1 INTRODUCTION 0.1 PROBLEMATIQUE VATIN F. stipule « qu’entreprendre d’écrire sur un thème sans recenser les rapports des prédécesseurs serait prétendre d’intervenir sur un terrain vierge de techniques organisatrice»(1) Néanmoins, signalons qu’aucun travail publié sur l’accueil sur le malade dans un milieu hospitalier n’a été retrouvé dans la zone de santé de Lusambo en générale et au sein de l’hôpital général de référence de Lusambo en particulier. Mais dans notre travail, il est question d’évaluer la problématique de l’accueil de malade dans un milieu hospitalier st son impact sur la qualité de soins. La problématique est une question principale autour de laquelle doit tourner le travail. Les soins de santé aux malades restent un fait complexe dans les hôpitaux, les gens viennent a l’hôpital parce qu’ils ont un problème de santé, il y a des personnes qui ont choisi comme métier d’aider ceux qui souffrent ; malheureusement après leur formation elles voient ce choix différemment. Les malades arrivent et on les traite comme si c’était une faveur qu’on leur faisait. Ça commence avec l’accueil à partir de la réception à l’entrée de l’hôpital. Le problème se pose aujourd’hui dans tous les hôpitaux ; pendant qu’un bon accueil peut commencer à soulager même à plus de 25% le mal d’une personne qui souffre partir de la réception. (2) L’admission de malade dans un hôpital est une période difficile pour le malade ; le blesse. En effet, le malade est généralement inquiet ; l’attitude et le comportement de l’infirmier et du personnel hospitalier joue un grand rôle. 2 Un accueil aimable et un intérêt réel pour le malade l’aide de surmonter son désarroi. Accueillir la malade avec amabilité et compréhension n’exige pas un surcroit de travail. De plus, il est important que le malade puisse conserver son identité personnelle. En RDC, les conditions de travail de nos infirmiers laissent à désirer, non seulement les infirmiers mais aussi toute genre, raison pour laquelle il faut le reconnaitre la main sur le cœur, que l’accueil du malade et la qualité de soins n’est pas garantie, quand même les infirmiers se mettaient à l’avant-garde des malades. Le malade a besoin d’une ambiance sympathique. L’accueil est aspect des relations humaines en milieu hospitalier. Le malade doit avoir l’impression qu’il est attendu, considéré et respecté. Le comportement du personnel donnera l’impression favorable d’être accueilli en hôte et traité avec courtoisie et discrétion, l’impression dont il gardera le bienfait de la santé. Les formalités administratives sont remplies à l’admission ; elles seront faites par le malade s’il est conscient ou soit par la personne qui l’accompagne. (4) La sensation de notre réflexion nous oblige comme dans tout travail scientifique de s’appesantir sur les questions qui nous ouvrirons les horizons tout au long de notre travail. Quelle serait la qualité d’accueil à l’hôpital général de référence de Lusambo ? L’accueil réservé aux malades à l’hôpital général de référence de Lusambo aurait un impact négatif sur les soins administrés ? 02. HYPOTHESES L’hypothèse est une réponse provisoire relative à une recherche et qui se prête à une vérification. La qualité d’accueil à l’HGR/LUS serait mauvaise L’accueil réservé aux malades à l’hôpital général de référence de Lusambo aurait un impact négatif sur les soins administrés aux patients. 3 03. OBJECTIFS DU TRAVAIL Les objectifs poursuivis dans ce travail sont : Evaluer la qualité d’accueil à l’hôpital général de référence de Lusambo Fournir des connaissances pour ameliorer la qualité d’accueil. 04. CHOIX ET INTERET DU SUJET CHOIX DU SUJET Le choix de ce sujet a été motivé par la problématique de l’accueil du malade qui ne cesse d’augmenter du jour au jour dans nos hôpitaux et qui de ce fait a un impact sur la qualité de soins. L’accueil est un élément initial qui aide le malade à enlever son angoisse, frustration, la peur, raison pour laquelle nous avons voulu traiter ce sujet pour déterminer les failles pour y apporter certaines solutions. INTERET DU SUJET L’intérêt de ce sujet est triple: Théoriquement, cette étude va aboutir à mettre à la portée de question relatives à l’accueil du malade et son impact sur la qualité des soins. Pratiquement, les résultats de ce sujet seront simples à être manié par n’importe quel personnel soignant sans différenciation de leur niveau d’étude et expérience professionnelle en vue d’améliorer la qualité d’accueil dans les structures sanitaires de la place. Sur le plan professionnel, ce travail constituera une référence documentaire pour toutes personnes motivées à faire le travail 4 d’un infirmier et celui qui va vouloir orienter la réflexion dans le même sens que celle orientée par cette étude. 06. METHODOLOGIE Pour bien réaliser notre travail, notre étude étant prospective utilisant comme méthode descriptive et analytique. Nous avons utilisé les techniques ci après : Enquête par questionnaire Analyse documentaire Interview libre. 