Introduction
Animant les esprits avancés de l'humanité progressive l'idée de progès de
l’intégration européen, réalisée dans la pratique pratiquement tout de suite après la fin de
la deuxième guerre mondiale, quand les peuples européens se sont rendus compte de la
force de l'unité dans la lutte contre l'ennemi total, et, sur le plan économique, de l’effet
positif de la mise en сommun des efforts en vue de la réalisation des tâches et buts
globaux, serait peu ou pas possible, sans cet ensemble historique et culturel, qui, à partir
du médiéval précoce, distinguait plus au moins visiblement l’Europe du reste du monde.
Les Européens se sont toujours considérés comme les habitants de l’Europe, les
habitants de l'autre partie du monde unique. On trouvait au début du Moyen-Age, que
l’Espagne se trouvait presque à l'extrémité du monde, et si ailleurs il y avait la vie, elle
était présentée comme se distinguant rudement des mondes de erè européens connus,
c'est-à-dire monstrueuse.
Mais qu’était cette limite, cette frontière invisible, qui séparait Europe, faisant de
celle-ci, dans l’imagination des Européens mêmes précoces, presque un seul îlôt de la
civilisation ? Aussi étrange que cela, soit la réponse est génialement simple - la religion,
le christianisme représenté par le catholicisme était ce lien, ce facteur et ce sol, sur quoi
l’on construisait toute la civilisation Européenne, dont la réalisation n’aurait pas été
possible sans cette spiritualité, sans cette abnégotion pieuse et ce dévouement au Dieu,
que portait le catholicisme.
L'échelle de valeur chrétienne inculquée à la conscience de l’Européen, aidait à
créer cette culture, que maintenant nous nommons courageusement européenne, cette
culture, qui est non seulement la fierté des Européens, mais encore du monde entier,
faisant elle-même une contribution importante à la culture mondiale.
Jusqu'à l'époque de la Renaissance la culture européenne , se concentrait autour de
la sujet religion: chaque bâtiment, chaque oeuvre de la peinture, bref tout, ce que créait
la main du maître européen, - tout était enspiré par la reigion.
L'église et l'âme de l’Européen allaient côte à côte sinon pendant deux
millénaires, du moins pendant une grande partie de cette période. On ne peut pas nier
même maintenant le rôle du christianisme dans le processes de intégration européen,
tellement important pour nous à l'époque de la mondialisation, même ici, au Kazakhstan
- dont une partie se trouve en Europe et l’autre en Asie, en créant de ce fait presque la
passerelle entre la culture de l’Asie et la culture de l’Europe.
En parlant de la mondialisation, il faut remarquer, que l'église, même catholique
se mondialise, en élargissant les liaisons diplomatiques et en augmentant la quantité de
représentations diplomatiques de par le monde, en comptant déjà 174 pays, avec qui sont
établies des relations diplomatiques officielles du Vatican représentant dans l'arène
mondiale les intérêts de l'église catholique.
L’existence de relations diplomatiques avec une si grande quantité d'états, montre
impossiblement mieux la position de l'église catholique dans le monde moderne