1 - Unblog

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BASES ET PRÉCIS D’ESTHÉSIEMÉTRIE
DIAMAGNÉTISME
13
14
Introduction
Plusieurs de mes ouvrages ont décrit la métrologie nouvelle et subtile,
celle de l’« Invisible », par définition fondamentalement distincte de la
métrologie physique classique ; ses « aspects » mesurés sont ceux de la
physique visible à laquelle nos sens physiologiques sont habituellement
sensibles et, pour la « frontière » entre invisible (électromagnétisme,
gravitation et les fondements de la physique quantique) et visible, la
sophistication de la métrologie récente correspond aux besoins
expérimentaux. Il n’y a, cependant, aucun lien simple explicable selon le
rationnel défini par l’homme selon ses critères originaux, intellectuels et
culturels. De ce fait, aucun effet radiesthésique n’« impressionne » - fût-il
sophistiqué – l’expérimentation matérialiste. Dès le départ de mes travaux,
cependant, le physicien que je suis resté – envers et contre tout – a tenu à
réaliser l’investigation minimum à sa portée, pour montrer (envers et contre
tous et chacun, encore une fois) que la métrologie (subtile) issue de la
radiesthésie, non seulement n’est nullement irrationnelle, mais, bien au
contraire, rationnelle au sens habituel et cher aux scientifiques. Seul l’esprit
rationaliste (ce qui n’est pas nécessairement associé à la naturelle rationalité
(raison), dogme matérialiste, refuse tout ce qui est subtil.
Voici exposées les notions introductives de l’esthésiemétrie. L’homme
peut être considéré (d’un certain point de vue) comme un « bio-psychoordinateur » et l’on peut, d’une certaine manière, accepter le parallèle genre
temps – genre espace (selon la dénomination minkowskienne) comme cidessous.
genre espace
genre temps
récepteur d'onde
subtile
Récepteur ondes E.M.
système
traitement
de signaux
physiques
décodeur
et lecteur :
mesure  ,
énergie, etc.
~
lecture 
B, etc.
Bio-psycho-ordinateur
(traitement signaux subtils)
Fig. 1
15
Cette représentation sommaire occulte, évidemment, la très haute
complexité du traitement des ondes subtiles. Très sommairement expliquée,
l'épiphyse (glande pinéale) sert de «traducteur» en décodant la réception du
champ de rayonnement subtil (traducteur du genre espace). Le cortex
cérébral codifie mentalement toutes les opérations nécessaires (en particulier
la codification instantanée de la lecture auramétrique ou esthésiemétrique) et
renseigne la glande pinéale sur la poursuite de toutes les opérations durant la
mesure à travers l'hypothalamus (mais la pensée doit être bien structurée et
totalement neutre pour assurer une fiabilité correcte des mesures.) Le lecteur
final est un pendule à propriétés diamagnétiques; donc presque n'importe
quelle substance habituelle convient (métal, verre, bois, etc. hors bismuth)
mettant en œuvre le phénomène radiesthésique connu depuis l'ancienne
Egypte (il y a environ 5000 ans). Toutes les mesures sont faites sur un
lecteur, simple de fabrication (appelé auramètre), que nous ne représentons
pas ici. Nous n'insistons pas sur l'apprentissage. Ces mesures sont très
simples mais il faut un entraînement intensif et parfois long pour coder
convenablement le cortex afin d'obtenir des mesures reproductibles.
J’expliquerai rationnellement, le moment venu, en quoi consiste le codage
du cerveau. Personnellement, j'ai mis de longues années (en autoapprentissage) et des milliers d'heures de vérifications et d'étalonnages
divers pour parvenir à obtenir des résultats corrects. La radiesthésie
(sensibilité aux rayonnements) a été étudiée par Yves Rocard (laboratoire de
chimie et physique de Paris). Il a étudié un ensemble de phénomènes subtils
(genre espace) selon la vision traditionnelle du scientifique matérialiste. D'où
des conclusions fortement erronées. Par exemple l'oscillation du pendule
n'est nullement le fait de micro-mouvements inconscients de la main (déjà
vers 1850, le chimiste académicien Chevreul avait avancé cette affirmation).
Pour s'en convaincre, l'expérience simple suivante a été réalisée dès 1995
(mais la présence des corps subtils est indispensable). Suspendre le pendule
à un petit portique en bois, de sorte qu'il ne soit entravé par aucun obstacle.
L'enfermer dans un récipient clos en plastique ou en verre (éviter le métal),
afin de le soustraire aux courants d'air ou tout effet mécanique risquant la
mise en mouvement accidentel du pendule. L'observer - le mental au repos par une fenêtre transparente du récipient. Appliquer les mains de chaque côté
de la boîte sans la toucher. Le pendule en présence de corps subtils se met en
mouvement et au terme de quelques minutes atteint une amplitude
d'oscillation de plusieurs centimètres parallèlement à la direction des mains.
16
Vue de des s us
Champ de
rayonnement
éthérique
amplitude
oscillatoire
Fig. 2
L'effet radiesthésique trouve son origine au sein des atomes dans un
mouvement de précession (dite de Larmor) électronique, concernant donc les
électrons en référentiel noétique (R.I.F. pour Référentiel Invariant
Fusionnel).
Validité de la mesure esthésiemétrique par étalonnage
Fig. 3
La résistance R ayant été mise dans une petite enceinte calorifugée
(briquettes réfractaires), on attend l’équilibre thermique du pseudo corps noir
formé.
17
 Le rhéostat règle l’intensité I du courant électrique (mesurée par
un ampèremètre) qui parcourt la résistance R soumise à une
différence de potentiel V (mesurée à l’aide d’un voltmètre). La
résistance R s’échauffe et, pour chaque réglage ainsi imposé au
rhéostat, résulte une température mesurée T de celle-ci, exprimée en
kelvin (T =  + 273°C),  exprimé en °Celsius. Le processus des
mesures, très simple, se déroule de la manière suivante.
 Pour chacun des mêmes réglages on relève par esthésiemétrie,
~
la valeur directement mesurée de la longueur d’onde  du
rayonnement infrarouge électromagnétique noétique et la
température à l’aide de thermocouples, puis d’un pyromètre à
disparition de filament (à partir du rouge sombre à moyen).
 On déduit par calcul, d’après la loi des corps noirs de StefanBoltzmann, la longueur d’onde  en fonction de T mesuré du
rayonnement infrarouge électromagnétique physique.
~
 On compare les valeurs obtenues de  et , les unes, subtiles,
obtenues directement par esthésiemétrie, les autres physiques, par
calcul, à partir des mesures au thermocouple puis au pyromètre. On
admet que les valeurs physiques sont exactes, a priori, aux
incertitudes près. Le rayonnement subtil, ici, étant au niveau
d’Information noétique le plus bas (spin 1), nous devons obtenir,
pour chaque réglage du rhéostat, donc dans une large étendue de
~
températures :  = .
 Toutes précautions métrologiques ayant été prises, pour
cinquante valeurs de température mesurées, j’ai obtenu les écarts
suivants :
~
écart de plus de 10% entre  et  : 1 mesure
~
écart entre 5 et 10% entre  et  : 0 mesure
~
écart entre 5 et 1% entre  et  : 2 mesures
~
écart entre 1 et 0,5% entre  et  : 5 mesures
~
écart entre 0,5% et 0,1% entre  et  : 20 mesures
~
Vingt-deux mesures directes de λ ont donné des écarts par rapport à
, inférieurs à 0,1%, selon une répartition normalement statistique.
N.B. la relation mathématique qui lie  à T est la suivante (pour un
échauffement qui apparaît dans le rouge) :