07. DELIMITATION SPACIO TEMPORELLE DANS L’ESPACE Notre recherche a été orientée à l’hôpital général de référence de Lusambo dans la Zone de santé de Lusambo, Province du Sankuru en République Démocratique de Congo. DANS LE TEMPS Nous sommes parties d’une période allant du Janvier au mois d’Aout 2017. SUBDIVISION DU TRAVAIL Hormis l’introduction et la conclusion, notre travail comprend deux grands chapitres à savoir : Considérations générales Et les résultats 5 CONSIDERATIONS THEORIQUES 6 CHAPITRE I : CONSIDERATION GENERALE I.1 DEFINITION DES CONCEPTS Accueil : une façon de recevoir quelqu’un, lieu où l’on reçoit un client, un groupe. (5) Malade : dont la santé est altérée.(6) Hôpital : établissement où sont donnés tous les soins qui peuvent être données à domicile ou au dispensaire pour des raisons techniques ou scientifique. (7) Selon l’OMS, est l’élément d’une organisation de caractère médical et social dont la fonction consiste à assurer à la population des soins médicaux complets, curatifs et préventifs, dont les services extérieurs irradies jusqu’à la cellule familiale considérée dans son milieu.(8) Qualité : c’est la manière d’être, bonne ou mauvaise de quelqu’un ou quelque chose ; c’est aussi l’aptitude psychologique ou physique opposée au défaut. (10) Soins : ce sont les moyens par lesquels on s’efforce de rendre la santé a un patient.(11) I.2 GENERALITE SUR L’ACCUEIL I.2.1 L’ADMISSION L’admission du patient dans un hôpital est une période difficile pour le patient. En effet, le patient est généralement inquiet, l’attitude et le comportement de l’infirmier et du personnel hospitalier joue un rôle très importent. Un accueil aimable a un intérêt réel pour le patient qui doit surmonter son désarroi, accueillir le patient avec amabilité et 7 compréhension n’exige pas un surcroit de travail. De plus ; il est important que le patient puisse conserver son identité personnelle. I.2.2 QUELQUES CONSEILS ET ETAPES ASUIVRE POUR ACCUEILLIR UN PATIENT Saluer le patient et son accompagnant, lui demandé son nom ; Donner votre nom et lui expliquer votre fonction dans le service Présenter le patient aux autres membres de l’équipe ainsi qu’aux autres patients ; Dire au patient ce qu’on va faire ; Eviter de poser des questions indiscrètes ; Remettre à plus tard le moment de faire l’anamnèse infirmière(ne pas en faire juste au moment de l’admission) ; Eviter de répondre d’emblée aux questions posées par le patient, par exemple sur la durée de l’hospitalisation ; le diagnostic ; et en expliquant qu’il est encore trop tôt pour y répondre, le rassurer ; Rassurer le patient, encourager sa famille et répondre à leurs questions ; L’aider à se déshabiller et à se mettre au lit ; Faire l’interrogatoire, l’examen physique, remplir le poids, prendre les signes vitaux et remplir les documents divers ; Transcrire la fiche d’hospitalisation, les ordonnances ou les recommandations du médecin si le patient a été consulté au dispensaire ; Faire les étiquettes des soins ; Faire les étiquettes de labo ; Donner les soins ; Expliquer les habitudes et les règlements de l’hôpital : Les heures de visite ; Les heures de tourner de médecins ; Où se trouve le toilette, la douche… Où préparer la nourriture ; 8 Comment utiliser le matériel mis à sa disposition ; I.2.2.1 ADMISSION D’UN CAS D’URGENCE Lorsqu’un patient s présente en état de crise aigue, l’attention se concentre sur une vie à sauver. Les formalités administratives seront réduites au minimum ; prévenir le médecin ; faire ses premiers soins d’urgence par exemple placer une perfusion si le malade est dans un état de choc et le préparer pour les examens. Si le patient arrive dans un centre de santé, faire les premiers soins d’urgence et organiser son transfert le plus vite possible au centre de santé de référence ou dans un hôpital général de référence. I.2.2.2 LA RECEPTION A L’UNITE DE SOINS La bienveillance de l’accueil a du être évidente à l’arriver du client, il incombe à l’infirmier le devoir de maintenir l’impression favorable déjà amorcée. En l’accompagnant au lit, profiter sur le parcours de lui présenter le service ; un accueil permanant exprime un dynamisme intérieur qui provoque la confiance et la sécurité ; ce qui complète l’accueil c’est le dévouement et la disponibilité du personnel. I.2.2.3 LES VISITES Elles sont indispensables pour combattre la sensation d’isolement et le réconfort chez le client. L’ennui et la solitude 9 engendrent un état d’espoir enclin à tout interpréter sur le plan émotif et dévient hostile. Interdire les visites aux heures de traitement des examens, respecter le repos par suppression des bruits, pas d’enfants visiteurs. I.2.3 L’ENVIRONNEMENT DU PATIENT L’environnement signifie ‘’le milieu’’ tout ce qui entoure le patient. L’environnement à une influence sur la personne, il conditionne les individus et ceux-ci influencent ses capacités. I.2.3.1 ENVIRONNEMENT PATIENT PHYSIQUE ET PSYCHOSOCIAL DU Aspect physique : la mobilier, le linge, l’éclairage, le genre de bâtiment, les appareils divers. Aspect psychosocial : le personnel, les valeurs culturelles, les règlements de l’hôpital. L’environnement du patient influence donc sa perception de lui-même, de sa situation et de son rôle à un moment déterminé. L’infirmier doit avoir conscience du rôle qu’il joue dans le developpement et le maintient d’un environnement favorable à la santé et à la guérison. I.2.3.2 ENVIRONNEMENT THERAPEUTIQUE Par environnement thérapeutique, on entend un environnement qui aide le patient à s’ameliorer, à s’instruire et à se retrouver la santé et l’indépendance ; un milieu qui confirme le respect de la personne soignée. L’environnement thérapeutique est axé sur les besoins de l’individu ; dans ce milieu, le patients sont encouragés à participer activement à leur traitement dans la mesure du possible. 