Cette représentation sommaire occulte, évidemment, la très haute
complexité du traitement des ondes subtiles. Très sommairement expliquée,
l'épiphyse (glande pinéale) sert de «traducteur» en décodant la réception du
champ de rayonnement subtil (traducteur du genre espace). Le cortex
cérébral codifie mentalement toutes les opérations nécessaires (en particulier
la codification instantanée de la lecture auramétrique ou esthésiemétrique) et
renseigne la glande pinéale sur la poursuite de toutes les opérations durant la
mesure à travers l'hypothalamus (mais la pensée doit être bien structurée et
totalement neutre pour assurer une fiabilité correcte des mesures.) Le lecteur
final est un pendule à propriétés diamagnétiques; donc presque n'importe
quelle substance habituelle convient (métal, verre, bois, etc. hors bismuth)
mettant en œuvre le phénomène radiesthésique connu depuis l'ancienne
Egypte (il y a environ 5000 ans). Toutes les mesures sont faites sur un
lecteur, simple de fabrication (appelé auramètre), que nous ne représentons
pas ici. Nous n'insistons pas sur l'apprentissage. Ces mesures sont très
simples mais il faut un entraînement intensif et parfois long pour coder
convenablement le cortex afin d'obtenir des mesures reproductibles.
J’expliquerai rationnellement, le moment venu, en quoi consiste le codage
du cerveau. Personnellement, j'ai mis de longues années (en auto-
apprentissage) et des milliers d'heures de vérifications et d'étalonnages
divers pour parvenir à obtenir des résultats corrects. La radiesthésie
(sensibilité aux rayonnements) a été étudiée par Yves Rocard (laboratoire de
chimie et physique de Paris). Il a étudié un ensemble de phénomènes subtils
(genre espace) selon la vision traditionnelle du scientifique matérialiste. D'où
des conclusions fortement erronées. Par exemple l'oscillation du pendule
n'est nullement le fait de micro-mouvements inconscients de la main (déjà
vers 1850, le chimiste académicien Chevreul avait avancé cette affirmation).
Pour s'en convaincre, l'expérience simple suivante a été réalisée dès 1995
(mais la présence des corps subtils est indispensable). Suspendre le pendule
à un petit portique en bois, de sorte qu'il ne soit entravé par aucun obstacle.
L'enfermer dans un récipient clos en plastique ou en verre (éviter le métal),
afin de le soustraire aux courants d'air ou tout effet mécanique risquant la
mise en mouvement accidentel du pendule. L'observer - le mental au repos -
par une fenêtre transparente du récipient. Appliquer les mains de chaque côté
de la boîte sans la toucher. Le pendule en présence de corps subtils se met en
mouvement et au terme de quelques minutes atteint une amplitude
d'oscillation de plusieurs centimètres parallèlement à la direction des mains.