Encyclopédie : Le Garçons aux Bâtons d’Encens
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne
DIONYSOS CHAPITRE VII
Sous Chapitre : Mythes & Légendes
LES DIOSCURES
Complément d'information et remarques sur Castor et Pollux :
Les Héros Dioscures
CASTOR ET POLLUX
Castor et Pollux sont des fils jumeaux de Zeus et Léda, dans la majeure partie des
recueils, et autrement dits aussi autrefois : « les Dioscures ». Dans le cadre de leur
intervention mythologique la plus connue. C'est effectivement, qu'ils participèrent
notamment à l'Expédition des Argonautes. Menée par le grand héro grec Jason. Jason
(lire sous Jason) était un fils légitime du Roi AEson, un roi mythique qui régna sur la cité
d'Iolcos située en terre de la Thessalie. Jason dut partir un jour pour la contrée de la
Colchide avec cinquante de ses alliés, que l'histoire grecque hellénistique nomma « les
Argonautes ». Ayant survécu à son périple, le prince Jason, aidé des Dioscures
« Castor » et « Pollux ». Revint un jour de la Colchide muni de la célèbre 'Toison d'or
magique' Qu'il avait conquise, mais obtenue grâce à la précieuse aide de la princesse
magicienne Médée, une des filles du roi de la région. Médée était tombée amoureuse de
Jason à son arrivée à la cour royale de son père, lequel avait pour ordre de le tuer. Ce
qu'il n'exécutera pas tout de suite en raison des obligations royales liées aux règles de
l'hospitalité hellénique respectées des grandes cours de cette époque (lire sous le signe
de la Constellation du Bélier, dont la toison d'or avait pour réputation de pouvoir voler
et se mouvoir dans les airs comme un tapis volant...). Dans la mythologie grecque, Castor
et Pollux, appelés par la suite les Dioscures (c'est-à-dire : signifiant « les jeunes de Zeus
», mais autant : « Les faux dieux » « aux erreurs de mœurs »). Sont les fils jumeaux de
Léda. Les sœurs de Castor et Pollux sont Hélène et Clytemnestre. Dans la mythologie
grecque, les héros Castor et Pollux prennent part à la chasse du Sanglier de Calydon.
Ainsi qu'à l'expédition des Argonautes. Ils combattent contre le héros Thésée qui
terrassa pourtant jadis le célèbre Minotaure. Pour récupérer leur sœur Hélène. Que le
Prince ris avait ravie et enlevée. En retour, les deux frères jumeaux « raptèrent » et
enlevèrent à leur tour les filles du célèbre Leucippe. Reconnus pour être le symbole grec
de la figure indo-européenne des dieux jumeaux : Les Dioscures sont le symbole des
jeunes gens en âge de porter les armes. Ils apparaissent comme des sauveurs dans des
situations désespérées et sont les protecteurs des marins. « Le feu sacré de Saint-Elme »
était jadis parfois considéré comme le fait de leur manifestation physique. Ils sont
associés à la constellation des Gémeaux. Le dieu Mysos, la Haine - hideuse le plus
souvent - et dont le pouvoir destructeur était jadis assigné au périmètre du royaume
divin du Tartare infernal dans le monde du dieu Hadès, le Tartare étant la grande
prison divine et inviolable des hauts châtiés : servait Hadès le maître des lieux, mais
également les dieux Chronos, Arès, Héphaïstos et Dionysos ou Éris. Des divinités qui
parfois étaient réputées comme patronnes du symbole géminien sous un aspect négatif.
Janus le dieu des portes étant quant à lui le patron du symbole géminien sous un aspect
positif du signe dioscurien et bicéphale, tel quanciennement connu des historiens.
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Mysos dit : « le vénéneux », demeurait lun des maîtres divins du Tartare et un dieu
ancien des Ténèbres obscures. La Nuit nétait point toujours néfaste habillée des étoiles
de(s) Dieu(x), sans lesquelles elle devenait alors fatalement plutôt : les Ténèbres
meurtrières qui sincarnaient en la Haine symboliquement nommée : le dieu Mysos.
Daprès la mythologie grecque ancienne. Cest lun des régisseurs du signe des Gémeaux.
