C1) LES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES

publicité
C1) LES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES
I) Des agents économiques aux relations entre secteurs institutionnels
A -les secteurs institutionnels (SI)
B – Le circuit économique
C- comprendre les interdépendances économiques à partir d’un choc externe
II) du circuit économique aux agrégats de la CN
A- les agrégats macroéconomiques
B- les principaux ratios
III) les limites de la Comptabilité Nationale
A- les limites de la comptabilité nationale pour mesurer la croissance
B- les limites de la comptabilité Nationale pour mesurer le développement.
dissertation : Peut-on mesurer le progrès économique et social d’un pays
comme la France par l’augmentation de son Pib ?
Introduction : La Comptabilité Nationale est un document comptable qui propose une représentation
synthétique de l’activité économique d’un pays, c’est à dire la mesure de grandeurs macroéconomiques, de leur évolution et d’autre part une mesure des relations entre les agents
économiques (le circuit économique)
La CN propose une comptabilité en partie double. Pour chaque agent économique, les emplois sont
égaux aux ressources (les entrées sont égales aux sorties).
Micro économie = point de vue du
chef de famille (ex)
Macro économie = ensemble des
agents économiques, point de vue
du ministre de l’économie
Un agent économique résident est un agent qui a une activité sur le territoire métropolitain et ce pour
une durée supérieure à un an.
Dans le nouveau système de comptabilité Nationale (le SEC 95 attention fichier Pdf), les
Départements d’ Outre Mer font partie du territoire économique national, les Territoires d’ Outre Mer
en sont toujours exclus.
exercice proposé ici
I Des agents économiques aux relations entre secteurs institutionnels
A - les secteurs institutionnels (SI)
Pour définir un SI, on doit tenir compte de deux critères :
1. La Fonction Principale
2. La Ressource Principale
Dans les ménages :
•
FP : consommer
•
RP : salaires
Dans les sociétés et quasi-société (SQS) :
•
FP : produire des biens
•
RP : chiffre d’affaire
Dans les administrations publiques :
•
FP : produire des services non marchands
•
RP : prélèvements obligatoires
Dans les institutions de crédit :
•
FP : financer l’économie ( = recevoir dépôt, accorder le crédit) ; créer de la monnaie
•
RP : dépôt et intérêt sur les crédits.
Dans les Institutions sans but lucratif (nouveau secteur institutionnel)
•
FP : production de service non marchands pour les ménages
•
RP : contribution volontaire Il existe d’autres secteurs institutionnels :
•
institutions de crédits (IC)
•
entreprise d’assurance(EA)
•
administration privée
•
le reste du monde
Sociétés et quasi-sociétés : Une Société est une société privée. Une quasi-société est une
entreprise publique possédée en partie ou en totalité par l’État. Les entreprises individuelles ont qu’un
seul patron. (revoir le cours de seconde sur ce point)
Attention ! L’entreprise individuelle est considérée comme un ménage, cela est du au fait que le
budget d’une entreprise individuelle est confondu avec le budget d’un ménage.
Depuis 1999 a été mis en place un nouveau système de Comptabilité Nationale (CN), en vue
d’harmoniser les CN sur le plan européen.
Avec ce nouveau système. « SEC95 « , on considère maintenant
•
les sociétés non financières
•
les ménages (avec EI)
•
les administrations publiques
•
les sociétés financières.
•
les institutions sans but lucratif
•
le reste du Monde
pour préciser cette nomenclature : La nomenclature des secteurs institutionnels
exercice proposé ici
B – Le circuit économique
un
diaporama
pour
aller
plus
mlv.fr/enseignement/cours/economie/esitcom98/sld004.htm
loin
http://www.univ-
Il existe 3 types d’opérations économiques (La nomenclature d’opérations)
1 – Opérations sur biens et services
2 – Opérations de répartition : (ex : le revenu)
2 – Opérations financières
à partir du circuit économique d’Albertini, on peut représenter ainsi les relations économiques
entre les différents SI.
LES MÉNAGES
Emplois