hc  1 1 
0

 
Ck
 T0 T 
B
18
avec C  log
L
,
L0
T0 est la température de solidification de l’or (1336 K), L0 la luminance
correspondante, L la luminance de la résistance R chauffée au rouge et
hc
obtenue par le pyromètre, et dans
, k étant la constante de Boltzmann, h
k
constante de Planck.
Je représente l’histogramme de ces mesures subtiles ci-dessous. La
courbe en pointillé est une interprétation de la répartition statistique.
Fig. 4
Sur 50 mesures, comprises entre rouge moyen (800°C) et rougeblanc
(1400°C) 44% (valeurs moyennées) d’entre elles, accusent un écart inférieur
à l’incertitude expérimentale (droite centrale), 40% (valeurs moyennées) ont
un écart compris entre 0,5% et 0,1%, 10% un écart entre 1% et 0,5%.
Au total, la répartition statistique est satisfaisante et l’on peut considérer
qu’au niveau fondamental (spin 1), les mesures vérifient très correctement
~
= λ.
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Pour des valeurs de température prises au thermocouple inférieures à
300°C, la précision semble toutefois être moins bonne.
Lorsque les corps subtils de l’homme disparaissent au bénéfice d’un
« état électromagnétique » à longueur d’onde infinie (ce qui m’est « arrivé »
en décembre 1997), l’aptitude à mesurer les longueurs d’onde exige un
étalonnage différent mais, par contre, capable – sous réserve d’étalonnage –
de mesurer l’Information noétique.
Une des difficultés majeures lorsque les mesures deviennent complexes
réside dans l’interprétation des résultats lorsque tous les aspects qui les
concernent ne sont pas connus avec suffisamment de recul, de
compréhension ou de précision.
Éléments préparatoires à la théorie du champ noétique
Les sigles, exposés par ailleurs sont les suivants avec leurs
correspondances de champs informatifs noétiques de l’incarnation :
Longueurs d’onde CVH (Champ Vital Humain)
: 576,297 nm
"
CVU (Champ Vital Universel)
: 932,468 nm
"
CAH (Champ de l’Affect Humain)
: 1186,1176 nm
"
CPF (Champ de Psyché Fusionnel)
: 1508,7657 nm
"
CEU (Champ de l’Esthésie Universel) : 1701,642 nm
"
CMH (Champ Mental Humain)
: 1919,177 nm
"
CCU (Champ de Conscience Universel) : 3950 nm
"
CC (Champ universel causal transpersonnel: 4050 nm
(non incarnatif) [cf. « Fondements mathématiques et Noétiques de la
Conscience de l’Univers et de l’Homme » voir mes sites].
Les longueurs d’onde mentionnées ci-dessus de ces champs noétiques
diamagnétiques sont représentées selon l’ordre de correspondance « idéal »
dans le rapport du carré du Nombre d’Or, soit avec :