Affiliation classique :
Les Dioscures apparaissent déjà dans l'Iliade, qui nommait Castor, « le dompteur de
chevaux », et Pollux, « le boxeur ». Le poème ne mentionne pas avec précision le nom de
leurs parents. Mais Hélène les nomme comme ses frères. Dans l’Odyssée, en revanche,
Homère en fait tous deux les fils du Roi Tyndare et de Léda. Inversement, Castor et
Pollux furent tous deux considérés comme étant des fils de Zeus, du moins d'après « Le
Catalogue des femmes » rédigé par le pseudo-Hésiode. Ce qui sera relaté semble-t-il
également dans « les Hymnes homériques », l'hymne qui leur y est associé, les
qualifie également pour la première fois mythologique de : « Dioscures ». Par ailleurs,
« Les Chants cypriens » introduisent le motif selon lequel Castor est mortel et Pollux est
immortel. Cependant, la légende la plus fréquente établit que leur mère Léda, qui se
serait unie avec Zeus alors qu'il s’était supposément métamorphosé en un voluptueux
cygne blanc (ce qui restait jadis plutôt une caractéristique du dieu Dionysos à cette
époque), aurait pondu deux œufs : l'un contenant Pollux et Hélène, fils de Zeus. Et un
deuxième œuf contenant Castor et Clytemnestre, descendants du roi Tyndare
directement. Comme descendants issus d'un roi mortel : Pollux et lène sont donc de
simples mortels, alors que Castor et Clytemnestre sont des demi-dieux.
L'autre recherche du Mythe d'origine :
Pour information, il est bon de savoir que d'après la vieille origine de la légende grecque,
dans la mythologie très ancienne, le héros Pollux se faisait parfois nommer et appeler
différemment. Son nom originellement aurait signifié prétendument, et ce, selon
certaines définitions en grec ancien : 'le Poil', ou 'le poilu'. Ses autres noms étaient :
'Trikòs', 'Trikòtos', "Trikoton", ou parfois encore : 'le Héros de Laknê'. Ou 'le héros de
Trie' (Thridz (?)). Car on le donna jadis pour l'un des fondateurs prétendus de la "ville
de Trieste". Trieste étant une ville d'Italie située au nord - est du grand pays italien. Sur
l'Adriatique, c'est à dire tout au fond du Golfe de Trieste et dont la Cathédrale chrétienne
datait du XIème siècle, et d'après les ruines romaines sur lesquelles elle fut
vraisemblablement construite (mais seulement vers l'an 1000 à 1100 apr. Jésus - Christ).
Trieste ayant peut - être été une très ancienne colonie éloignée de la Ville d'Athènes. La
Ville de Trieste inspira le nom des trières (en nouvelle moquerie des descendants des
Dioscures contre Athéna - les Dioscures étant jadis parfois la désignation de « ceux qui
faussent les prières », et Athéna étant une grande déesse des prières Sagesse des
prières, ces deux mots francophones se ressemblent à une lettre près il est vrai…). Pour
définition : les Trières, c’était en outre ces bateaux à trois rangs de rames dont le
commandant de bord se nommait un triérarque. À cette époque, en tant que citoyen
athénien, tout commandant d'une trière, était quant à lui tenu d'armer sa trière à ses
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frais. Et il se portait le garant responsable de la traversée, ce, jusqu'aux colonies les plus
éloignées d'Athènes (Poséidon et le commerce maritime antique).
Affiliation ancienne d'après la légende d'origine :
Castor et Pollux et leur influence dans l'Histoire des Villes (en Europe):
Comme expliqué ci - dessus. D'après le mythe ancien qui sera modifié par la suite selon
les connaissances de la mythologie grecque classique et moderne. Il semblerait pourtant
que la naissance des héros Castor et Pollux, ainsi que celle de leurs sœurs Hélène et
Clytemnestre furent plutôt liées aux œuvres fécondes du dieu Dionysos, un puissant fils
de Zeus. Pollux était resté mortel, et son nom signifiait 'le poilu'. Ses autres noms
(jusqu'à ce qu'il devienne définitivement le Pollux actuel et fils de Zeus) en conséquence
étaient connus sous ceux de : 'le héro de Thrie', 'Trikòs', 'le héros de Laknê', 'Trikotos',
'Trikoton'.
Le héros Castor (dont l'autre nom fut parfois "Pigmê psilos", soit signifiant : 'le poing
non poilu', ou encore surnommé "Castor Kondilos", soit signifiant : 'Castor au fort coup
de poing'). Était considéré comme mal apprécié de la déesse Athéna (la Sagesse). Il était
immortel, certes. Et il avait pour pouvoir divin de recevoir le bon hasard (en raison de
son immortalité), car Castor fut protégé dès sa naissance de la déesse Tykê (la déesse du
hasard). D'après cette version ancienne. Castor, comme divinité, veillait sans forcément
le savoir sur les hommes et femmes poètes, notamment. Jadis, il aurait joué un rôle
historique dans la fondation de la Ville de Kastalie, qui corroborerait la construction de
la Ville de Castille, elle également divisée en deux parties géographiques nord et sud, et
elle aussi située en Espagne (Pays symbole des deux jumeaux « dioscuriens » en
Europe). Peut - être y eut-il une certaine confusion géographique en référence au mythe
originel consacré au héros Castor.