10 Les membres de l’équipe de soins (médecin, infirmiers, techniciens de labo, pharmaciens, nutritionnistes, physiothérapeutes…) tous mettent leurs connaissances et leurs compétences au service du patient, en collaboration avec le patient et sa famille travaille à maintenir ou à rétablir la santé. I.2.4 LA VIE SPIRITUELLE DU PATIENT Il est important d se rappeler ici que, contrairement à l’animal qui est purement un être biologique, l’être humain est un être biopsychosocial-spirituel donc beaucoup plus complexe ; lors de la maladie, il faut alors tenir compte de tout les aspects de la personne.il existe d’assez nombreuses maladies dites ‘’psychosomatique’’ c’est-à-dire des maladies du corps sur le psychisme, il faut donc traiter la personne dans son ensemble. Apporter un secours physique (à ne jamais négliger), une aide psychologique, un soutient moral et spirituel. Le patient se pose alors de questions comme celle-ci ‘’ qui suis-je ? ‘’ ‘’Pourquoi suis-je atteint d’une si grave maladie ? ‘’ ‘’Qu’ai-je donc fais pour mériter cela ? ‘’ ‘’Que se passe t-il après la mort ? ‘’. Souvent l’infirmier est le premier à se rendre compte du besoin ou du désir de secours spirituel qu’éprouve le patient, car il est à tout moment en contact avec lui lorsqu’il lui donne des soins ou d’autres traitements. 11 I.2.4.1 ROLE DE LA FOI DANS LA MALADIE La foi vivante en Dieu, celui qui est près à répondre à tout notre besoin, peut grandement aider le patient dans plusieurs domaines : Dans les périodes de stress de tous genres ; Pour accepter sa maladie ; Pour le réconforter pour l’amour qui se dégage de la vie et lui donne une nouvelle force intérieure pour ses besoins journaliers ; Pour penser au futur enfin de s’affirmer dans la vie ; Pour le soutien à l’approche de la mort, la foi en la vie éternelle doit aider beaucoup plus possible. I.2.5 LA SORTIE DU PATIENT L’autorisation de sortie se fait après guérison. Quat à la sortie décidée par le patient lui-même ou sa famille, il faut lui fournir une formule spéciale à signer (faculté mental en place) pour décharger l’institution de toute obligation et responsabilité vis-à-vis du client et sa famille. La préparation du patient à la sortie sera faite sur 3 plans : Sur le plan matériel : le client à besoin d’un certain nombre de documents suivants les sur constances surtout si c’est un accident du travail, le certificat, ordonnance médicale et formules divers lui sont remis de quitter l’institution. Sur le plan physiologique : elle comporte le problème de la réadaptation et particulièrement l’entrainement à l’effort dans la période d’oscillation de l’état général qui implique la convalescence. Elle est envisagé selon ses capacités physiques non pas seulement en fonction de la maladie ayant causée l’hospitalisation mise aussi en raison des troubles Co-existants comme par exemple l’obésité. 12 Sur le plan social : le client doit comprendre qu’au cours de l’hospitalisation il a contracté de nouvelles habitudes. S’il aura tendance à se concentrer sur son cas, sur la personne et sur son problème de santé. S’il retourne incomplètement guérit diminue physiquement ou moralement la préparation psychologique au milieu familiale devient indispensable pour éviter les erreurs et les conflits. L’infirmier chef doit et ses diverses personnes assignées à ses soins, tiendront à le saluer et lui offrir des vœux de prompt rétablissement, s’assurer qu’il part en sécurité et que toutes les formalités administratives sont à point. (12) Une fois habitué au milieu, l’hôpital constitue un environnement protecteur pour les patients. Le monde extérieur devient souvent menaçant pour eux. La veille de sortie, le patient ressent une joie mêlée de peur ! Pourquoi la peur ? Il se fait du souci car se sentant affaibli, il se demande comment il va se tirer d’affaire ; quand il pourra reprendre une activité normale ou le travail qu’il aime ou encore il sera obligé de changer d’occupation, du fait de nouvelles limitations par exemple suite à un accident. Avec l’aide de sa famille et des membres de l’équipe de soins, le patient arrive souvent à faire face à ses besoins. Voici les besoins les plus courants : Accepter les limitations que lui imposent la maladie ou les suites d’accident et de chirurgie ; Apprendre à suivre utilement malgré ces limites ; Etre accepté par les siens et par la communauté en général. 