1
1 5
2

selon
2 

1
3 5
2

A remarquer l’alternance :
20
H1  U1  H 2  F  U 2  H 3  U 3 C.C.
avec les rapports relatifs au Nombre d’Or.
Les trois « corps-pivots » sont ainsi constitués d’un (H) et d’un (U)
l’ensemble organisé autour du pivot déterminant (F).
On vérifie bien (au maximum de précision de mesure près) :
F
 2,618034972 (précision : 3,75.10 7 ) ;
H1
U3
 2,61834066 (précision : 6,6.10 8 ).
F
Observation
essentielle :
trois
corps
subtils
ont
déterminé,
fondamentalement, la « structure psychique » de toute créature humaine, il
s’agit de :
CVH ; CPF et CCU.
Signalons que ce qui caractérise l’homme (femme) c’est le CPF, absolument
absent chez le règne animal, même le mammifère le plus évolué. On
remarque que, entre les valeurs-pivots, un seul intervalle { H 1  U 1 } répond
au Nombre d’Or. Il en est de même entre U 1 et F sauf qu’il y a interruption
« médiane » par le corps de l’Affect H 2 par  dans les deux intervalles :
de l’irrationnel , la racine carrée en « réalise » encore un plus « irréalisé »
sur chaque « flanc » : l’Affect ne peut donc pas être une caractéristique
psychique susceptible de s’équilibrer car le Nombre d’Or n’est présent (dans
le meilleur des cas) qu’en tant que « reflet » (par la racine carrée). La
« puissance dorée » entre H 2 et U 2 (CAH-CEU) est égale à ¾ donc encore
plus déséquilibrée. La suite, entre F et U 3 (CPF et CCU) concourt à  2
bien qu’avec interruption par H 3 (CMH) déséquilibrée par  et  3 / 2 .
Ceci nous entraîne à des constats majeurs, observés par de longues
« auscultations métrologiques » pratiquées durant plus de huit ans : j’ai
toujours observé de fréquents dérèglements psychiques reliés aux mesures ;
21
dans le meilleur des cas (intervalles conformes aux deux schémas
précédents), les déséquilibres sont nécessairement potentiels ; et lorsque le
« meilleur des cas » s’affaiblit (non-conformité à l’ontologie avec décalages
erratiques des longueurs d’onde), de nombreux dysfonctionnements
apparaissent dans l’affect, dans la conscience des choses (c’est pourquoi je
lançais des avertissements dans mes ouvrages car mes constats reposaient
sur le rationnel mathématique de la subtilité organique et non sur le
« littéraire insaisissable » de la psychologie classique). Enfin, lorsque j’ai
constaté, le 6 septembre dernier, que les corps subtils s’éteignaient pour
l’humanité entière (sauf 1 enfant) mes visions en conséquence virèrent à
l’effroi. Ce qui ne s’était jamais vu dans l’Histoire de la vie, courait au
devant de catastrophes dont le résultat final sera sidérant.
Il va sans dire sans insister trop, que le cas « idéal » (pivots CVH-CPFCCU selon  2 )  est - et a été – plus que rarissime. Les limites entre
lesquelles les longueurs d’onde varient sont considérables d’une créature
humaine à une autre : le « non respect » de  2 entraîne, sur les plans
individuel et collectif, des conséquences redoutables. Seuls les Champs de
Conscience Universel incarnatif (3950 nm) et Causal universel
transpersonnel non incarnatif (4050 nm) ont été d’une constance respective
absolue depuis plus de 50 millénaires.
La Physique Noétique science de l’Invisible, est hors dimensions
physiques. Cependant, celles-ci [mètre (m) ; kilogramme (kg) ; seconde (s) ;
Ampère (A) ;…] doivent continuer à figurer dans les équations [Référentiel
Invariant Fusionnel, R.I.F.] pour des raisons évidentes d’homogénéités
(signalées entre parenthèses car elles correspondent à l’intrication ESPRITMATIÈRE). La structure des C.S. (corps subtils) répond ontologiquement –
potentiellement à
H (Homme créateur symbolique)

U (Information universelle
correspondance réfléchie à partir de H)

noétique
« alertée »
par

H:

F (Fusion Psyché de l’Homme (symbole « vitesse- ~
u 0  1 m.s 1 en
associant H (matière) à U (esprit) pour rendre la création effective.
La Révélation des Corps subtils de l’homme est la plus importante de toutes
depuis l’origine de l’humanité. C’est pourquoi, je l’appelle SEIGNEURIE ;
certainement pas pour ce que la créature humaine n’a pas su (voulu) honorer,
mais pour le Potentiel ontologique de son Destin qui y était inscrit.
22
A priori, j’ai adossé la Physique Noétique à la Mécanique Quantique
selon l’électrodynamique quantique. Celle-ci est basée (entre autres) à la
limite célérité électromagnétique
c 0  299792458 (m.s 1 ) .
~ 1  299792458 (Nombre
La Physique Noétique lui fait correspondre c 0 u
0
pur). Il s’agit ainsi d’une constante universelle noétique (Nombre pur par
~
u 01 ) et hologrammique (par ~
u 0 ) d’extension depuis l’infiniment petit
(  H : périodicité axiale noétique du submicro-univers hydrogène) jusqu’à
l’âge de l’Univers cosmologique TU ( 13,8 milliards d’années) donc
l’infiniment grand.
On déduit le schéma général suivant :
Fig. 5
23
La Physique Noétique est ainsi une science du SYMBOLE (Esprit) laquelle ne
devient effective que lorsque la CORRESPONDANCE l’accomplit (MATIÈRE).
En effet par :
F   2 H1 et U 3   2 F
on déduit :
F  H1 U 3
Par le « fait Nombre d’Or » [cf. « Nombre d’Or. Base structurelle de
l’Univers et de la Vie », 2ème édition, la 1ère édition étant celle de Publibook],
il est montré que la moyenne géométrique de l’« Ontologie-champs
noétiques » concerne la « raison des extrêmes » par CVH(H1 ) et
CCU( U 3 ) dont CPF (F) « organise » la raison fusionnelle (potentiel
créateur par CVH, action noétique par CCU, et accomplissement par CPF).
Le constat par des milliers de mesures qu’une telle situation n’a
(pratiquement) jamais vu le jour depuis au moins quarante à cinquante
siècles, entraîne au constat prophétique (par rétro-action) que nous sommes à
la Fin des Temps et que l’humanité, à la dérive actuelle, est condamnée à la
disparition.
Extinction des champs de rayonnement noétiques et conséquences
Décès physique : extinction avec conservation partielle du
Champ causal dans le cas F  H 1 U 3
Ces expériences effectuées en 1992 et déjà mentionnées dans le
Prologue avaient été données, rappelons-le :
~
~
 M (mort )  40 nm (pour    4050 nm).
Avec l’Information noétique I M
un calcul plus
hologrammique :
précis
~


