CM11 - 3 -
n1 = 3 n2 = 3, 4,5,… série de PASHEN
n1 = 4 n2 =4, 5, 6… série de BRACKETT infra-
n1 =5 n2 =5, 6, 7,… série de PFIND rouge
Cependant on ne peut donner aucune explication pour de nouvelles raies, la
théorie de BOHR est insuffisante
.
1916 : amélioration de la théorie par l’ajout de trajectoires elliptiques
(SOMMERFELD) et en étendant la quantification de l’énergie.
Cette théorie reste inapte à expliquer le détail des spectres des
atomes à plusieurs électrons. Elle n’explique pas les trajectoires des atomes
lourds.
1920 : nouvelle approche des phénomènes mécaniques quantiques
b) La mecanique quantique ou ondulatoire
La notion de trajectoire ou d’orbite de l’e- perd toute signification :
L’hypothèse de DE BRÖGLIE (1924)
Tout électron en mouvement est associé à une onde caractérisée par λ :
Principe d’incertitude d’HEINSBERG (1926)
On ne peut déterminer simultanément la position et la quantité de
mouvement de l’e-. Une grande précision sur l’une entraîne une grande
incertitude sur l’autre et inversement.
Position
Mouvement
Le mieux que l’on puisse faire dans ce cas c’est de déterminer la probabilité
de présence d’1 e- dans une position donnée (orbitale atomique).
Equation de SCHRÖDINGER (1926)
La probabilité de présence d’un électron peut s’exprimer à l’aide d’une
fonction d’onde ψ et qui représente l’amplitude associée à cette fonction
d’onde.
Δ : opérateur Laplacien
Ψ : amplitude associée à la longueur d’onde
E : énergie totale du système e- - noyau
Γ : énergie potentielle électrostatique du système e- - noyau
La résolution de cette équation permet de déterminer la signification de Ψ, n,
l et m.
c) Notion d’orbitale atomique (O.A.)
Dans la théorie de BOHR – SOMMERFELD, on a déterminé une onde de
l’électron par n, l, m ?
Une orbitale atomique est représentée par convention par une surface fermée
limitant le volume dans lequel la probabilité de présence de l’électron est de
95%. Forme de O.A. = f(l)
Orientation de O.A. = f(m)