Ressources




Consommation finale
Impôts
Dépôts - Épargne
Traitements
Prestations sociales
Salaires et revenus non salariaux
Retraits et crédits
LES SOCIÉTÉS NON FINANCIÈRES
Emplois







Dépenses d’investissement
Dépenses de consommation
Salaire
Revenus non salariaux
Impôts
Cotisations sociales
Épargne
Ressources



Production
Subvention
Crédits - retraits
LES SOCIÉTÉS FINANCIÈRES
Emplois


Crédits
Retraits
Ressources

Dépôts


Salaires
Épargne
LES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES
Emplois








Ressources




Dépenses d’investissement
Production de SNM
Dépenses de consommation finale
Dépenses
de
consommation
intermédiaire
Traitements
Prestations sociales
Subventions
Dépôts – épargne
Impôts
Cotisations sociales
Crédits
Retraits
remarque : Les emplois des uns sont les ressources des autres.
Par convention, on considère que la production des services non marchands par les administrations
publiques est consommée par elle-même, donc : Production des services non marchand =
consommation finale des administrations publiques et la production se place dans les emplois
Le RESTE DU MONDE
Emplois

Ressources
Exportation

Importations
on trouvera sur ce lien différentes représentations du circuit économique avec des agents
économiques différents.
exercices
proposés
les
notions
d’emplois
la
notion
d’opération
l’équilibre Emplois / Ressources ex1 et ex 2
/
:
ressources
économique
notes de cours proposées par Chloé - 09/2000 - 601 -
C- comprendre les interdépendances économiques à partir d’un choc externe
Dans ce paragraphe nous allons souligner les interdépendances entre les différentes branches
d’activités et les différent agents économiques. Pour cela on va partir d’un choc externe : la
hausse du prix du pétrole brut .
On se rend compte que par le jeu des CI , FBCF ,CF , ce choc qui concerne quelques
branches au départ va affecter toute l’économie.
Nous essaierons de mettre en évidence cela , mais il ne faut pas négliger le fait que ce choc a
également une dimension sociale et politique :
PLAN :
I- La hausse du pétrole est d’abord un phénomène économique ....
II- .... mais il serait maladroit d’ignorer des dimensions sociale et politique
I- La hausse du pétrole est d’abord un phénomène économique ....
A- les particularités du marché du pétrole
1- une structure oligopolistique
2- un produit administré
B- une économie dépendante de cette source d’énergie fossile
1- une économie vulnérable ....
2- ....malgré une moindre dépendance
transition : le choc pétrolier 2000 montre que le facteur de crise n’est pas tant le prix du
pétrole que le niveau des taxes qui pèsent sur ce produit .
II- .... mais il serait maladroit d’ignorer les dimensions sociale et politique
A- les mouvements sociaux « antitaxes « ....
1- des formes de contestation , formes de négociation : vers une européanisation du conflit
2- révélatrice de valeurs individualistes : obstacles au changements ?
B- .... qui interpellent le pouvoir politique
1- la nécessité de prendre des décisions réglementaires
2- dont les enjeux sont réellement politiques
II- du circuit économique aux agrégats de la CN
A- les agrégats macro-économiques
1 - selon les 3 temps de l’activité économique
2- équilibre emplois - ressources des SI : la
séquence des comptes
3- La relation Épargne ( E ) / Investissement ( I )
1 - selon les 3 temps de l’activité économique
- la production
•
la répartition
•
l’utilisation des revenus
La CN a pour fonction de mesurer l’activité économique d’un pays et d’évaluer les opérations
économiques qui s’y déroulent sous forme d’agrégat :