 2,01227.1017 (J 1 ) on déduit (par
hc 0
qu’approché
24
précédemment,
l’amplification
NM

I M 2,01227 .1017

 0,84247.104
13
I 20
2,44.10
Correspondant à la fusion E.M. noétique par :
16 2n m  0,8247 .10 4 à { n  2 ; m  0,8131 }.
A ce stade l’Âge-durée F.A.-d fournit :
aˆM  NM ..10 20 (s)  1,33.10 16 (s)
Cette valeur, même si elle ne correspond pas au néant, y ressemble
pourtant fort : la « survie après la mort » peut-elle être envisagée ? D’après
l’exposé précédent, il y a lieu de pouvoir en douter.
Même extinction des corps subtils au cas de F  H1 U 3
Lors du modèle neuro-mathématique du cerveau réalisé dans
« Psyché. Une théorie de la connectique intriquée du cerveau humain.
Conséquences… » [voir sites] je rappelai la relation (49)(*) :
N  11 ,  21   N  12 ,  21   N  12 ,  22    ,
définissant exactement, par les angulations combinées en indices, l’harmonie
fondamentale de {l’équilibre-F}. Ainsi, le modèle théorique vérifie la
relation appliquée F  H1 U 3 et permet de calculer le rapport 5/8 de
Fibonacci par [cf. op. cit.]
9 5 9
soit l’Amplification équilibrée :
 
5 8 8
5
Arg NE  Arg N2 N  0,625  28,92942  18,0809
8
L’indice (1, 1) indique le premier « pivot-CVH », l’indice {2, 1} indiquant la
direction vers le deuxième « pivot-CCU ». L’indice {2, 2} indique le deuxième
« pivot-CCU}, l’indice {1, 2} le précédant indique la provenance du premier ; les
indices conjugués mutuellement : {1, 2 et 2, 1} désignant la Fusion totale {1  2 et
2  1}. A remarquer, que la relation [(49) op. cit.] explique globalement
l’« étalonnage esthésiemétrique » du cerveau (voir précédemment).
(*)
25
d’où l’on déduit :
NE  Arg (log NE )  1,2047238.1018
m  0,93848 } correspondant
5
trigonométrique [cf. op. cit.]
2rd  202,5
2
Âge-durée :
pour
{ n  8 ;
d’un
point
de
vue
aˆE  NE ..10 20 (s)  1,95.10 2 (s) (*)
Extinction des corps subtils hors équilibre ( F  H 1 U 3 )
La mesure physique ne peut plus avoir lieu directement car le champ
causal noétique de l’humanité s’est éteint dès le 03-12-1997 (absence
absolue de rayonnement noétique).
La mesure par angulation, dès lors, m’a fourni 114,5° (au maximum
de la précision fournie par esthésiemétrie).
Le rapport angulaire 114,5°/360° fournit alors : 0,35358 soit
l’argument Arg Nz  0,35358  28,92942  10,2288 pour 1,9989856 radian.
On déduit l’amplificateur :
Nz  1,6848.1010
{ n  8 ; m  0,53 } (voir figure 6)
La théorie noétique de la Fusion Et montre que, pour appréhender
les attributs indépendants les uns des autres de l’amplification holomorphehologrammique, il est nécessaire de rechercher sa racine carrée. Ici, on a
ainsi l’attribut entropique (matériel) par S  ln 1,6848.10 10  11,77
(*)
A remarquer que l’on n’est pas « éloigné » du F A-d d’entrée dans la Vie par
16 2n m avec n  16 et m  0,5 , soit 0,3 (s) [âge symbolique de la naissance du
bébé humain].
26
Fig. 6
Diamagnétisme interactif homme-objet
Profitons de ce thème pour rappeler d’emblée définition essentielle de la
susceptibilité diamagnétique d’une substance : c’est le quotient de l’intensité
d’aimantation (intensité diamagnétique) et du champ réellement agissant.
Cette susceptibilité (  ) est liée à la perméabilité µ de la substance par la
relation µ  µ 0 (1  ) . La susceptibilité est ainsi un nombre pur agissant sur
la perméabilité magnétique du vide µ 0  4.10 7 (H m)
(H pour la
dimension henry  m 2 .kg.s 2 .A 2 (énergie multipliée par ampère au carré).
La susceptibilité agit (pratiquement) surtout en ferromagnétisme ce qui peut
modifier beaucoup la perméabilité du vide. Ce ne sera pas le cas du
diamagnétisme.
27
Éléments quantiques explicatifs sommaires
Tout magnétisme ne peut s’expliquer qu’à l’échelle atomique.
L’atome étant constitué de charges électriques élémentaires, en particulier
les électrons, l’un de ceux-ci possède deux moments magnétiques : moment
magnétique associé à son moment cinétique intrinsèque, le spin. D’autre
part, le mouvement orbital atomique de l’électron peut engendrer un (micro)
courant électrique (microchamp), donc un moment magnétique orbital.
L’ensemble des électrons de l’atome peut, combinatoirement, engendrer un

