UN ALLER SIMPLE
1 Canadien sur 4
décèdera du cancer.
Le cancer est la principale source
de décès prématurés au Canada.
En moyenne, 3 340 personnes par
semaine sont diagnostiquées.
En moyenne, 1 470 personnes par
semaine en meurent.
Problématique
Bien que l’évolution des traitements ne cesse jamais , il n’en reste pas
moins que le cancer est une très dicile épreuve à surmonter tant au
niveau physique que psychologique. Le choc de la réception du diagnos-
tique est fort. Les malades sont souvent dépassés par les événements et
ne savent comment se dérigier dans ce périple. La majorité des patients
ne reçoivent pas de soutien ou encore des services qui sont sont pas
nécessairement bien adaptés à la personne.
Solution
Aux vues de cette recherche, une solution pourrait être de créer un orga-
nisme à but non lucratif qui pourrait assiter les malades dès la réception
du diagnostique. Il orirait des outils pour que le patient puisse aller
chercher le soutien dont il a besoin de façon automne et spécique à sa
situation.
Équipe soignante
Traitement
Vivre avec le cancer
Rémission
Cancer avancé
Soutien et services
1er rendez-vous Choix des soins
Prise d’informations
Effet sur les émotions
Adaptation
Problèmes relationnels
Demande d’aide
Style de vie
Chimiothérapie Radiothérapie
Soulagement
de la douleur
Gestion
du stress Essais cliniques, etc.
J’ai survécu
Fin du traitement
Nouvelle normalité
Encaisser la nouvelle
Soins palliatifs
Travail et finance
Planification
en vue de la fin
Superviseurs : Valérie Yobé, Louise Mercier
Auteur : Marie-Christine Lamoureux
seront atteints d’un cancer
au cours de leur vie.
40%
des femmes
45%
des hommes
Introduction
Fréquemment qualiée de « maladie du 21e siècle », le cancer touche
chacun de nous de façon plus ou moins directe. Devenu un véritable
phénomène de société, on se demande parfois si le cancer n’est pas
devenu une banalité dans nos vies, un passage obligé en quelque sorte.
Contexte
Contrairement à ce qu’on peut croire, le cancer n’est pas une nouvelle
maladie. En remontant dans le temps, jusqu’en -3 500 avant Jésus-Christ,
on retrouve dans les écrits médicaux égyptiens des références à cette
maladie. Par contre, ce n’est qu’au 4
e
siècle avant Jésus-Christ que cette
maladie est dénie précisément. Hippocrate la dénie sous le nom de
« carcinome » ou de « squihrre », qui se traduit par cancer en latin. « Il se
dénit comme une tumeur dure, non inammatoire, avec tendance à la
récidive et à la généralisation, amenant une issue fatale. »
On se demande alors pourquoi se manifeste-t-elle autant de nos jours.
Grosso modo, il y a deux principales raisons à la hausse fulgurante de
cette maladie. Premièrement, à l’époque des premiers diagnostiques, les
gens avaient une espérance de vie beaucoup plus courte. De plus, les
avancées médciales n’étaient pas ce qu’elles sont aujourd’hui, les causes
de mortalité étaient nombresuses. Deuxièmement, le style de vie des
gens a un impact signicatif sur les probabilités de développer la mala-
die. Plusieurs facteurs jouent un rôle comme le stress, la malnutrition,
me manque d’exercice, etc.
Communauté Les paires
Transports
Personnes vivant avec
le cancer
POUR LE CANCER
Références : Société canadienne du cancer www.cancer.ca