13 I.2.5.1 ETAPES A SUIVRE POUR LA SORTIE Le médecin qui autorise la sortie d’un patient doit compléter le résumé du dossier au chevet du patient ; Prévoir le prochain rendez-vous à la consultation, l’attestation de convalescence et clôturer le dossier. S’assurer que le patient comprend sa maladie, la prise des médicaments et comment il doit les prendre à son retour à la maison ; Donner tous les conseils nécessaires à chaque patient individuellement car l’avenir d’un patient opéré est venue d’une autre zone de santé, s’assurer qu’une attestation et les renseignements relatifs à son séjour à l’hôpital ont été préparés pour le médecin chef de zone ou/et l’infirmier responsable de centre. N.B : avant la sortie, l’infirmier doit clarifier tout problème que le patient pourrait encore avoir concernant les soins et le traitement à suivre, l’infirmier notera par écrit toute information utile, car il est reconnu qu’au moment de la sortie les patients retiennent mal les instructions qu’on leur donne. (12) 14 CHAPITRE II. APPROCHE METHODOLOGIQUE II.1 PRESENTATION DE MILIEU D’ETUDE L’hôpital général de référence de Lusambo est notre institution auquel notre enquête s’est déroulée. II.1.1 HISTOIRIQUE L’HGR/LUS fut créé en 1954 sous l’initiative de fond du bien être indigène FBI les travaux de construction ont été dirigés par Mr KHULPE, de la nationalité Belge. Construit comme centre médical chirurgical, ses activités furent dirigées par le premier médecin Dr Louis ROUSSEAU, secondé par deux sœurs religieuses, infirmiers et vingt-trois autres aides infirmiers laïcs. L’institution desserrait tout le territoire de Lusambo et ses alentours. En 1959, cette institution fut reconnue comme hôpital général de référence dans la zone de santé de Lusambo. Vue l’accroissement des services et l’incapacité d’accueil de l’ancien bâtiment, les autorités politico-administratives locales décidèrent la construction d’un nouveau bâtiment capable de couvrir le besoin d’un hôpital public. Ainsi l plan de construction de ce nouveau bâtiment fut l’œuvre du Dr PUCH. C’est alors que les autorités décidèrent de limoger les militaires qui habitaient cette portion de terre comme camps militaire pour leur donner un autre terrain à coté du cimetière au quartier télécom. 15 L’actuel hôpital est institution étatique construit en style de pavionnaire comprenant 6 pavillons et deux bâtiments donc l’un pour l’administration générale et l’autre pour les services généraux qui, actuellement est occupé par l’Institut Technique Médical de Lusambo et le centre de santé de dépistage et de traitement depuis 1984 jusqu’à nos jours. Sa capacité d’accueil est de 300 lits dont 100 seulement sont montés et a comme organe de gestion l’ECZ et le CODIR qui assure qui assure la gestion quotidienne. Il comprend 4 services de base donc la chirurgie, gynécoobstétrique, médecine interne et pédiatrie. Il comprend aussi les services médicaux-techniques comme le laboratoire, la pharmacie et le service de l’imagerie médicale qui comprend à son tour l’échographie et la radiologie qui manquent de technicien jusqu’à ce jour. Le service d’ophtalmologie est l’unique service spécialisé de cet hôpital avec l’appui d’une ONG internationale Belge dénommé « la lumière du monde » et qui est dirigé par un seul infirmier technicien supérieur en ophtalmologie. Cet hôpital fonctionne avec 67 agents dont : Cinq médecins généralistes ; Un administrateur gestionnaire ; Un intendant ; Deux techniciens de laboratoire ; Un technicien supérieur en ophtalmologie ; Onze infirmiers de niveau A1 ; Treize infirmiers A2 ; Quatre infirmiers A3 ; Un chargé de maintenance ; Cinq sentinelles ; Dix-neuf ouvriers. 16 Cet hôpital se trouve dans un milieu où le climat est de type tropical avec deux saisons, la saison de pluie la saison sèche. L’accessibilité des services et la disponibilité des médecins dans cette structure médicale ont justifié notre choix sur cet hôpital. II.1.2 SITUATION GEOGRAPHIQUE Le présent travail est réalisé dans l’hôpital général de référence de Lusambo qui est une structure la plus grande de la ville de Lusambo, le Chef lieu de la Province du Sankuru, précisément dans l’Aire de santé de Lusambo Ouest dans la Zone de santé de Lusambo. Il est borné : Au Nord par les bâtiments des sœurs de Saint Vincent de Paul et les anciens bâtiments de lèpres et tuberculose ; Au Sud par le bâtiment de la messagerie automobile du Sankuru(MAS) ; A l’Est par le couvent des sœurs de Saint Vincent de Paul ; A l’Ouest par le terrain de foot et bureau de l’ANR du territoire de Lusambo. 17 ORGANIGRAMME FONCTIONNEL COMITE DE DIRECTION DIRECTION DE L’HGR ADMINISTRATION STAFF MEDICAL DIRECTION DE NURSING SECRETARIAT RECEPTION PHARMACIE CAISSE DEPOT MED. INTER PEDIATRIE LABORATOIRE IMAGERIE CHIRURG IE GYN.OBST ENTRETIEN OPHTALMOLOGIE II.1.3 ACTIVITE DE L’HGR/LUS Cette institution a comme objectif principal de sauver la vie humaine. Mais généralement il : Instaure les soins de santé primaire et secondaire (préventif, curatif et promotionnel ; Contribue aux recyclages du personnel médical et paramédical. 