moment magnétique atomique. Soit maintenant, H le vecteur champ
magnétique. Ce dernier modifie les propriétés électromagnétiques de

l’espace environnant la source de H : c’est le phénomène d’induction

magnétique, tel qu’il apparaisse un champ magnétique induit B  µ 0 H si
l’environnement est le vide (pratiquement, on considère l’atmosphère). Si


bien que tout objet (non « atmosphérique ») reçoit l’induction B  µH . Si on
appelle l’aimantation de la substance M de l’objet, l’induction s’écrit :


B  µ 0 (H  M) .On sait que le champ H , dit d’excitation, est la somme
du champ créé par les courants électriques du champ dipolaire engendré par
les moments magnétiques. On assiste alors au phénomène suivant : un
champ démagnétisant s’oppose à l’aimantation issue des moments
magnétiques. Cette aimantation, à son tour, perturbe le mouvement des
électrons en provoquant l’aimantation induite correspondante
le diamagnétisme. Ce dernier s’écrit alors, fondamentalement :

M

 H

M
: c’est
(1)
La susceptibilité diamagnétique est très faible et négative  10 5 pour
le vide (un peu plus élevée en cas de matière). Question, maintenant :
pourquoi choisir le diamagnétisme en tant que critère conjecturel pour la
radiesthésie ? Pour plusieurs raisons : la première, c’est le très faible effet
mécanique (en cas d’un pendule) observé, la deuxième, c’est la quasi
insensibilité diamagnétique (observée) à la température [signalons qu’en cas
de supraconductivité, cette insensibilité disparaît puisqu’alors :   1 ].
Enfin, parce qu’il semble que le paramagnétisme n’agit pas mécaniquement
(essai avec le bismuth, métalloïde paramagnétique). Il existe, cependant, un
paramagnétisme lié aux électrons de conduction (théorie établie par
Wolfgang Pauli (1900-1950) prix Nobel de physique (1945).
28
L’effet radiesthésique : rappels
L’expérience mentionnée précédemment a mis en évidence le
phénomène observé suivant : un pendule suspendu librement, immobile et
vertical, donc soumis à l’accélération de la pesanteur, est mis en mouvement
(plan) oscillatoire, sans aucune action mécanique, à l’intérieur d’un espace
occupé par la surface des deux mains ouvertes d’un opérateur humain et
distantes l’une de l’autre en vis-à-vis.
L’oscillation, de faible amplitude (quelques centimètres), est donc un
phénomène qui relève de l’observation physique. La seule base explicative
immédiate nous est fournie par le paramagnétisme ou le diamagnétisme. J’ai
opté pour le diamagnétisme car j’ai observé que beaucoup de matériaux
étaient mis en oscillation.
Nous savons depuis Faraday (1845) que toute substance est aimantable.
Il convient, évidemment, de distinguer les diverses actions du magnétisme et
d’éliminer d’office le ferromagnétisme (ne concernant que les matériaux
ferreux) mais aussi le paramagnétisme. Il reste donc à étudier l’action d’un
champ magnétique sur un matériau diamagnétique (presque toutes les
substances ont une susceptibilité diamagnétique).
D’où vient le champ magnétique mettant en oscillation un pendule
(cuivre, laiton, bois, verre, etc.) ? A l’évidence d’une sorte de
« concentration » ou de « focalisation » produite par les mains (ou toute
autre partie corporelle) de l’homme. Or, le champ magnétique en question
n’est mesurable par aucun magnétomètre, aussi sensible soit-il ! Dans la
conjecture retenue il ne peut donc s’agir que d’un magnétisme subtil ayant
les mêmes propriétés que le magnétisme physique, à savoir la capacité
d’induire des forces d’action dans toute substance à susceptibilité
diamagnétique.
Le couplage diamagnétique(*) : éléments sommaires et l’« effet
pendule »
Si les effets cinétiques (de très faible intensité mécanique) se manifestent
en radiesthésie, c’est qu’il existe un couplage diamagnétique entre
l’opérateur humain « prothèse » de mesure (pendule-sujet à mesurer). Mais,
il est nécessaire, d’abord, de rappeler les aspects théoriques du couplage
diamagnétique tel qu’il a été élaboré en mécanique quantique. Le couplage
se manifeste par une énergie de nature magnétique. C’est au niveau
quantique que cette énergie prend naissance. On cherche une équation
d’onde du premier ordre et linéaire appartenant à une particule libre de
(*)
J.-M. Lévy-Leblond. « Comm. MathPhys. 286 (1967).
29
masse m. Cette équation s’écrit a priori et de la manière la plus schématique
par linéarisation de l’équation de Schrödinger :
 AE  B i .P  C   0
(2)
 étant le symbole de la fonction d’onde. A, Bi, C sont des opérateurs
 
linéaires à déterminer; E est l’énergie quantique i , B i est un vecteur à
t

trois composantes (i = 1 à 3) et P est l’opérateur impulsion. Un
développement mathématique approprié (voir (*)) où apparaissent les
matrices de Pauli  i permet d’obtenir :

