Technique articulaire du pied et de la cheville

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Technique articulaire du pied et de la cheville
D. Bonneau, M. Cataliotti, J. Renzulli
Institut Supérieur de Thérapeutique Manuelle
www.medecinemanuelle.fr
De par ses vingt-huit os et ses trente-deux
articulations, le pied pourrait être un terrain
de jeu pour le manipulateur novice.
Quel bonheur d’avoir sous la main autant de
joints à manipuler !
Prudence !
© Sauramps Médical. La photocopie non autorisée est un délit.
Les manipulations avec impulsion qui ont fait
le délice de nos premières années de pratique ont lentement fait place à des pratiques
plus douces et plus respectueuses de la physiologie articulaires ainsi que des récepteurs.
L’orage neurovégétatif que l’on évoquait à
nos débuts pour expliquer le mode d’action
des manipulations avec impulsion a fait place
à une rosée moins brutale mais tout aussi
hydratante.
En pratique, les manipulations avec impulsion
conservent leur place mais doivent être pratiquées qu’en l’absence de résultat avec les
techniques non forcées de glisser articulaire.
LES MANIPULATIONS AVEC
IMPULSIONS [1, 3, 4, 5, 6, 7]
Ce terme remplace depuis les années 1980
(FIMM) les termes de manipulation avec
haute vélocité et faible amplitude (HVLA).
La manipulation avec impulsion est une mobilisation passive d’une articulation périphérique ou intervertébrale qui se compose d’un
premier temps de mise en tension des structures ligamentaires de contention, puis dans
un deuxième temps une impulsion brève, forcée de très faible amplitude mais réalisée
avec une grande vitesse.
La perception habituelle d’un claquement traduit le phénomène de cavitation, formation
instable d’une bulle de gaz par le passage de
la phase dissoute à la phase gazeuse et ce à
température constante lors de la baisse brutale de la pression.
Robert Maigne a parfaitement codifié les indications et les modalités de réalisation aux
différents étages rachidiens.
Il a défini la loi de la non-douleur et du mouvement contraire.
Yvon Lesage nous a enseigné les principes et
les techniques de manipulation des articulations périphériques.
Ils ont décrit l’étoile de Maigne et Lesage qui
permet de visualiser les amplitudes libres, et
celles qui sont limitées, bloquées et/ou douloureuses (fig. 1).
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Médecine du sport et thérapies manuelles
Flexion
Latéro-flexion G
Latéro-flexion D
Rotation G
Rotation D
Extension
Fig. 1 : Schéma en étoile de Maigne et Lesage
Il est intéressant de comparer le concept de
lésion ostéopathique et cette étoile.
Une lésion ostéopathique se définit par les
amplitudes libres, ainsi pour un ostéopathe le
schéma en étoile sous-jacent (fig. 1) exprime
une lésion en flexion, rotation et latéroflexion
(sidebending) droite soit une FRS droite. En
technique ostéopathique dite directe, l’application de la force se fait dans le sens de la
limitation du mouvement. On peut utiliser des
manipulations avec ou sans impulsion ainsi
que des techniques neuromusculaires dites
myotensives contre la résistance appelée la
barrière motrice.
Parmi les techniques ostéopathiques indirectes ou fonctionnelles, la méthode de positionnement de Jones est la plus connue. Le
“sens” du traitement s’effectue dans les amplitudes qui sont libres.
Dans le concept de médecine manuelle défini
par Robert Maigne, l’établissement du schéma en étoile témoigne d’une limitation douloureuse de l’extension, de la flexion gauche
et de la rotation gauche. Ainsi, la manipulation
-( 104
s’effectue dans les secteurs libres et non
douloureux soit en flexion, rotation et latéroflexion droite, gage de sécurité et d’efficacité.
Au niveau des articulations périphériques, la
loi de la non-douleur et du mouvement
contraire s’applique et, en outre, est une garantie de sécurité. Rappelons, voire insistons
lourdement sur le fait qu’il s’agit de faible
amplitude et les mouvements de fléau tel
qu’on peut le voir parfois enseigné pour un os
naviculaire ne respecte en rien la physiologie
du pied où chaque os à sa fonction propre
étroitement lié à l’environnement. Mais le
pied sait manifester son désaccord, hélas aux
dépens du patient.