18 II.1.4 LES SERVICES Les services médicaux : Médecine interne : homme et femme ; Chirurgie : homme et femme ; Pédiatrie ; Gynéco-obstétrique. Services administratifs et financier Secrétariat général ; Personnel ; Patrimoine ; Comptabilité : guichet et caisse ; Réception. Services paramédicaux : Laboratoire Imagerie médicale : échographie, radiographie in opérationnelle, ECG ; Pharmacie Kinésithérapie sans personnel; Services spécialisés : Consultation externe : généraliste surtout. II.1.5 PERSONNEL DE L’HGR/LUS Personnel Qualification Médicaux Spécialiste Généraliste Adm. A1 Gestionnaire Intendant L2 Paramédicaux Inf. A1 Inf. A2 Inf. A3 Effectif 0 5 1 1 13 19 Technicien Laborantin A1 2 Nutritionniste Kinésithérapeute Autres Administratifs Ouvrier 1 Total II.2.6 CAPACITE D’ACCEIUL DE L’HGR/LUS L’HGR/LUS a une capacité d’accueil de 300 lits dont 100 lits sont opérationnels, repartis dans ses services de soins selon leur fréquentation. II.3 PRESENTATION, ANALYSE ET INTERPRETATION DE RESULTATS II.3.1 PRESENTATION Dans ce chapitre, il est question d’examiné avec tout les éléments que nous avons recueillis auprès des nos enquêtés et afin de confronter aux réalités de notre milieu d’investigation. Il faut noter que, le questionnaire d’enquête était élaboré sur de questions fermées et ouvertes. Quant à son application, il était direct et indirect dans la mesure où le remplissage était fait soit par l’enqueté qui avait un niveau d’étude élevé et d’autre par nous même en raison des enquêtés qui n’ont pas étudiés. 20 II.3.2 POPULATION ET ECHANTILLON Dans ce 6 derniers mois de l’année en cours(2017), l’hôpital général de référence de Lusambo a enregistré 1850 malades qui font 308 en moyenne par mois. C’est ainsi donc nous avons considéré 308 comme notre population de départ ; comme l’étude l’exige de fois qu’on peut tirer un échantillon, raison pour laquelle nous avons fait notre étude sur 102 malades soit 33,1% tirer d’une manière aléatoire pendant notre passage à l’hôpital. II.3.3 METHODOLOGIE ET DEROULEMENT DE L’ETUDE II.3.3.1 METHODOLOGIE Méthodes Pour ce qui concerne notre travail, nous avons utilisé les méthodes descriptives et analytiques suite à cette méthode la structure de travail a été réalisée comme suit : Méthode descriptive qui nous a permis d’étudier et de décrire les différents aspects de la situation qui préoccupe les chercheurs ; Méthode analytique nous a permis d’acquérir les informations auprès des malades en vue de connaitre les opinions et de comportement à l’occasion de notre enquête ; Technique Nous avons utilisé les techniques suivantes : 21 Questionnaire : il s’agit d’un questionnaire bien structuré qui nous a permis a récolté les données essentielles auprès des malades Interview libre : enfin de compléter les informations recueillies au questionnaire d’enquête ; II.3.3.2 DEROULEMENT Notre étude à durée 8 mois soit la période du Novembre 2016 jusqu’au mois de Juillet 2017 soit 9 mois. Notre étude s’est orienté vers le malades hospitalisés et ambulants qui venaient suivre les soins à l’hôpital général de référence de Lusambo. II.4 DIFFICULTES RENCONTREES Dans notre étude faite, certains malades fouillaient de nous répondre convenablement aux questions ; il nous fallut faire un travail lourd de traduire les questions en Tshiluba et Otetela pour la meilleure audition ; manque de moyen financier pour trouver les données moment opportun et de nous déplacer ver le lieu de recherche. 22 CHAPITRE III. RESULTATS III.1 PRESENTATION DES DONNEES Tableau I : Répartition des enquêtés selon l’âge Age Fréquence Pourcentage 14-25 ans 15 12,5 25-35 ans 47 46 36-45 ans 30 29,4 46-55 ans 10 9,8 Total 102 100 Ce tableau montre que 46% des enquêtés qui fréquente l’hôpital sont compris entre l’âge de 26-35 ans et 10 soit 9,8% sont entre 45-55 ans. Tableau II : Répartition des enquêtés selon le sexe Sexe Effectif Pourcentage Masculin 39 38,3 Feminin 63 61,7 Total 102 100 Ce tableau montre que 63 enquêtés soit 61,7% sont du sexe féminin contre 39 soit 38,3% de sexe masculin qui fréquente l’HGR avec un sexe ratio de… 23 Tableau III : Répartition des enquêtés selon la religion Religion Effectif Pourcentage Protestants 30 25 Catholique 13 12,7 Adventiste 4 3,9 Branhamistes 9 8,8 Autres 46 45 Total 102 100 Ce tableau prouve que 45% des malades qui fréquentent l’hôpital sont de certaines églises non listés, 25% sont des protestants, 12,7% sont de catholiques et 8,8% sont du message de Branham et enfin 3,9% sont des adventistes. Tableau IV : Répartition des enquêtés selon le niveau d’étude Niveau d’étude Effectif Pourcentage Aucun 40 39,2 Primaire 32 31,3 Secondaire 25 24,5 Supérieur 5 4,9 Total 102 100 Ce tableau montre que 39,2% des enquêtés n’ont aucun niveau d’étude, 31,3% sont de niveau primaire, 24,5% sont de niveau secondaire et 4,9% sont de niveau supérieur et universitaire. 