L’ancienne histoire de Castor
Dans l’ancienne mythologie, la déesse Athéna avait pris le héros Castor en grippe car
elle reconnut un jour en lui, qu'il favorisait le mal, le dieu Mysos, qui sert parfois le dieu
Arès, son ennemi juré (ennemi juré d'Athéna). Mysos d'après la mythologie grecque
ancienne était un dieu mineur "insufflateur" de la haine, notamment de la haine ourdie
contre les gens intelligents. La déesse Athéna qui incarnait la Sagesse pure, ne pouvait
souffrir ni le dieu Arès ; ni le dieu Mysos et ses équivalents : le dieu Arekthès, les déesses
Ekthra (c'est à dire : celle qui soutient ceux qui ont de la Haine, et qui se précipite vers le
bas pour cela) et Arekthéia (la Haine sous sa personnification féminine particulière). La
déesse Athéna la Chaste les avait donc d'autant plus ces divinités mineures en horreur.
Car il semblerait que la fille de Zeus, Athéna. Fut selon les dires d'un culte ancien.
Faussement assimilée avec ces dernières (Ekthra et Arekthéia qui l'usurpaient dans
certains cultes anciens athéniens, avant que la déesse Athéna ne reprenne sa place
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propre, et sa définition première. Notamment au sein du Culte des Panathénées
d'Athènes - rare). Pour se moquer méchamment de la chasteté de la déesse Athéna, sur
le conseil du dieu Arès, le dieu Mysos osa un jour nommer l'une de ses filles, qui venait
de naître : Mysantropia (celle qui a la haine des Hommes. Notamment celle qui a la
haine des Hommes mûres, mâles). Tandis que l'autre fils de Mysos se vit nommer
banalement : Misétos (celui qui est haïssable). Et dont Arès s'occupa de l'éducation aux
armes. En réponse à cette outrage, la déesse Athéna n'eut d'autre choix que de les
maudire tous deux (les enfants de Mysos) et leurs proches. En les affublant chacun d'une
'pneuma' (haleine) insupportable. Le héros Castor fut considéré comme un fondateur
de la Ville de Castille (en Espagne, qui aurait repris son nom dérivé par ses
descendants). Et comme le héros Castor, semblait durant son enfance avoir été placé
sous tutelle de ces divinités négatives, la déesse Athéna fit également en sorte qu'il soit
accablé d'un amour fraternel et intimement secret pour son frère jumeau Pollux, qui, lui,
était resté toujours mortel. Avec devoir de veiller sur lui. Il faut savoir qu'Athéna,
d'après le conte ancien mythologique. Fut en mesure de frapper le pauvre Castor de sa
malédiction de sagesse. Castor étant un fils de Dionysos, d’après la version première,
puis de Zeus selon la seconde interprétation mythologique la plus connue. Pour le bien
du peuple humain (mais simplement de Grèce : l'Humanité de cette époque d'après la
croyance) : Athéna sanctionna Castor. Car le mythe ancien précise. Que Castor, son
frère Pollux et leurs deux soeurs. Ne sont pas directement les fruits de l'amour de Zeus.
Mais plutôt bel et bien les fruits directs de l'amour de Dionysos (fils de Zeus) qui était
opposé à Tyndare. D'après une union amoureuse survenue entre le dieu Dionysos et la
princesse Léda, mais que Zeus courtisait également. Léda succomba au fils de Zeus :
Dionysos, métamorphosé en Cygne blanc (animalier de Dionysos - version rare et
occultée, cependant). Ce qui provoqua dans un premier temps le courroux de Zeus
contre Dionysos. Athéna en profita donc. Il ressort que le mythe des deux œufs est bel
et bien véridique d'origine. Mais à ce détail, que la paternité serait parfois faussement
attribuée à Zeus. De plus, il semblerait qu'avant de mourir, Castor eut le temps d'avoir
plusieurs descendances au cours de ses voyages. Ces descendances furent nommées
anciennement : « les Kastellanoï » ou « les Kastes ». Dont les autres noms furent
également celui de « Gênos » et de « Phylê », c'est à dire « les fous d'orgies », ou plus
précisément : « les fous orgiaques ». Qui bénéficient des privilèges du fils : et soit qui
sont les descendants de Dionysos (d'après le culte orgiaque). Dionysos qui, à cette
époque, semblerait avoir été considéré comme étant un dieu protecteur des nouvelles
forteresses antiques, ainsi que comme une divinité protectrice des apothicaires, mais
quand ils font notamment des comptes compliqués et mesquins (dès le 5ème siècle ?
lire sous Dionysos). Et par différenciation des pharmaciens herboristes protégés du
dieu Apollon prétendument. D'après la croyance d'époque (lire sous Apollon). Ce sont
vraisemblablement eux qui jouèrent un rôle dans l'érection de la Ville de Castille en
Espagne et qui porte depuis, du reste, le souvenir et le poids de la destinée de ce nom,
notamment pour cette raison. Elle fut longtemps associée aux Dioscures (Castor).