les opérations de biens et


services
les opérations de répartition
les opérations financières
•
agrégat : grandeur synthétique qui mesure une opération économique Parmi les agrégats on
distinguera :
- ceux liés à la production
- ceux liés à la répartition
•
ceux liés à l’utilisation des revenus
Agrégat de production
•
PIB : Produit Intérieur Brut
il évalue la production en fonction du territoire français sans tenir compte de la nationalité
calcul :
PIB = VAB + TVA + droits de douane
Pour obtenir la Valeur Ajoutée Brute, on enlève les CI à la production pour éviter leur double
comptabilisation
Le PIB peut se calculer selon 3 optiques différentes :
•
l’optique production
PIB = VAB + TVA + droits de douane
•
l’optique demande ou dépense
PIB = CF + FBCF + X - M
•
l’optique revenu
PIB = somme des revenus du travail + bénéfices + impôts
Agrégats de répartition
1° agrégat :
Revenu disponible Brut ( RdB )
•
Revenu Primaire (RP) : revenu issu de la participation directe ou indirecte à la production ,
tous les agents économiques participant à la production ont des revenus primaires :
•
revenu du travail
•
revenu du capital : bénéfice
•
revenu de la propriété : dividende
•
Revenu Secondaire (RS)
on dit encore ° revenu de transfert
° revenu social
° prestation sociale
Ces revenus proviennent de la redistribution.
•
Prélèvement Obligatoire (PO) : versements obligatoires faits par les agents économiques
sous forme d’impôts et de cotisations sociales.
Ces cotisation sociales sont prélevées par les employeurs ainsi le salarié perçoit un salaire net
calcul : salaire net = salaire brut - cotisations sociales salariales
DONC , le revenu disponible est la somme du revenu primaire et du revenu secondaire à laquelle on
soustrait les prélèvements obligatoires .
Rd = RP + RS - PO
exercice ici
2° agrégat :
Excédent Brut d’Exploitation ( EBE ) :
EBE : c’est la première mesure du bénéfice de l’entreprise donc du revenu de l’entrepreneur
EBE = VAB - salaire - cotisations sociales impôts sur la production
exercice ici
agrégat de dépense
•
la Consommation Finale (CF) : valeur de biens et services utilisés pour la satisfaction directe
des besoins individuels ou collectifs
•
les Consommations Intermédiaires (CI) : valeur des biens et services marchands utilisés à
des fin productives
attention ! il ne faut pas confondre les CI avec l’investissement : ces 2 opérations participent à la
production certes mais
•
l’Investissement concerne plusieurs fois (ex : machines )
•
les CI ne servent qu’une seule fois (ex : électricité )
•
FBCF : l’investissement se mesure en terme de FBCF (Formation Brute de Capital Fixe)
Valeur des biens durables acquis par les entreprises pour être utilisés pendant au moins un an
dans le processus de production .
DOC 5 :
dans le nouveau système de comptabilité, on compte de nouvelles dépenses dans la
FBCF, autrefois considérées comme des CI : c’est le de services comme les logiciels et les oeuvres
littéraires...) (on qualifiait ces dépenses d’investissement immatériel)
La notion d’investissement est en fait un peu plus large que celle du FBCF. En effet , on retiendra que
ce qu’on appelle investissement se définira de la manière suivante.
investissement = FBCF + variation de stock
* la FBCF peut être décomposée en 2 éléments :
•
FNCF ( Formation Nette de Capital Fixe ) : variation de capital > 0
•
CCF ou amortissement ( Consommation de Capital Fixe ) : variation de capital = 0
FBCF = FNCF + CCF et FNCF = FBCF - CCF
* Amortissement : dépense que réalise l’entreprise pour renouveler les machines
on peut les renouveler pour 2 raisons : usure et obsolescence
2- équilibre emplois - ressources des SI : la séquence des comptes
Nous venons de voir que la CN mesurait de nombreux agrégats. Dans la séquence des compte, il
s’agit de prendre conscience que ces agrégats sont liés entre eux. Il y a une séquence des compte
pour chaque SI .
Q 1 p 23 :
il s’agit de présenter l’enchaînement des agrégats par SI . La séquence des compte
permet de préciser pour chaque agrégat l’optique « emploi » et l’optique « ressource » :
LES SOCIETES NON FINANCIERES
Emplois
Compte de production
Consommations intermédiaires
VALEUR AJOUTÉE BRUTE
Compte d’exploitation
Salaires versés
Ressources
production
VAB
Impôts sur la production
EXCÉDENT BRUT D’EXPLOITATION
Compte de revenu
Revenus de la propriété versés
EBE
Impôt sur le bénéfice
Revenu Disponible Brut ou Épargne Brute
Compte des acquisitions des actifs non financiers
FBCF
EB
Variation de stocks
CAPACITÉ DE FINANCEMENT (+)
Les Ménages
Emplois
BESOIN DE FINANCEMENT (-)
Ressources
Compte de production
Consommations intermédiaires
production
VALEUR AJOUTÉE BRUTE
Compte d’exploitation
Salaires versés
VAB
Impôts sur la production
EXCÉDENT BRUT D’EXPLOITATION
Compte de revenu