LES MANIPULATIONS SANS
IMPULSIONS OU TECHNIQUES NON
FORCÉES [2, 8, 9, 10]
Elle s’applique tant au niveau du rachis que
des articulations périphériques.
Pour chaque articulation on décrit des mouvements principaux ou majeurs et des mouvements accessoires ou mineurs.
Les mouvements principaux sont liés aux
types d’articulations, leurs degrés de liberté
et leurs axes de travail.
Ils se définissent dans les trois plans de
l’espace :
-Rotation médiale et latérale dans le plan
transversal ou horizontal,
-Abduction et adduction dans le plan frontal,
-Flexion et extension dans le plan sagittal.
Les mouvements accessoires ou mineurs
découlent des repères tridimensionnels x, y
et z. En effet, autour de ces axes deux types
de déplacement peuvent se produire, l’un linéaire par une translation (tx, ty, tz), l’autre
angulaire par la rotation (ωx, ωy, ωz).
Technique articulaire du pied et de la cheville
Les mobilisations et manipulations sans impulsion tirent leur efficacité de leur action sur
ces mouvements accessoires.
De très nombreuses techniques sont décrites
depuis Menell, et nous avons pris le parti de
développer les techniques qui favorisent le
glissement articulaire, car dans notre expérience elles nous paraissent non seulement
efficaces mais aussi simples à réaliser et, en
plus, souvent élégantes.
Sur le plan biomécanique, on décrit plusieurs
types de déplacement articulaire, soit le roulement (fig. 2), soit le glissement (fig. 3) en
fonction des forces de frottement des surfaces en contact.
En fonctionnement articulaire physiologique,
le glissement articulaire est de règle, résultat
d’un centrage parfait des surfaces articulaires, d’une lubrification articulaire optimale,
d’une mobilisation par des couples musculaires équilibrés.
© Sauramps Médical. La photocopie non autorisée est un délit.
Fig. 2 : Roulement articulaire lorsque les forces de frottement sont élevées : déplacement en translation du
centre de rotation.
Fig. 3 : Glissement-patinage articulaire lorsque les forces de frottement sont nulles.
105 )-
Médecine du sport et thérapies manuelles
L’AVANT-PIED
Traitement manuel global
Il consiste en de mobilisation passive et lente
dans toutes les amplitudes physiologiques de
l’articulation traitée :
Technique 1 : Mobilisation globale de
la palette métatarsienne (fig. 4)
Technique 2 : Mobilisation analytique
de chaque tête métatarsienne
(fig. 5 et 6)
Patient : décubitus.
Praticien : assis sur une chaise, le pouce
plantaire pousse la tête en direction dorsale
et ensuite, l’index effectue le mouvement inverse en direction plantaire, et ce, alternativement. La mobilisation est réalisée dans toute
l’amplitude.
Patient : décubitus.
Praticien : assis sur une chaise les deux
pouces sous les têtes métatarsiennes les
mobilisent en abaissement et élévation, possibilité de changer la prise avec les doigts en
position dorsale.
Fig. 4 : Technique 1 de mobilisation globale des têtes
métatarsiennes
-( 106
Fig. 5 : Technique 2 de mobilisation analytique des
têtes métatarsiennes
Technique articulaire du pied et de la cheville
LE MÉDIO-PIED
Technique 4 : Mobilisation du
couple de torsion en éversion et
en inversion : “l‘essorage de la
serpillière” (fig. 8 et 9)
Fig. 6 : Technique 2 de mobilisation analytique avec
doigt de contrôle de la mobilité articulaire proximale
Technique 3 : La traction axiale des
orteils (fig. 7)
© Sauramps Médical. La photocopie non autorisée est un délit.
Patient : procubitus, pied en dehors de la table.
Praticien : assis sur une chaise les doigts ou
les deux mains saisissent orteils ou métatarse pour exercer une décoaptation axiale.
Fig. 7 : Technique 3 de traction axiale des orteils
Patient : décubitus.
