C.E. El grafiti es la guerrilla del arte – Modèle de correction
J’idéntifie et je present le document Le document est un extrait du romain « el francotirador
paciente » del écrivain espagnol Arturo Perez Reverte. Puiblié en 2013.
J’identifie le contexte et les personnages Dans ce passage, la narratrice parle avec sniper un
graffeur fameux. Ce sont les deux personnages de ce passage.
J’identifie le début des idées Sniper commence par demander à la narratrice d’imaginer une
ville avec certaines caractéristiques artistiques: Une ville sans policiers ni de critiques d’art, ni de
galeries ni de musées. Des rues l’on pourrait exposer ce qu’on voudrait, peindre ce qu’on
voudrait eton voudrait. Une ville plein de couleurs, d’impacts et de phrases et de pensés qui te
font réfléchir. Une espèce de fête urbaine tout le monde serait invité. Je comprends et
j’explique ce que le personnage fait dans l’histoire : Il insiste et demande si elle est capable
de l’imaginer (« ¿puedes imaginarlo ? »)
Je structure avec des connecteurs logiques En suite la narratrice répond que no.
Puis on peut comprendre (je peux interpréter) qu’il réagit avec joie ou avec de l’assurance
(mais je dois justifier avec les éléments en espagnol) car La narratrice nous dit que «le
sourire a illuminé encore une fois son visage» . Comme s’il prenait plaisir à lui dire tout cela.
Sniper continue en disant que c’est justement à quoi il fait référence. Il lui dit que la société nous
laisse peu de chances de prendre les armes et pour cela il prend des pots de peinture. Et il lui dit
que comme il lui avait déjà dit avant el grafiti es la guerrilla del arte. Sniper compare donc le
graffiti à une guérilla. Nous pouvons comprendre que c’est un art qui sort du commun, qui est
rebelle. La narratrice proteste en disant que son point de vue est trop radical et argumente: l’art
a encore quelque chose à voir avec la beauté et les idées.
Lui la contredit. Il dit, «plus maintenant» et continue avec ses arguments :
Les rues pour un graffeur sont la toile d’un peintre. Dire que les rues sans graffitis seraient
propres, est un mensonge. Et il fait un lien de cette idée de propreté avec l’environnement.
En effet, il critique toute la pollution (el humo de los coches) et cette société de consommation
(tout est rempli de d’affiches qui t’incitent à acheter quelque chose o à voter pour quelqu’un. Les
magasins sont pleins d’autocollants de cartes de crédit, des annonces publicitaires, et les caméras
qui violent notre intimité.
Par la suite, la narratrice décrit comme Sniper a posé une main sur son épaule de manière
naturelle et presque agréable. On ressent le mal-être de la narratrice car elle dit quelle est restée
là comme une stupide, comme si elle venait d’entendre le chef d’une secte.
(Je finalise) Sniper fini par expliquer pourquoi le graffiti c’est le seul art vivant grâce à internet.
Les trais d’’aérosol peuvent devenir un icône mondial après trois heures d’être photographiés que
ce soit dans une banlieue a Los Angeles ou à Nairobi.
Il qualifie aussi le graffiti d’être l’ouvre d’art la plus honorable car elle n’a pas la préversion du
marché. Il le compare à un tire qui te met un coup de feu en plein cœur. L’ouvre d’art continue à
être là, elle peut être détruite mais pas vendue.
à quoi sert ce document ?
L’objectif du document / Intention de l’auteur /
- Montrer l’impact de l’art sur la vie et mettre en valeur le graffiti comme un véritable art qui
devrait avoir aussi sa place. Nous faire réfléchir sur des sujets d’actualité comme la pollution, la
publicité, la consommation excessive, les caméras (de rue ou nous propres caméras = seaux
sociaux) etc. Nous faire réfléchir sur elle est la limite entre le graffiti comme art ou vandalisme.
Etc.
- faire passer ses propres idées à travers ces personnages qui peuvent représenter les deux parties
de la société : celle qui partagent ses idées et celle qui n’imaginent pas une ville comme décrite ici
(comme la narratrice).
- nous invite à réfléchir sur l’art ou le graffiti comme moyen de faire passer un message, et même
de faire a guerre (lutter pour ou contre une cause) sans armes et sans violence. Par exemple
quand Sniper dit qu’il ne prend pas les armes mais de pots de peinture.
Nous constatons dans le langage, une sorte de dénonce et d’agacement quand Sniper critique
beaucoup de choses au même temps. Nous pouvons presque rapidement nous sentir concernés ou
même en accord avec Sniper car nous sommesmoins de tout cela: les publicités, la politique, la
pollution etc. Ce sont des sujet d’actualité.
OUVERTURE
Le document nous invite
à réfléchir sur ...
à nous demanader si ...
etc. etc.
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