1
Introduction..........................................................................................1
Rappels...................................................................................................4
I. Historique...........................................................................................5
A. à travers le monde…………………………………………..……5
B. Au Maroc…………………………………………………………..6
II. Aspects épidémiologiques………………….……………………………7
III. Répartition géographique…………………………………………….9
A. A l’échelle mondiale………………………………………………9
B. A l’échelle nationale…………………………….………………13
IV. Parasitologie……………………………………………………………..13
A. Classification…………………………………………….……14
B. Morphologie de tænia E.G………………………………..……14
1) Forme adulte…………………………………………….…..15
2) L’embryophore…………………………………………….19
3) Forme larvaire ou hydatide…………………………….19
C. Cycle parasitaire……………………………….………………30
1) Mode de contamination animal…………………...……30
2) Mode de contamination humaine………………..……….31
Physiopathogénie..............................................................................34
Manifestations cliniques.................................................................35
I. Localisations les plus fréquentes……………………………..………36
A. Localisation hépatique…………………………..…………….36
B. Localisation pulmonaire…………………………...………….38
C. Localisation splénique……………………………………...39
D. Localisation rénale…………………………………………….40
2
II. Formes inhabituelles et graves………………………………………40
A. Localisation osseuse……..…………………………………….40
B. Localisation cérébrale…………………………………………41
C. Localisation pleurale ou péritonéale……………………….42
D. Localisation cardiaque………………………………….....….43
III. Localisations méconnues ou exceptionnelles……………………....43
IV. Evolution de la maladie…………………………………………..……45
Diagnostic............................................................................................46
I. Diagnostic clinique………………………………………………….….47
A. Circonstances de découverte………………………….……47
II. Diagnostic paraclinique……………………………………………….48
A. Réponse immune de l’hôte…………………………………….48
B. Examens biologique……………………………………..…..49
1) Méthodes non spécifiques…………………………………49
2) Méthodes spécifiques………………………………………50
C. Examen parasitologique direct………………………………56
D. Examens radiologiques……………………………….……….57
III. Diagnostic positif……………………………………………………….63
IV. Evolution…………………………………………………………………64
Traitement..........................................................................................65
I. Traitement chirurgical…………………………………………………66
II. Traitement percutané………………………………………..………67
III. Traitement médical……………………………………………….….71
A. bendazole……………………………………………….…….72
B. Flubendazole……………………………………………..……..74
3
C. Albendazole………………………………………………………74
D. Praziquantel……………………………………………………. 77
E. Traitement immunologique……………………………..…….79
F. Antibiothérapie…………………………………………………79
G. Efficacité du traitement médical……………………………..79
H. Indications du traitement médical…………………….……..79
Prévention et prophylaxie ……………………………………………81
Matériels et méthodes………………………………………...………..85
Résultats…………………………………………………..........................87
I. DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES…………………......................88
A. Répartition des malades selon les années.……………….…..88
B. Répartition des malades en fonction de sexe………………..89
C. Répartition des malades en fonction de l’âge……………..90
D. Répartition des malades selon le milieu social…………...…92
E. Répartition selon la localisation de kyste hydatique…….....92
II. DONNEES CLINIQUES………………............................................93
A. Les antécédents……………….................................................93
B. La symptomatologie clinique………………............................94
III. DONNEES BIOLOGIQUES………………......................................96
A. Biologie non spécifique……………….....................................96
B. Biologie spécifique………………............................................97
IV. DONNEES RADIOLOGIQUES……………….................................97
A. Radiographie de thorax……………….....................................97
B. Echographie……………….......................................................97
V. DONNEES THERAPEUTIQUES………………..............................99
4
A. Traitement médical………………...........................................99
B. Traitement chirurgical………………......................................99
VI. DONNEES EVOLUTIVES…………………………………..………..99
Discussion………………………………………………….....................100
Conclusion………………………………………………….....................113
sumé…………………………………………………...........................115
Abstract……………………………………………………………………118
Bibliographie…………………………………………….......................121
Introduction
5
L’hydatidose, ou l’échinococcose kystique, dénomination actuellement
préconisée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), est une
anthropozoonose due au développement chez l’homme de la forme larvaire du
tænia du chien, l’Echinococcus granulosus (EG) [1, 63,79]. Il s’agit d’une infection
cosmopolite sévissant particulièrement dans les pays d’élevage traditionnel, où il
existe une promiscuité chien-mouton. [2,3]
En effet, le cycle parasitaire se déroule entre le chien, hôte définitif, et les
mammifères herbivores ce qui expliquerait l’endémicité de la parasitose dans
certains pays (Afrique du Nord, bassin méditerranéen, Europe de l’Est), de plus
la possibilité d’insertion accidentelle de l’homme dans le cycle [4,5].
L’hydatidose humaine affecterait approximativement 50 millions de personnes
dans le monde.
Le kyste hydatique atteint essentiellement le foie (de 50 à 70 % des cas), le
poumon vient en seconde position (de 20 à 30 % des cas). Elle peut aussi
intéresser, mais beaucoup moins fréquemment, d’autres localisations telles que
la rate, les reins, le cœur, l’os ou le système nerveux central. Il est volontiers
comparé à une tumeur parasitaire bénigne touchant les deux sexes et à tous les
âges. [6]
Les pays du pourtour méditerranéen et plus particulièrement ceux du
Maghreb sont considérés comme étant des pays d’endémie hydatique la
prévalence de lhydatidose est de 15/100 000 habitants par an en Tunisie, et de
8/ 100 000 habitants par an au Maroc. En Europe, l’hydatidose est beaucoup
plus rare, elle touche habituellement des personnes émigrées de zones
endémiques. [1,7]
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