 0 0
 0  
0 1 
E
 .P  2im 
 i 

   0
 0 
0 0 
 1 0
(3)
où i   1 avec, donc :

0 0    0 
0 1 
A
, B
  et C  2im 


1 0
 0 
0 0 
(4)
Si la particule est soumise à l’action d’un champ magnétique, l’opérateur
impulsion devient (A et V des potentiels respectivement magnétique et
électrique) :
P  e A et l’opérateur énergie :
E  e V où e est la charge de l’électron.
On montre alors que, pour la particule électron, la fonction d’onde (3)
s’écrit :


2

1 
e   
P  eA 
.B  0
E  eV 
2m e
2m e


(5),
Le symbole  est un spineur à deux composantes 1 et 2 et me représente la
masse de l’électron. Considérons, maintenant, un champ magnétique
uniforme dû à la circulation de l’électron autour de son noyau dans l’atome
d’hydrogène de rayon R. On a :
  A  0 (divergence nulle, champ uniforme).
30
Développons le deuxième terme de (5) sans son coefficient :
P  eA2  P 2  eP  R   B  1 R 2 B2  R  B


2

2


(6)
La quantité
e2
8m e




R 2 B2  R  B 2 


(7)
décrit l’énergie du couplage diamagnétique entre le champ extérieur B et le
moment magnétique induit dans l’atome d’hydrogène par B. Or, le magnéton
de Bohr s’exprime par :
b  4mehc
e 0,
d’où
b
c e
e2
 0
8m e
4
et (7) s’exprime alors par :
Cd 
bc e R B  R  B  

4 
0
2
2
(8),
2

le terme   B signifiant gradient de B où Cd est le couplage diamagnétique,
de dimension énergie. Cherchons, maintenant, le couplage diamagnétique
intrinsèque.
Posons, maintenant, conformément à ce que nous avons montré dans le
tome I :
 

  Bi *0 B est alors le champ magnétique induit extérieur qui
interagit avec le spin de l’électron. Dans ces conditions,  est le champ
magnétique noétique, donc « esthésique » induit par l’« extérieur » à
l’« intérieur » de l’opérateur humain qui interagit avec le spin du champ
noétiqueélectron.
Considérons un opérateur humain muni de son « esthésie » : son
organisme entier développe alors un champ « esthésique » résultant  i
intrinsèque qui développe des forces physiques agissant sur tout matériau
diamagnétique (métaux, bois, verre, etc.). Ce champ  i agit alors sur le
31
matériau par des forces F  C d  d 1 , d étant la distance physique entre
l’opérateur humain et le matériau. Si ce dernier est un pendule suspendu à un
filin (coton, chaînette…) le pendule se met en mouvement. Ce postulat
permet d’expliquer le succès de l’expérience du pendule suspendu librement
et mis en mouvement sans transmission mécanique extérieur. Le champ  est
alors la composante magnétique du rayonnement électromagnétique noétique
développé par l’opérateur humain et noétique traduit habituellement par ses
~
longueurs d’onde  . Je développerai, ciaprès, une théorie plus analytique
des forces diamagnétiques mises en jeu, mais contentonsnous pour l’instant
de :
F  C d .d 1 ou C d  Fd d’où l’écriture de (8) :
Fd 
avec
b
*
b

*

c 0 e  2 2 *2
2
R  i 0  R  i *01 


4 
(9)
b
 i *0 . On déduit :
F
b

*
c0e 2 2
2
R   R  
4d

(10).
Théoriquement, deux cas de figure se présentent :
si R 2  2  R   , F > 0 sinon :
2
R 2  2  R   , F < 0.
2
Le premier cas est à prépondérance commutative, le deuxième à
prépondérance non commutative. On sait aussi que la constante de Planck
s’écrit :
h  8
0 2
e . Introduit dans (10), on obtient pour la résultante force
0
développée :
Fi 
bc

0 2 2
2
  i     i 
32ed µ 0
0
32

(11),
 étant une dimension linéaire inconnue de R.
Nous admettons que (11) décrit les forces physiques que l’opérateur
humain fait agir sur le pendule : c’est le couplage diamagnétique
intrinsèque exprimé par une force, tel que notre postulat de ce couplage le
propose.
Calculons maintenant l’énergie développée extrinsèque sur un pendule à
partir de la force Fi . Appelons couplage extrinsèque celui qui permet de
mesurer au pendule radiesthésique, moyennant une codification mentale
rigoureuse, des aspects subtils d’un objet ou d’un être vivant (homme, par
exemple) muni de son propre couplage, exprimé par une force
diamagnétique extrinsèque Fe. Ce dernier entre en réaction couplée avec Fi,
si bien que j’admets :
FR  Fi  Fe
(12)
FR est la force résultante agissant sur le pendule et  un terme de couplage
(dépendant de C d ) approprié. Nous admettons par (11) le postulat du
couplage radiesthésique lié au diamagnétisme.
Le modèle exposé cidessus expose globalement « ce qui se passe ».
Celui-ci ne le cède que peu à la symbolique. Il reste, cependant, une
certitude : l’oscillation expérimentale du pendule développe une énergie
calculable.
Fig. 7
Si  est l’angle de déviation, M la masse du pendule, l la longueur du fil de
suspension, l’énergie totale développée par le pendule s’écrit avec :
ET  Ep  Ec :
33
E p  Mg
l 1  cos   et
Ec 
1  d 
I

2  dt 
2
Ep et Ec sont, respectivement, les énergies potentielle et cinétique du
dispositif et I le moment d’inertie par rapport à 0. Lorsque le pendule
traverse la verticale par inertie, on a :
 2m
1  d 