24 Tableau V : Résultats selon qu’ils fréquentent souvent l’HGR/LUS Réponse Effectif Pourcentage Régulière 67 65,6 Rarement 20 19,6 Jamais 15 14,7 Total 102 100 Ce tableau montre que 65,6% des enquêtés fréquente régulièrement l’hôpital, 19,6% fréquente rarement et 14,7% ne fréquente jamais l’hôpital c’était la première fois. Tableau VI : Résultats selon qu’ils qualifient l’accueil Réponse Effectif Pourcentage Bon 15 14,7 Moyen 20 19,6 Mauvais 67 65,6 Total 102 100 Ce tableau nous montre que 65,6% des malades prouve que l’accueil est mauvais, 19,6% prouve aussi que l’accueil est en moyenne et 14,7% démontre que l’accueil est bon à l’hôpital. 25 Tableau VII : Données qu’ils reçoivent des conseils pendant l’accueil Réponse Effectif Pourcentage Oui 22 21,5 Non 80 78,5 Total 102 100 Au regard de ce tableau, 78,5% des malades ont refusé qu’ils ne reçoivent pas des conseils pendant l’accueil à l’hôpital, tandis que 21,5% confirme qu’ils reçoivent des conseils pendant l’accueil. Tableau VIII : Résultats selon qu’ils sont guidé par le personnel pendant la période d’hospitalisation Réponse Effectif Pourcentage Régulière 20 19,6 Rarement 77 75,4 Total 102 100 Partant de ce tableau, 75,4% des enquêtés sont guidé rarement pendant tout leur temps dans à l’hôpital et 19,6% disent qu’ils sont guidés régulièrement et 4,9% n’ont jamais été guidés. 26 Tableau IX : Donnés selon que les soignants se présentent aux malades dès leur premier contact Réponse Effectif Pourcentage Quelquefois 2 1,9 Oui 4 3,9 Rarement 27 26,4 Jamais 69 67,6 Total 102 100 Au vue de ce tableau 67,6% des malades confirment que le personnel soignant ne se présente jamais aux malades, 26,4% disent qu’ils le font rarement, 3,9% confirment qu’ils le font et 1,9% disent qu’ils le font quelque fois. Tableau X : Répartition selon qu’ils sont préparé psychologique pendant l’accueil Réponse Effectif Pourcentage Oui 20 19,6 Non 82 80,3 Total 102 100 Ce tableau montre que 80,3% ne sont pas préparé psychologiquement pendant l’accueil, 19,6% confirment qu’ils sont préparés psychologiquement. 27 Tableau XI : Résultats selon que les conditions d’attente à la consultation sont bien réunies Réponse Effectif Pourcentage Oui 53 51,9 Non 49 48,1 Total 102 100 Ce tableau montre que 51,9% des malades témoignent que les conditions d’attentes à la consultation sont bien réunies et 48,1% affirment que les conditions d’attente ne sont pas bien réunies, donc mauvaise. Tableau XII : Résultats selon qu’ils sont satisfaits du temps mis pendant l’attente Réponse Effectif Pourcentage Oui 26 25,5 Non 76 74,5 Total 102 100 Ce tableau prouve que 74,5% des malades ne sont pas satisfait du temps mis pour être reçus ou soignés et 25,5% disent qu’ils sont satisfaits. Tableau XIII : Données selon la collaboration soignant-malade à l’HGR/LUS Réponse Effectif Pourcentage Oui 35 34,4 Non 67 65,6 Total 102 100 28 Au regard de ce tableau, nous remarquons que 65,6% disent qu’ils y a une mauvaise collaboration contre 34,4% qui témoignent qu’ils y a une bonne collaboration. Tableau XIV : résultats selon que les infirmiers se soucis de malades Réponse Effectif Pourcentage Oui 33 32,3 Non 53 51,9 Quelquefois 16 15,6 Total 102 100 Partent de ce tableau, 51,9% des malades confirment que les infirmiers n’ont pas de soucis des malades, 15,6% disent qu’ils ont quelque fois de soucis des malades et 32,3% témoignent que les infirmiers ont de soucis des malades à l’hôpital. Tableau XV : Résultats appels des malades Réponse Régulièrement Rarement Jamais Total selon que les infirmiers répondent à temps aux Effectif 20 59 23 102 Pourcentage 19,6 57,8 22,5 100 Ce tableau montre que 57,8% des malades disent les infirmiers répondent rarement, 22,5% des malades disent que les infirmiers ne répondent jamais aux appels de malades et 16,9% disent que les infirmiers répondent aux appels des malades. 29 Tableau XVI : Résultats selon que les soignants souhaites une bonne guérison aux malades à la sortie Réponse Effectif Pourcentage Oui 22 21,5 Non 40 39,2 Quelquefois 40 39,2 Total 102 100 Partant de ce tableau, 39,2% des malades disent que les soignants quelquefois le souhaites bonne guérison à la sortie, 39,2% des malades disent non et 21,5% disent oui. 30 DISCUSSION ET INTERPRETATION DES RESULTATS D’une manière générale, l’accueil doit être respecté par tout le monde, il faut noter que l’application de ce dernier donne une bonne qualité des soins dans des institutions sanitaires. Pour concrétiser notre recherche, les résultats issus de nos enquêtes représentés dans 16 tableaux auraient plus de sens s’ils sont interprétés. Partant de la qualification d’accueil, il ressort qu’il jugé mauvais par 65,6% de nos enquêtés. Par ailleurs, 78,5% de nos enquêtés ne reçoivent pas de conseil pendant leur arrivé ou le moment d’hospitalisation par le personnel soignant, il ressort que 75,4% des enquêtés sont rarement guidés. Concernant le paramètre selon que le personnel soignant arrivent à se présenter aux malades dès le premier contact, le tableau relatif à cet effet témoigne que le personnels soignant ne se présente pas jamais par 67,6% des nos enquêtés. Pour ce qui concerne la préparation psychologique pendant l’accueil, 80,5% des enquêtés affirment qu’ils ne sont pas préparé psychologiquement. 