « enfers » en attente du
Messie et de la résurrection. Si je suis
juif, je serai sauvé.
Conception du salut et de l'au-delà
Ce n’est pas l’observation des lois qui
nous libère, c’est le Christ. Le Chrétien
est ressuscité par Dieu et en Dieu.
Tout de suite après la mort, je ressuscite
(corps et âme).
Les notions d’enfer (hors de Dieu) et de
ciel (auprès de Dieu) sont des états et
non des lieux. C’est nous qui décidons
du chemin à suivre. C’est un choix
définitif après avoir vécu la résurrection.
Conception du salut et de l'au-delà
Le salut est d’abord et avant tout offert
au peuple Élu bien avant le salut
personnel. C’est ensemble que le peuple
est sauvé.
Il y aura résurrection de tout le peuple
Élu à la fin des temps.
L’attente de la résurrection dans les
« enfers » n’est pas un lieu de souffrance
mais d’attente.
Conception du salut et de l'au-delà
La mort est un état de non-existence.
Elle est tout simplement le contraire de
la vie. La résurrection implique le retour
à la vie de l’individu avec toutes ses
caractéristiques. Cela signifie que la
personne recouvre son identité propre
avec la même personnalité et les mêmes
souvenirs qu’à sa mort. Il y a 2 formes
de résurrection :
1re céleste : elle est réservée aux
144 000 élus destinés à devenir des
créatures spirituelles et à s’associer au
gouvernement de Dieu.
2e terrestre : elle assurera aux autres
témoins et aux gens de bonne volonté le
bonheur parfait sur une terre renouvelée
i.e. un vrai paradis. Au cours de ces
1000 ans, ils auront une seconde chance
de salut. À la fin, Satan sera déchaîné et
ceux qui succomberont à ses séductions
seront détruits à jamais. Il n’y a ni enfer,
ni punition éternelle.
Prières et pratiques culturelles
Les hindous célèbrent le culte trois fois
par jour en récitant le plus souvent le
mantra Gâyatri : « Méditons sur le
lumineux rayonnement de l’Être
admirable qui a créé le monde. » Ils ne
recourent à aucune image mais
pratiquent la réflexion suivie de la
méditation.
Prières et pratiques culturelles
Les bouddhistes s’identifient par la prise
de refuge dans les trois joyaux qui sont
le Bouddha, sa Loi-Dharma et sa
communauté-Samgha. Le Bouddha est
l’objet d’une vénération en hommage au
maître qui a dispensé l’enseignement et
l’idéal à atteindre. On lui offre des
offrandes d’encens, de fleurs, de lumière
et de nourriture. On pratique la
méditation, la visualisation,
l’entraînement à la discipline devant
Bouddha et d’autres grands maîtres.
Prières et pratiques culturelles
Il y a trois offices tenu le matin, l’après-
midi et le soir. Les prières sont tirées de
La Torah, des Psaumes et du Talmud. La
prière publique a lieu à la synagogue
avec un minimum de 10 hommes. En
principe, les hommes portent une calotte
(kippah), et pendant l’office du matin,
un châle de prière (tallit) ainsi que les
phylactères (tefillin, amulette). Dans les
synagogues libérales, les femmes
participent aux offices en toute égalité.
Prières et pratiques culturelles
La prière chrétienne par excellence est le
Notre Père. Les fidèles se retrouvent le
dimanche pour prier et louer Dieu.
Le Crédo et Je vous salue Marie sont
d’autres prières communes.
Dans les pratiques culturelles, on
retrouve le récit du chapelet.
Prières et pratiques culturelles
Le Coran est un livre sacré
Le Salât se lit 5 fois/jour on se présente
propre et pur sur un tapis. On se
prosterne vers La Mecque ce qui
signifie : le cœur se tourne vers Dieu.
Prières et pratiques culturelles
Des réunions hebdomadaires ont lieu
dans chaque Salle du Royaume afin de
propager la parole de Dieu et d’en
discuter. On utilise le nouveau et
l’ancien testament.