Université Abderrahmane MIRA de BEJAIA Faculté des sciences économiques, de gestion et commercial Département : SECG THÉME : Les révolutions industrielles Présenté par : benamara lina Section : B Group : 7 Année universitaire : 2020 / 2021 Enseignant : Akerkar Table des matiers 1.introduction Entre 1850 et 1940, l’Europe puis d’autres pays comme les Etats-Unis et le japon connaissent une formidabele croissance économique grâce l’industrialisation de leur économie. Ce phénomène,fondé sur 3 révolutions industrielles importantes a entraîné la transformation de la société. Face à l’apparition d’inégalités sociales, de nombreuses réflexions ont été développées afin d’améliorer la société. 2.les révolutions industrielles 1. La 1 révolution industrielle _ les facteurs déterminants _ les progres technique _ Industrie textile _ machine a vapeur _ essor de la métallurgie _ les conséquences de l’essor industrielle 2. La 2 révolution industrielle _ la « feé electresité » _ le pétrole _ la siderurgie _ la chimie _ l’automobile 3. La 3 revolution industrielle 3. Conclusion Débutées en angleterre au 18ème siècle, les révolutions industrielles se propagent dans le reste du monde entraînant à leur auite de profonde transformation économiques et sociales. Cette industrialisation va également développer les investisseme de capitaux dans divers secteurs d’activités 1. LA PREMIÈRE RÉVOLUTION INDUSTRIELLE 1.1 LES FACTURES DÉTERMINANTS L’industrialisation est le résultat d’dune interaction entre différents facteurs : la croissance démographique de L’Europe à partir du 18 siècle, les progrès de l’agriculture grâce à la généralisation des cultures fourragères, qui permettent l’amélioration des voies de communication (canaux, routes), la levée des contraintes s’opposant à la mècanisation de la production ainsi qu’à la création d’un marché national et, plus encore, les progrès techniques, à l’origine de cette mécanisation. Le développement du machinisme suppose, d’autre part, l’accumulation de capitaux, liée à l’essor des institutions de crédit et à la circulation de la monnaie. 1.2 les progrès techniques INDUSTRIE TEXTILE Dés la fin du 18 siècle, en Grande-Bretagne, diverses invitations permettent la mécanisation de la filature, puis du tissage, principalement du coton. C’est ainsi que, dans l’industrie textile, l’innovation est partie du tissage (avec la « navette volante » mise au point par john kay vers 1730 et diffusée autour de 1760, améliorant beaucoup la productivité), ce rétablissement de l’équilibre ouvre la voie, à une rationalisation accélérée des méthodes de production. L’événement essentiel consiste en l’utilisation de la vapeur, via la machine mise au point par watt entre 1765 et 1785, qui contribue à accroître la concentration, dans la manufacture, autour de la source d’énergie(» machine a vapeur) ESSOR DE LA MÉTALLURGIE La métallurgie prend son essor avec la découverte du procédé de la font au coke, qui évite de recourir au charbon, devenu rare. Plusieurs autres perfectionnement seront nécessaires. C’est-à-dire passage de la fonte à l’acier par décarburation, pour que la font et le fer atteignent des qualités de solidité et de résistance suffisantes pour permettre leur emploi dans les ouvrages d’art et la construction navale MACHINE A VAPEUR Source d’énergie capable de mettre en mouvement les machines, la vapeur est à l’origine, dans la première moitié du 18 siècle, de l’essor de la production de charbon. L’apparition de la locomotive, mise au point par Stephenson en 1815, entraîne la construction de vastes réseaux de chemin de fer, don’t les premières lignes apparaissent dans les années 1830. 1.3 les conséquences de l’essor industrielle Cette première révolution se traduit par un formidable essor de la production industrielle et des usines-supplantant les ateliers domestiques isolés, par le développement des échanges commerciaux, par l’expansion d’un capitalisme commercial et financier et par la concentration des activités industrielles. Notamment près des gisements de matière premières.