I

Mg
l
1

cos


Mg
l
( m est petit).

m
2  dt 
2
2
D’où :
Mg l
d
 m
  m 
dt
I
la vitesse angulaire étant égale à
(13),
Mg l
. A l’équilibre dynamique de la
I
verticale :
E p  E c . D’où :
(14)
E T  2E p  Mg l  2m
Appliquons ce calcul avec, les observations expérimentales par (élongation
de 1,5 cm) fournissant :
 m  0,016 radian, M = 35 grammes
(l = 15 cm, g = 9,81 m. s2) :
Mg l  2m  0,035  9,81  0,15  0,016   1,3.10 5 J
2
d’où
E T  1,3.10 5 (J)
34
Calculons la puissance P développée par E T
P  ET 1
par la période T  2
T  2
l
g
. On calcule :
0,15
 0,777 (s)
9,81
d’où :
P
1,3.10 5
 1,67.10 5 ( w )
0,777
L’énergie et la puissance développées par diamagnétisme radiesthésique
sont toujours très faibles, de l’ordre de grandeur calculée cidessus (entre 13
et 17 microjoules et microwatts).
Une analyse classique-physique des forces diamagnétiques
Soient les constantes universelles permittivité diélectrique  0 et
perméabilité µ 0 du vide. Raisonnons de manière classique non relativiste
(Paul Langevin 1905). Soit m 0 la masse de l’électron au repos et de charge
e, de vitesse u en trajectoire fermée circulaire et de rayon r autour du noyau
atomique. Son moment d’inertie s’écrit :
I  m0 r 2
(15),
et son moment cinétique :
 
I  m 0 r 2 u  m 0 ( r  u)
(16),
r
(le signe () signifie, ici, produit vectoriel). C’est un vecteur moment
coulombien , normal au plan de circulation qui s’écrit (voir figure 8) :
35

µ0 2
er 
2
(17),
 étant la pulsation de rotation de l’électron.
Fig. 8

M
En plaçant l’électron dans un champ diamagnétique uniforme
constant, le champ étant supposé parallèle au plan de l’orbite, il se produit un
moment de précession (dit de Larmor) (voir Annexe) selon la conjonction
ci-dessous (figure 8) :
avec la précession  développée selon  (voir figure ci-dessous)
36
un angle  résultant de la précession selon (voir figure suivante)
Le moment diamagnétique exercé s’écrit :
  M
(18)
L’électron tournant acquiert un moment cinétique correspondant de même
valeur :

d
(I ) .
dt
Or d(I )  Id d’où :
  I
d
dt
(19),
avec la pulsation précessionnaire (vitesse angulaire de Larmor) :

d
dt
et s’exprimant par :

M
I

µ0
e
2 m0r 2
(20),
ou encore :

d
e

dt 2m 0
(21),
37
 étant le champ diamagnétique induit.
Le mouvement de précession a lieu en sens inverse de la rotation de
l’électron, entraînant ainsi une variation :
  
(22)
de la vitesse angulaire de l’électron. La variation du moment
diamagnétique entraîné s’écrit :
 e
µ
  0 er 2   µ 0 
2
 2m 0



2
I
(23).
Dans le cas pratique de n atomes par unité de volume, le moment
diamagnétique global s’écrit :
G  n
(24)
ou encore :
r
G   m 
2
i i
(25),
pour i atomes avec la susceptibilité diamagnétique :
m  
µ 0 ne 2
6m 0
r
2
i i
(26)
La nouvelle susceptibilité est évidemment le fait de l’interaction par
couplage diamagnétique entre un système S1 et le système S 2 -opérateur
humain muni d’une petite masse diamagnétique sous forme d’un pendule
(cuivre, bois, verre, etc.) suspendu entre les doigts de l’opérateur par une
chaînette. Le travail différentiel mécanique global par unité de volume
infinitésimal V s’écrit dès lors :
dw
 µ 0  m
dV
M