51,9% des enquêtés affirment que les conditions d’attente à la réception ou consultation sont bien réunies. Considérant le paramètre selon qu’ils sont satisfaits du temps mis pendant l’attente du soignant, nous remarquons de ce paramètre que 74,5% ne sont pas satisfait par rapport au temps mis pour être reçus par les soignants. Nous demandons au personnel soignant de bien penser à ce problème, de manifester un bon comportement envers ce derniers et 31 doivent nécessairement respecter le temps pour recevoir les malades. Au regard de ce tableau n° 13, 14 et 16 ceux-ci nous montrent qu’il ya une mauvaise collaboration affirmée par 65,5% des enquêtés, 51,9% des enquêtés témoignent que les infirmiers ne se soucis pas des maladies; selon que les infirmiers répondent à temps lorsqu’ils sont appelé par les malades. Certains enquêtés soit 32,3% sont satisfait un peu car il arrive de fois que les infirmiers ne répondent pas à leur appel, les infirmiers doivent être présent et venir à temps que possible s’ils sont appelés par les malades, car si une personne est malade, elle est généralement anxieuse et préoccupée, sa sécurité est profondément mise en cause que si elle était en bonne santé. 39,2% des enquêtés affirment que les soignants les souhaitent quelquefois une bonne guérison à la sortie. Sont des résultats selon les propositions des malades pour l’amélioration de la qualité de l’accueil, nous constatons la rigueur dans la déontologie professionnelle. 32 CONCLUSION ET SUGGESTION CONCLUSION Une recherche scientifique est une démarche entreprise face à une situation donnée. Tout compte fait, voici donc au terme de ce travail dont le sujet s’intitule « Problématique de l’accueil du malade dans un milieu hospitalier et son impact sur la qualité des soins ». Pour y parvenir, sur base de constat, nous avons formulé les hypothèses ci-après : La qualité d’accueil à l’hôpital général de référence de Lusambo serait mauvaise ; L’accueil réservé aux malades à l’hôpital général de référence de Lusambo aurait un impact négatif sur les soins administrés. En vue d’atteindre ces objectifs, la récolte des données a été réalisée par les méthodes et techniques ci-après : Les méthodes descriptives et analytiques ; Les techniques sont enquêtes par questionnaire ; Analyse documentaire et interview libre; Cependant, notre travail à été subdivisé en deux parties donc la première concerne les considérations théoriques et la deuxième prend aussi l’approche pratique sur terrain. Ainsi les résultats obtenus nous ont permis de confirmer que : La qualité d’accueil à l’hôpital est mauvaise ; L’accueil réservé aux malades à l’hôpital général de référence de Lusambo à un impact négatif sur les soins administrés. 33 SUGGESTION Notre préoccupation dans ce travail est de faire participer le personnel soignant l’application d’un bon accueil et son impact sur la qualité des soins. En guise de recommandation, il convient à suggérer ce qui suit : Aux autorités politico-administratives de rémunérer comme il faut le personnel soignant car la non rémunération reste ici la base d’un mauvais accueil ; Aux autorités de l’HGR/LUS, qu’ils puissent organiser des séances de séminaires envers le personnel soignant sur l’accueil, d’informer et former le personnel soignant qu’un bon accueil à un impact sur la qualité des soins. Aux infirmiers : De respecter la personne malade car elle n’est pas un objet de méfiance ou de négligence mais un être humain ayant tout ses droits ; D’appliquer un bon accueil, car celui-ci reste la base d’une bonne qualité des soins ; De respecter la déontologie professionnelle et leur serment qu’il prêtât. 34 Table des matières INTRODUCTION ....................................................................................................................................... 1 0.1 PROBLEMATIQUE............................................................................................................................... 1 INTERET DU SUJET ................................................................................................................................... 3 DANS L’ESPACE........................................................................................................................................ 4 DANS LE TEMPS ....................................................................................................................................... 4 SUBDIVISION DU TRAVAIL ....................................................................................................................... 4 CHAPITRE I : CONSIDERATION GENERALE ................................................................................................ 6 I.2.1 L’ADMISSION ................................................................................................................................... 6 I.2.2 QUELQUES CONSEILS ET ETAPES ASUIVRE POUR ACCUEILLIR UN PATIENT ....................................... 7 I.2.2.1 ADMISSION D’UN CAS D’URGENCE ............................................................................................... 