Impôts sur le revenu versés
EBE
Salaires reçus
Revenus de la propriété reçus
Prestations sociales reçues
REVENU DISPONIBLE BRUT
Compte de distribution du revenu en nature
RDB
Transferts en nature
REVENU DISPONIBLE BRUT AJUSTE
Compte d’utilisation du revenu
Consommation finale
RDB ajusté
ÉPARGNE BRUTE
Compte des acquisitions des actifs non financiers
FBCF
EB
Variation de stocks
CAPACITÉ DE FINANCEMENT (+)
BESOIN DE FINANCEMENT (-)
exercice ici
3-
La relation Épargne ( E ) / Investissement ( I )
1- en économie fermée
2- en économie ouverte
1- en économie fermée
En économie fermée, on retiendra que l’épargne est toujours égale à l’Investissement.
On peut considérer que la valeur des Revenus versés est égale à la Production. Or, on sait que la
Production, c’est la Consommation ajoutée à l’Investissement ( ce qu’on produit sert soit à la
Consommation des ménages, soit à l’Investissement des entreprises ). D’autre part , les Revenus
servent soit à la Consommation, soit à l’Épargne.
Donc l’Épargne est égale à l’Investissement.
doc 33 p 30 :
P=R
P=C+I / R=C+E
donc E = I
2- en économie ouverte
En économie ouverte, on retiendra que le solde de la Balance Commerciale ( X - M ) est égale à la
différence entre l’Épargne et l’Investissement.
Si une économie investit plus qu’elle n’épargne, elle aura donc un Besoin de Financement, cela
correspond à un déficit commercial ( elle a plus dépensé en importions qu’elle n’a gagné en
exportations), donc elle a fait appel à l’épargne étrangère pour financer ses importations.
Si une économie connaît un excédent commercial, elle sera donc en Capacité de financement ( elle
dépense moins qu’elle ne vend ), donc elle est capable de prêter de l’argent à l’étranger
doc 35 p 32 :
P+M=C+I+X
X-M=P-(C+I)=P-C-I
P = R donc X - M = R - C - I
donc
X - M = E - I soit encore I = E + (M - X)
En économie ouverte , l’Épargne est toujours égale à l’Investissement à condition que l’on considère à
la fois l’Épargne nationale (E) et l’Épargne étrangère (M - X). A l’échelle de l’économie mondiale, les
Capacités de Financement sont égales aux Besoins de Financement.
exercice ici
B- les principaux ratios
On appelle ratio, le rapport entre 2 agrégats exprimés en pourcentage :
exemple de ratio = ( FBCF / VAB ) x 100 = ..... % ( taux d’investissement )
Ces ratios sont autant d’outils utiles pour analyser la conjoncture économique (= évolution de
l’économie française sur un an ) .
On distinguera des ratios :
- pour les sociétés
•
pour les ménages
1- pour les sociétés
•
taux de marge
•
taux d’investissement
•
taux d’autofinancement
•
taux d’épargne
•
taux de marge :
( EBE / VAB ) x 100
Il indique la part de bénéfice dans la richesse produite
en 1999 : 32 % de la VAB en France
•
taux d’investissement :
( FBCF / VAB ) x 100
Il indique la part de richesse consacrée à l’investissement
en 1999 : 18 % de la VAB en France
•
taux d’autofinancement :
( EB / FBCF ) x 100
Il permet de mesurer la capacité de l’entreprise à financer par elle-même son investissement
Notes de cours proposées par Marion – 601 – année scolaire 2000/2001
exercice ici
III Les limites de la comptabilité Nationale
A)
les limites de la comptabilité nationale pour mesurer la croissance
La CN sert à mesurer l’activité économique , en ce sens elle est un bon outil pour mesurer la
croissance mais n’est elle pas sans limite ?
Cependant, il s’avère que pour mesurer le développement, la CN est un outil insuffisant.
La croissance est l’augmentation des quantités de bien et de services produites et vendues
durant l’année.
Comment se mesure-t-elle ?
Par un taux d’accroissement du PIB ou du PNB
En 1993, année particulière, le taux de variation du PIB est négatif donc le PIB est en
diminution, on dit que c’est une dépression.
La croissance est un phénomène irrégulier, elle connaît une sorte de rythme avec une
alternance de dépressions (baisse du Pib), expansions (croissance de plus en plus rapide du
Pib), récessions (croissance de plus en plus faible du Pib).
On doit considérer quelques limites (voir doc 1,2,3).
Doc 1
Lorsqu’il y a de l’inflation, la mesure de la production est surévaluée.
Pour comparer des rythmes de croissance dans le temps, il faut faire en sorte que les prix
restent stables. Pour cela, on calcule le PIB en volume c’est à dire en Francs constants.
Pour passer des Francs courants en Francs constants (s’entraîner), on divise la valeur de la
production par le coefficient multiplicateur des prix.
Doc 2
Sous estimation des services à cause du progrès technique
La productivité augmente (on produit davantage en moins de temps) et donc l’évaluation de la
production au temps passé est minorée.
Doc 3
La production réalisée dans une économie n’est pas totalement comptabilisée. On ignore
l’économie souterraine.
Il y a dans l’économie souterraine :