0
MdM

µ0  m
M2
2
La force exercée par le pendule s’écrit :
38
(27)
1
F   µ 0  m VM 2 q 1
2
(28),
q étant une dimension tricoordonnée, {x, y, z} puissance, énergie et force
résultant essentiellement de la pulsation précessionnaire  , marqueuse
essentielle du diamagnétisme. On pourrait tenter de calculer par (28) une
valeur grossièrement approchée des forces diamagnétiques mises en jeu. Il
est, dès lors, nécessaire de tenir compte de l’intervention de l’opérateur
humain dont perméabilité et susceptibilité « aimantes » doivent être
considérées comme considérablement supérieures aux valeurs quantiques
habituelles. Par exemple, au vu du calcul des forces physiques (mécaniques)
réalisé précédemment, concernant la prothèse-pendule radiesthésique, on
peut estimer (fût-ce très grossièrement) que perméabilité µ et susceptibilité
 m peuvent avoir des « valeurs diamagnétiques » humaines de l’ordre
(respectivement) de 10 6 (H.m 1 ) et de 1 (pour  m ). Si le volume occupé
par l’opérateur est de l’ordre de 0,1 m 3 , la distance q également de 0,1
(mètre), le champ diamagnétique M  10 5 (A.m 1 ) , la relation (28)
permet d’estimer la force par unité d’aire A par :
F A  µM
2
2µ 0 
1  10 12
14.10 6
ce qui fournit un ordre de grandeur (  2.10 4 N m 2 ) correspondant à
l’ordre de grandeur celui de l’énergie pendulaire précédemment déterminée.
L’esthésiemétrie
Nous appelons la mesure métrologique par la radiesthésie,
esthésiemétrie. Mais celle-ci a le même « support » que la radiesthésie, à
savoir un « mesureur » humain. La Physique Noétique « assiste » ainsi, à
une combinatoire de forces d’origines quantique et, simultanément noétique
(voir commentaires précédents concernant l’« effet esthésiemétrique »).
Puisque le diamagnétisme recouvre la quasi-totalité de la « composition
matérielle » du vivant-homme, l’Homme est concerné. Mais… comment ?
J’ai relaté une expérience effectuée il y a plus de vingt ans concernant des
personnes décédées. Donc, elles n’étaient pas physiquement présentes (!).
Tout radiesthésiste averti procède alors par un « témoin » (photo, mèche de
cheveux, etc.). Quel que puisse suggérer le côté arbitraire de la méthode, je
puis assurer que celle-ci, « chevronnée », fonctionne… dans des proportions
limitées, voire très limitées. Par exemple, le « signal du sourcier » fonctionne
39
(moyennant un minimum d’apprentissage), mais la recherche d’objet, de
chats, chiens ou d’enfants perdus conduit presque toujours à des échecs. La
raison en est que la mémoire associée à la recherche est insuffisamment
perçue (subtilement) par l’opérateur, ou bien que le nombre de paramètres à
traiter dépasse la conceptualisation de l’indication radiesthésique. L’effet
radiesthésique, si elle utilise la « donnée diamagnétique » est un « effet » se
produisant dans le R.I.F. (Référentiel Invariant Fusionnel) noétique (ce que
l’on peut appeler (improprement Hors-Temps-Espace HTE) mais mieux :
Fusion Espacetemps.
La métrologie-esthésiemétrie, si elle procède (à l’évidence) par Fusion
Et, fait intervenir une donnée supplémentaire qui est la notion
intellectuelle bien ancrée dans le cerveau du paramètre à mesurer. Le
physicien connaît bien – par exemple – le rayonnement électromagnétique
(origine quantique) ainsi que ses paramètres associés : fréquence vibratoire–
pulsation ( , f ,  ), sa longueur d’onde (  ), sa périodicité (  et T). Il en
connaît également le phénomène de résonance, etc. Si bien que s’il dispose
(ou fabrique) un lecteur correspondant, le passage métrologique de la
métrologie physique classique (laquelle est son lot quotidien) à la
radiesthésie métrologique, est une affaire qui relève des précautions dans la
méthode utilisée : nous l’avons nommée : esthésiemétrie.
Se produit alors la seule question importante : que fais-je ? Les résultats
désignés par le pendule dans la méthode utilisée, sont-ils corrects ? De même
qu’en appareillage physique, la notion de l’étalonnage s’impose alors
impérativement.
Le « relais » physiquetélépathie ou… ?
Nous sommes habitués à nos échanges terrestres, quelle qu’en soit la
nature. Tout échange de communication se fait à distance (depuis quelques
mètres jusqu’à des distances astronomiques). C’est ainsi que téléphonie,
télévision sont, depuis longtemps entrées dans la trivialité quotidienne. Le
préfixe télé vient du grec signifiant loin. Des phénomènes « étranges »
relevant de l’extrasensorialité (au sens « au-delà » de nos cinq sens
physiologiques) défraient parfois les chroniques (hasardeuses !) en prenant
pour réelles des « prestidigitations » de l’impossible. C’est ainsi que la
télépathie exprime le sentiment (confus ou clair, prémonitoire par des
perceptions souvent instantanées intuitives) d’une communication à
distance par la pensée. Celle-ci (télé-loin) impliquerait aussi une action à
distance
(télépathie).
Les
télécommunications
terrestres
sont
électromagnétiques : le photon en est le vecteur. Sa vitesse est finie
(quoiqu’extrêmement élevée, indépassable pour le transport d’énergie) et
égale à environ 300000 kilomètres par seconde. Or la « télépathie » donne
40
l’impression (fondée) que la communication est instantanée (également
fondée). Le problème est que, selon la relativité restreinte (pas de transport
possible d’énergie à plus de 300000 Km/s), ce que toute la physique
expérimentale et théorique avère et démontre. Alors, de deux choses l’une
(en fait, une seule chose…) : la pensée est alors immatérielle (vitesse infinie)
ou… toute distance est abolie : les deux reviennent au même mais la notion
de vitesse infinie à son sens classique – ne tient pas. L’infini est une
abstraction purement mathématique et ne peut pas, de ce fait, s’associer à la
physique. Par contre la Fusion Et signifie « communication » intriquée :
tout se passe comme si aucune distance ne sépare la source de sa
destination : la Fusion Et abolit les notions d’intervalle spatiotemporel.
Nous avons expliqué [« Physique quantique, Physique Noétique, Homme
démiurge » Publibook 2009] l’expérience E.P.R. (d’Einstein, Podolsky,
Rosen) effectuée de 1975 à 1982, et en avons rappelée précédemment le sens
conduisant aux notions d’inséparabilités spatiotemporelles. Pour bien
comprendre comment une Information Noétique (donc immatérielle) peut
« se propager », il est important de situer le problème exactement d’un point
de vue quantique-noétique, exposé par lequel il sera possible d’expliquer la
Fusion Espacetemps ultérieurement, en relation avec ce dernier, donc
toute communication instantanée. Donc l’esthésiemétrie. L’exposé en
question va introduire le chapitre deuxième.
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42
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