Praticien : assis sur une chaise, une main fixe
le calcanéum et l’amène en varus. La main
opposée empaume l’avant-pied, le pouce
sous la tête du cinquième métatarsien et
exerce une pression souple pour effectuer
une détorsion du pied, puis le pouce se positionne successivement sous la base du métatarsien et enfin sous le cuboïde.
Puis on inverse la prise, le calcanéum est
amené en valgus, et l’autre main empaume
l’avant-pied positionnant le pouce sous la tête
du premier métatarsien puis descend successivement à sa base appuis sous le premier
cunéiforme et enfin sous l’os naviculaire.
Fig. 8 : Technique 4 de travail en détorsion
107 )-
Médecine du sport et thérapies manuelles
Technique 5 : Mobilisation globale
en éversion et en inversion avec
focalisation sur l’os naviculaire ou le
cuboïde (fig. 10)
Patient : procubitus.
Praticien : debout, il empaume fermement
des deux mains le pied en positionnant ces
deux pouces l’un sur l’autre en regard soit
de l’os naviculaire en dedans soit du cuboïde
en dehors. Les index se rejoignent à la face
dorsale.
Fig. 9 : Technique 4 : détail de position du pouce
Le rôle des pouces est d’accompagner analytiquement le naviculaire puis le cuboïde en
exerçant une pression planto-dorsale, alors
qu’à l’inverse les index exercent une pression
dorso-plantaire.
Fig. 10 : Technique 5 : mobilisation en éversion et en inversion avec focalisation alternative cuboïdienne et naviculaire
-( 108
Technique articulaire du pied et de la cheville
Le praticien va réaliser des mouvements globaux d’inversion et d’éversion, pouce et index
focalisent le mouvement sur le naviculaire
puis le cuboïde, respectant si nécessaire la loi
de la non-douleur et du mouvement contraire.
Technique 6 : Mobilisation globale
arche médiale (fig. 11)
Patient : latéro-cubitus pied à traiter arche
latérale sur la table.
Praticien : debout sur le côté.
Prises : une fixation calcanéenne palmaire,
une mobilisation par une prise métatarsienne
et mobilisation douce en ouverture et glissement articulaire en direction dorsale successivement du métatarsien et du cunéiforme.
Technique 7 : Os naviculaire et
cuboïde “dits inférieurs” (fig. 12)
Patient : procubitus, membre inférieur à traiter en dehors de la table, genou fléchi, jambe
parallèle au sol.
Praticien : debout, attrape le pied par une
prise bimanuelle, les pouces réunis à la plante
du pied sous le cuboïde ou l’os naviculaire.
La mobilisation de très faible amplitude s’effectue dans le sens de la non-douleur et du
mouvement contraire.
Fig. 12 : Technique 7 : mobilisation du cuboïde ou de
l’os naviculaire
© Sauramps Médical. La photocopie non autorisée est un délit.
Technique 8 : Os naviculaire et
cuboïde “dits supérieurs”
Fig. 11 : Technique 6 en ouverture de l’arche médiale
Identique à la précédente dans ces prises,
mais la mobilisation est effectuée par un
mouvement comparable à celui du lancer de
crêpes avec une poêle ou de pêche à la ligne
avec l’index en position dorsale qui exerce
une poussée dorso-plantaire.
109 )-
Médecine du sport et thérapies manuelles
Technique 9 : Os naviculaire et
cuboïde (fig. 13)
Technique directe sans fléau.
Les doigts médians fixent l’avant-pied et l’arrière pied, les deux pouces se rejoignent en
regard de l’os naviculaire ou du cuboïde et
exercent une poussée brève et de faible amplitude en direction planto-dorsale.
TALO-CRURALE
Technique 10 : Mobilisation en flexion
dorsale du talus (fig. 14)
Patient : décubitus dorsal.
Praticien : assis sur le bord de la table, le pied
du patient reposant par le talon sur la table,
les têtes métatarsiennes sur la cuisse du praticien qui du bord radial de sa main droite
repousse la tête et le col du talus vers l’arrière
tout en majorant la flexion dorsale. Le but est
de redonner une bonne flexion dorsale en favorisant la postériorisation du talus afin de lui
permettre sa “réintégration” dans la mortaise
tibio-fibulaire.
