d. Comme il lui …................. arrivé déjà plus d’un
malheur au lit, Poil de Carotte …........ bien soin de prendre
ses précautions chaque soir. En été, c’............... facile. À 9
heures, quand madame Lepic l'...................................... se
coucher, Poil de Carotte …...................... volontiers un tour
dehors ; et il …................. ….......une nuit tranquille.
L’hiver, la promenade …........................... une corvée.
[…]
Et, ce soir, la pluie ….................. …..les carreaux, le vent
…........................ éteint les étoiles et les noyers
….......................................... dans les prés.
[...]
Il …............... bonsoir à tout le monde, …........ une bougie,
et …........................ au fond du corridor, à droite, sa
chambre nue et solitaire.
Il se …..........................., se …......................... et
…................................ la visite de madame
Lepic. Elle le …...................... serré, d’un unique
renfoncement, et …............................. la bougie.
a. …...........................................................................................
b. …...........................................................................................
c...................................................................................................
Emploie le bon temps du passé, imparfait ou passé simple pour conjuguer les verbes
La rentrée
C’est le lundi 3 octobre au matin, à six heures, que (sonner)............................... le tocsin. Lavé,
frotté, récuré, et largement nourri de tartines beurrées, (endosser) j' ….........................mon
veston de marin. Paul (porter)...................................... un blouson gris tout neuf, et un joli col
blanc rabattu, d’où (sortir)................................ un beau nœud de soie bleu d’azur.
Nous (partir) …............................................. donc tous les trois, vers les sept heures et demie. Je
(marcher) …........................................ à la droite de Joseph tandis que Paul (s'accrocher)
…....................................à sa main gauche. Au bout d’un quart d’heure de marche, nous
(arriver)........................................ au bout de la rue de la Bibliothèque. Sur la droite, mon père
me (montrer).......................................... une énorme bâtisse. « Voici le lycée », me dit-il. Au
milieu de l’immense façade, je (voir).................. une foule d’enfants et de jeunes gens qui
(porter).......................... des serviettes de cuir sous leurs bras ou des cartables dans leur dos.
D’après Marcel Pagnol, Le Temps des secrets, 1960