Les salariés peuvent interrompre la tâche en cours quand
ils en ressentent le besoin (pause)
Les salariés ont la possibilité d'échanger sur la façon de
faire le travail (entre eux et avec l'encadrement)
Exemples de bonnes pratiques : mettre en place le "1/4 d'heure café" pour créer du lien, clarifier les missions, parler
des dysfonctionnements…, valoriser la créativité, reconnaitre le droit à l'erreur, créer une charte managériale
définissant clairement le rôle du manager, créer un manuel de civilités rappelant les bons comportements à adopter
dans le rapport en face à face et par mail, former les managers à la conduite d'entretiens professionnels, former les
managers à la communication (ex: communication non violente), instaurer des espaces de discussion sur les métiers
pour une résolution partagée des problèmes et pour partager les retours d'expériences positives, associer le
management intermédiaire aux décisions stratégiques, veiller à donner la bonne information à tous quels que soient
le niveau ou le service dans lesquels les salariés se trouvent, mettre à disposition des salles de repos, des espaces
de rencontres, refuser les pratiques managériales néfastes (objectifs impossibles, management par le stress,
injonctions paradoxales, absence de consignes), développer la culture "chacun dit ce qu'il fait et fait ce qu'il dit", être
attentif en cas de conflits de personnes ou de services à repérer dans le recueil de la parole de chacun ce qui fait
référence à l'organisation du travail pour l'améliorer ...
Les salariés ont des marges de manœuvre dans la
manière de réaliser leur travail (choix des façons de faire,
des outils, de l'ordre des tâches…)
Les salariés peuvent modifier temporairement le rythme
de leur travail (ex : arrêter ou ralentir la machine lorsqu'ils
ne peuvent plus suivre le rythme ou passer plus de temps
avec un client)
L'entreprise a mis en place de moyens de contrôle et de
surveillance de ses salariés à tout moment lors de
l'exécution de leur travail
Les salariés sont consultés sur l'aménagement des
locaux, l'acquisition de nouveaux matériels, le choix des
outils ou produits, les modifications des jours ou horaires
d'ouverture…
Exemples de bonnes pratiques : faire participer les salariés au choix de leurs outils techniques et de leur
environnement de travail, permettre la créativité des salariés et reconnaitre leur potentiel d'innovation, éviter les
réunions en fin de journée ...
Les salariés sont-ils confrontés à un public difficile (ex :
clients mécontents, personne en détresse…) ?
Les salariés ont-ils à suivre des procédure stricte
concernant le relationnel (Sourire Merci Au revoir)?
Les travailleurs isolés disposent-ils de moyens de
communication avec les autres?
Les salariés sont-ils agressés verbalement (voire
physiquement) par les clients, usagers, patients…
Exemples de bonnes pratiques : soutenir et accompagner les salariés en difficulté (à l'initiative de l'encadrement,
demande de consultation auprès du médecin du travail), mettre en place des formations à la gestion des relations
avec un public difficile / à la gestion des conflits, mettre en place une procédure pour la sécurité des travailleurs
isolés, ...
Fiche repère n° 27 : RPS 3 / 5