Fig. 14 : Technique 10 de postériorisation du talus
dans la mortaise tibio-fibulaire
Fig. 13 : Technique 9 de mobilisation analytique cuboïdienne ou naviculaire
-( 110
Technique articulaire du pied et de la cheville
Technique 11 : Variante de la
précédente (fig. 15)
Technique 12 : Translation antéro­
postérieure tibio-fibulaire (fig. 16)­
Le praticien réalise une prise bi-manuelle
pour apporter une plus grande précision, les
deux pouces repoussant délicatement le talus
vers l’arrière.
Patient : décubitus dorsal pied à plat sur la
table.
Praticien : assis sur la table fesse sur les orteils du patient.
Prises : manuelle bi-malléolaire, et translation
antéro-postérieure.
Fig. 16 : Technique 12 de translation tibio-fibulaire,
talus fixé.
SOUS-TALIENNE
© Sauramps Médical. La photocopie non autorisée est un délit.
Technique 13 : Décoaptation globale
sous-talaire et tibio-fibulo-talaire
Fig. 15 : Technique 11 : prise bimanuelle avec les
deux pouces au contact direct du talus (à droite
détail de la position des pouces)
(fig. 17)
Patient : procubitus, genou fléchi à 90°.
Praticien : par une prise bimanuelle manœuvre exerce une traction verticale pour
décoapter la sous-talienne.
111 )-
Médecine du sport et thérapies manuelles
Technique 14 : Glissement transversal
de la sous-talienne (fig. 19)
Patient : latéro-cubitus droit, pied en dehors
de la table.
Praticien : debout sur le côté, métatarse entre
les cuisses.
Prises : une main en bi-malléolaire, l’autre
empaumant le calcanéum et glissement
transversal dans les deux sens.
Fig. 17 : Technique 13 de décoaptation sous-talienne
Variante 1 : si la prise est réalisée d’une main
en regard de la grosse tubérosité du calcanéum et de l’autre sur l’os naviculaire et le
cuboïde, l’action s’exerce de manière plus
précise sur la sous-talienne ; mais la talocrurale est, elle aussi, bénéficiaire de cette
décoaptation.
Variante 2 : si la prise est réalisée d’une main
en regard de la queue du talus et de l’autre
sur le col et la tête du talus, l’action s’exerce
de manière plus précise sur la talo-crurale
(fig. 18).
Fig. 19 : Technique 14 de glissement transversal de
la sous-talienne
Technique 15 : Translation soustalienne (fig. 20)
Fig. 18 : Technique 13 : Variante 1 à gauche ; variante
2 à droite
-( 112
Patient en décubitus, genou fléchi à 90°, le
praticien empaume d’une main l’avant-pied
et de l’autre l’extrémité distale de la jambe. Il
fixe le calcanéum sur la table et par une manœuvre comparable à l’action d’un rabot, il
exerce une poussée d’avant en arrière pour
faire glisser le talus sur le calcanéum. Le déplacement des mains est strictement parallèle au plan de la table.
Technique articulaire du pied et de la cheville
Technique 17 : Tibio-fibulaire
proximale, fibula dite postérieure,
classique mais à risque pour le
ménisque latéral (fig. 21).
Fig. 20 : Technique 16 de glisser talo-calcanéen,
technique dite du rabot
TIBIO-FIBULAIRE
Elle est tellement classique que nous la décrivons tout en déconseillant vivement toute
brutalité et toute puissance car le ménisque
latéral n’apprécie guère !
Patient : décubitus dorsal.
Praticien : main gauche en arrière de la tête
de la fibula.
Prises : Flexion du genou et mobilisation vers
l’avant de la tête de la fibula en prenant la
précaution de prendre en coussin protecteur
le gastrocnémien, car le nerf fibulaire est
proche !
© Sauramps Médical. La photocopie non autorisée est un délit.