à ces transformations économiques s’ajoutent des bouleversements sociaux, tels que l’accroissement considérable de la population urbaine, alimentée par l’exode rural. Cette masse important de main-d’œuvre est marquée par le déracinement et la perte des solidarités de type traditionnel. Subissant des conditions de travail très rudes – qui ne s’améliorent que très progressivement au cours de siécle -, elle contribue à la formation d’un prolétariat ouvrier, ou «classe ouvriére» 2. LA DEUXIÈME RÉVOLUTION INDUSTRIELLE La deuxième révolution industrielle repose sur l’utilisation de nouvelles sources d’énergie : l’électricité, le gas et le pétrole L’acier l’mporte sur le fer, tandis que se développe la chimie de synthèse, productrice de colorants, de textiles artificiels et d’engrais. De nouvelles inventions transforment la vie quotidienne, (» bicyclette, téléphone, lampe à incandescence d’Edison). Puis l’automobile et l’avion révolutionnent les moyens de transport au début du 19 siècle. Cette deuxième révolution industrielle est marquée par la concentration des entreprises et par l’accroissement du rôle joué par la recherche et les capitaux. Elle coïncide également avec l’impérialisme colonial. Parallèlement, cette période correspond à la confirmation de la «grande usine» comme modèle d’organisation productive, à l’approfondissement de la division de travail et au tournant taylorien des sociétés occidentales aux alentours de la première guerre mondiale. 2.1. LA « FÉE ÉLECTRIQUE » L’ÉLECTRICITÉ, devient la base d’un nouveau système technique affecant aussi bien la vie quotidienne que les données du travail industriel. L’innovation clé est le moteur électrique, mis au point vers 1880 : commode et réversible, il ouvre la possibilité d’une alimentation individuelle de chaque machine en fonction dans une usine, là où tout était relié, auparavant, à la machine à vapeur centrale par un système de transmission complexe ( engrenages, poulies, courroies ) et coûteux ( pertes par frottements ). Outre les écon8 de matériel et le gain en sécurité, l’électricité donne une liberté nouvelle pour rationaliser l’organisation spatiale des usines de façon strictement conforme à la succession des étapes de la fabrication. 2.2. LE PÉTROLE Le pétrole, avant de provoquer une véritable révolution des transports, est d’abord raffiné pour l’huile d’éclairage, puis pour ses autres dérivés ( goudrons, solvans, essence ). À une phase où l’extraction est extrêmement dispersés succéde, à la fin du siècle, une intégration en amont au profit des grands entreprises de raffinage, au tournant de 19 siècle, ces sociétés ont la surface financière suffisantes pour lancer les premières campagnes de prospection au Moyen-Orient, qui vont contribuer à la première internationalisation de l’économie pétrolière. 2.3. LA SIDÉRURGIE La dynamique de l’innovation, dans le dernier quart du 18 siècle, touche d’abord le anciens secteurs la sidérurgie, à la fine des années 1876.le résultat le plus sensible est la diminution considérable du prix de revient des aciers, tandis que les progrès la métallographie engagent la sidérurgie dans l’ére des alliages, et des aciers spéciaux. Grâce aux applications de l’électricité. 2.4. LA CHIMIE Les domaines d’application de cette industrie s’étendent démesurément dans le dernier quart du 18 siècle, avant même qu’elle n’entre dans l’ére du pétrole. La mise au point de procédés nouveaux multiplie les capacités de production de la chimie de base et ses débouchés possibles : engrais azotés, consommations intermédiaires industrielles, etc. 2.5. L’AUTOMOBILE Aprés la mise au point du moteur à explosion à quatre temps et son application à l’automobile, plusieurs améliorations technologiques viennent compléter la fiabilité et le confort de la voiture à essence : pneumatiques à chambre à air, système de freinage, boîte de vitesses synchronisée. 3 LA TROISIÈME RÉVOLUTION INDUSTRIELLE Amorcée dans le dernier tiers du 19 siècle, cette révolution correspond à une nouvelle étape dans l’histoire des sciences et des techniques. Elle se caractérise principalement par : l’utilisation d’une énergie nouvelle, l’énergie nucléaire : le développement de l’électronique et l’informatique, qui rendent possibles la production de matériels miniaturisés et l’automatisation poussée de la production ; la multiplication des produits de synthèse ; le développement des technologies spatiales et clui des biotechnologies. Cette troisième révolution industrielle a d’abord concerné les États-Unis, le Japon et les pays de l’Union européenne. Internet en constitue le symbole emblématique au début du 18 siècle.