des activités non mesurées car elles ne sont pas déclarées : travail au noir
des activités non déclarées et illégales : l’économie de la drogue
Le PIB ne mesure pas l’économie domestique car on ne mesure que des activités
rémunérées (il en est ainsi de l’activité de bénévolat)
B)
les limites de la comptabilité Nationale pour mesurer le développement.
Développement = ensemble des changements productifs ou sociaux dont le résultat améliore
les conditions d’existences d’une population donnée
La croissance est un phénomène quantitatif et le développement est un phénomène qualitatif
La comptabilité Nationale permet-elle l’analyse du développement ?
Doc 4 - propose des illustrations


les embouteillages, la pollution, sont des illustrations  plus il y a d’embouteillage,
plus il y a de production, plus le PIB augmente, cela ne signifie pas pour autant de
meilleures conditions de vie. Y a-t-il développement ?
la consommation de médicaments fait augmenter le PIB, cela ne traduit pas pour autant
un développement.
Pour que la Comptabilité Nationale mesure le développement, il faudrait mesurer certaines évolutions
non pas en positif mais en négatif.
On peut avoir une croissance du PIB sans que pour autant les revenus augmentent pour tous.
L’existence d’inégalités freine le développement.
Pour mesurer le développement, si le PIB ne convient pas, on utilise d’autres indicateurs : le PNUD (le
programme des Nations Unis pour le Développement) propose l’IDh (indicateur de développement
humain).
Téléchargement