On ne peut plus négliger les articulations tibio-fibulaires distales et proximales, puisque
l’on connaît l’importance de la fibula dans le
réglage de la pince à serrage élastique.
Au niveau de son articulation proximale avec
le tibia, la fibula peut effectuer un mouvement
antéro-postérieur, la direction vers l’arrière
étant préférentielle du fait de la traction du
biceps. Elle peut “tourner” sur elle-même de
quelques degrés mais ne peut pas ascensionner, bloquée en cela par l’orientation de l’articulation. Néanmoins, il semble qu’elle puisse
s’impacter. C’est une observation purement
empirique, décrite par les rebouteux mais
aussi les médecins militaires.
Fig. 21 : Technique 17 de mobilisation postéro-antérieure de la tête de la fibula
Les techniques qui suivent découlent de cette
introduction.
113 )-
Médecine du sport et thérapies manuelles
Technique 18 : Tibio-fibulaire
proximale, fibula dite postérieure
Technique 20 : Tibio-fibulaire
proximale, fibula dite antérieure
Patient : décubitus dorsal.
Praticien : main gauche en arrière de la tête
de la fibula.
Prises : Antériorisation de la tête de la fibula
par une pression postérieure, en protégeant le
nerf par une prise incluant le gastrocnémien.
Situation rare.
Patient : décubitus dorsal, MID en extension
talon reposant sur l’épaule du praticien.
Praticien : main gauche en avant de la tête de
la fibula.
Prises : mobilisation antéro-postérieure par la
main droite qui ramène la tête vers l’arrière.
(fig. 22)
Fig. 22 : Technique 18 de mobilisation, postéro-antérieure de la fibula
(fig. 24)
Fig. 24 : Technique 20 de mobilisation antéro-postérieure de la tête de la fibula
Technique 19 : Tibio-fibulaire
proximale, fibula dite postérieure
(fig. 23)
Technique 21 : Variante de la
précédente fibula dite antérieure
(fig. 25)
Fig. 23 : Technique 19 de mobilisation antérieure de
la tête de la fibula
-( 114
Fig. 25 : Technique 21 de mobilisation antéro-postérieure de la tête de la fibula
Technique articulaire du pied et de la cheville
Technique 22 : Tibio-fibulaire
proximale, en abaissement (fig. 26)
Je garde en mémoire cette technique enseignée par un rebouteux, pour un patient présentant une entorse talo-crurale non compliquée
mais rentrant boitillant dans l’arrière-cuisine
après avoir été traité de la sorte, en association
avec un vigoureux massage du triceps et repartant tout guilleret d’un pas léger.
Patient : assis sur le bord de la table, jambe
pendante.
Praticien : par un coup sec du bord ulnaire de
la main (éminence hypothénar) impulsion
manipulative du haut vers le bas.
Fig. 26 : Technique 22 d’abaissement de la tête
fibulaire
BIBLIOGRAPHIES
[1] GREENMAN PE. Principes de médecine manuelle. Pradel, Paris, 1998.
[2] KALTENBORN FM. Thérapies manuelles pour les articulations des membres, examen et techniques thérapeutiques de base. Paris, Maloine, 173p, 1984.
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© Sauramps Médical. La photocopie non autorisée est un délit.
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diagnostiquer et traiter. Issy-les-Moulineaux : Elsevier
Masson, 2006.
[6] POMERO V, BONNEAU D. Le phénomène de cavitation.
Revue de Médecine Vertébrale & des articulations périphériques, 8, 2002.
[7] RABISCHONG P. Anatomie compréhensive des fonctions motrices. De Boeck, Bruxelles, 2013, 171 p.
[8] SOHIER R, SOHIER J. Concept Sohier, justification fondamentale de la réharmonisation biomécanique. La Louviere, Ed. Kine Sciences, 239 p, 2000.
[9] SOULIER JM. Ostéopathie orthopédique, les techniques non forcées, tome 1 le rachis. Montpellier, Sauramps Médical, 2009
[10] SOULIER JM. Ostéopathie orthopédique, les techniques non forcées, tome 2, Les articulations périphériques. Montpellier, Sauramps Médical, 2013.
115 )-
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