Si le réflexe myotatique sert d'outil diagnostique
pour identifier d'éventuelles anomalies du
système neuromusculaire local, il n'est pas
suffisant car certaines anomalies peuvent
résulter d'anomalies touchant le système
nerveux central et se traduire aussi par des
dysfonctionnements musculaires.
Ainsi, la contraction d’un muscle peut se réaliser
suite à son étirement dans le cas du réflexe
myotatique mais il peut également s’agir d’une
contraction volontaire contrôlée par le
cerveau.
Problèmes : comment les mouvements volontaires sont-ils
contrôlés ?
Quelles sont les possibilités d’adaptation du cortex cérébral tout
au long de la vie ?