Ce nom fut également conservé semble-t-il pour rappeler le privilège sur la mort que les
dieux anciens de Grèce attribuèrent à l'un des deux frères, plutôt qu'à l'autre. Reflet
d'une injustice, et source d'un motif de haine entre les hommes et les dieux. Et que l'un
des jumeaux résorba finalement avec sagesse, ce, au terme de sa propre destinée. Selon
le souhait secret de la déesse Athéna. En léguant son immortalité à son frère. Pour qu'il
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survive à ses fatales blessures alors qu'il fut mortellement atteint d'une flèche en plein
cœur durant la Guerre de Troie (lire sous Thémis). Dans cette version isolée et
ancienne du mythe grec. Castor reste le frère jumeau immortel. Et Pollux est le frère
jumeau mortel. Par opposition à aujourd'hui où il est précisé le plus souvent le contraire
dans la mythologie classique. La déesse Athéna, dont la Sagesse était sans limite, et par
l'exemple de leur mort. Avait souhaité donner une leçon d'humilité à son frère divin
Dionysos, dont la naissance des fils jumeaux avait enorgueilli le dieu jusqu'aux outrages
envers son propre père Zeus. Dionysos ayant remis en question l'ordre de la Vie et
l'ordre de la Mort. En ressuscitant sa propre mère (Sémélé) des Enfers du dieu Hadès
qui est le souverain suprême du monde souterrain. Ainsi : La mort de Pollux (selon le
but caché et final de la déesse Sage). Conjura du reste pour un temps la laideur humaine
qui semblait s'être emparée des habitants de cette région durant la Guerre et durant
toute cette époque manifestement. Mais ceci ne put empêcher à long terme les
événements à venir en Grèce ancienne (lire sous Thémis). Soit les guerres qui
détruisirent la civilisation hellénique, définitivement. Ensuite, outre ces informations
réservées, il faut impérativement rappeler que certains détails mythologiques furent
clairement et délibérément altérés. Dès l'époque des Apôtres (du Christ). Ce qui semble
correspondre en parallèle à l'Apogée des croyances de la mythologie grecque encrée
dans ces contrées. Et qui correspond également à l'explication superstitieuse selon
laquelle la déesse Aphrodite fut rendue malade par le dieu de la Folie (Dionysos - lire
sous Aphrodite). Au profit de la Chrétienté : l’idée que les dieux grecs sont devenus
imparfaits et peuvent être atteints contribua à l’abandon de leurs anciens cultes en
Grèce, comme pour les dieux du nord de l’Europe (Allemagne) vers le XIème siècle. Pour
ce motif, le culte d'Athéna s'opposa au Culte du dieu Dionysos (malédiction chimique,
les mystères du vin), dès cette époque. De sorte que quelques explications sont
incertaines. Ce qui n'empêchera pas la défaite d'Athènes. Mais ce sont les dates
chronologiques qui posent problèmes dans leur enchaînement. Selon de vieilles
croyances, certes, et qui furent surpassées par les nouvelles croyances religieuses
qu'alimentèrent parallèlement la nouvelle Chrétienté. Pollux (le frère mortel de Castor)
quant à lui. Aurait fondé comme son frère, une ville durant leur courte séparation : ce
serait la Ville de Thrie (Tridz) en Italie du nord. Pollux avait pour avantage de calmer et
de tempérer son frère Castor, dans le combat. Mais la légende de la mythologie détaillée
qui relate la mort de l'un des Dioscures nous reprécise bien en quelles circonstances,
l'immortalité et la mort de l'un. Sauva de la mort, la vie de l'autre. En ce sens, parfois, les
rôles attribués à l'un et à l'autre peuvent diverger en de nombreux points de ce qui
précède ci - dessus expliqué. Mais au final, toutes les données mythologiques qui les
concernent. Permettent de comprendre relativement bien toute la profonde symbolique
du mythe originel de Castor et Pollux dans la mythologie grecque au moins. Et à quoi, la
mort de Castor et Pollux contribua. Le dieu Mysos fut vaincu. Selon le souhait de la
déesse Athéna de démontrer l'orgueil que la folie génère parfois sans remords
(Dionysos). Ce sera l’une des symboliques du mythe. Dionysos qui à ses heures, avait
réputations d'attiser l'esprit destructeur lors du sentiment de compétition. Chez les
Grecs. Dionysos serait au final considéré comme l'influence divine qui fut à l'origine de
leur défaite. D'après les explications d'époque, Dionysos épousera la princesse Hélène
de Sparte, dont il prendra le nom pour en honorer l'un de ses principaux attributs divins
(lire sous Dionysos).
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