8 I.2.2.2 LA RECEPTION A L’UNITE DE SOINS ............................................................................................... 8 I.2.2.3 LES VISITES.................................................................................................................................... 8 I.2.3 L’ENVIRONNEMENT DU PATIENT ..................................................................................................... 9 I.2.3.1 ENVIRONNEMENT PHYSIQUE ET PSYCHOSOCIAL DU PATIENT ................................ 9 I.2.3.2 ENVIRONNEMENT THERAPEUTIQUE ............................................................................................. 9 I.2.4 LA VIE SPIRITUELLE DU PATIENT..................................................................................................... 10 I.2.4.1 ROLE DE LA FOI DANS LA MALADIE ............................................................................................. 11 I.2.5 LA SORTIE DU PATIENT .................................................................................................................. 11 I.2.5.1 ETAPES A SUIVRE POUR LA SORTIE ............................................................................................. 13 CHAPITRE II. APPROCHE METHODOLOGIQUE ........................................................................................ 14 II.1 PRESENTATION DE MILIEU D’ETUDE ............................................................................................... 14 II.1.1 HISTOIRIQUE................................................................................................................................. 14 II.1.2 SITUATION GEOGRAPHIQUE ......................................................................................................... 16 ORGANIGRAMME FONCTIONNEL .......................................................................................................... 17 II.1.3 ACTIVITE DE L’HGR/LUS ................................................................................................................ 17 II.1.4 LES SERVICES ................................................................................................................................ 18 II.1.5 PERSONNEL DE L’HGR/LUS ............................................................................................................ 18 II.2.6 CAPACITE D’ACCEIUL DE L’HGR/LUS .............................................................................................. 19 II.3 PRESENTATION, ANALYSE ET INTERPRETATION DE RESULTATS ........................................................ 19 II.3.1 PRESENTATION ............................................................................................................................ 19 II.3.2 POPULATION ET ECHANTILLON ..................................................................................................... 20 35 II.3.3 METHODOLOGIE ET DEROULEMENT DE L’ETUDE .......................................................................... 20 II.3.3.1 METHODOLOGIE ........................................................................................................................ 20 Méthodes.............................................................................................................................................. 20 Technique ............................................................................................................................................. 20 II.3.3.2 DEROULEMENT .......................................................................................................................... 21 II.4 DIFFICULTES RENCONTREES ............................................................................................................. 21 CHAPITRE III. RESULTATS ....................................................................................................................... 22 III.1 PRESENTATION DES DONNEES ........................................................................................................ 22 Tableau I : Répartition des enquêtés selon l’âge .................................................................................... 22 Tableau II : Répartition des enquêtés selon le sexe ................................................................................ 22 Tableau III : Répartition des enquêtés selon la religion .......................................................................... 23 Tableau IV : Répartition des enquêtés selon le niveau d’étude .............................................................. 23 Tableau V : Résultats selon qu’ils fréquentent souvent l’HGR/LUS ......................................................... 24 Tableau VI : Résultats selon qu’ils qualifient l’accueil ............................................................................. 24 Tableau VII : Données qu’ils reçoivent des conseils pendant l’accueil..................................................... 25 Tableau VIII : Résultats selon qu’ils sont guidé par le personnel pendant la période d’hospitalisation .... 25 Tableau IX : Donnés selon que les soignants se présentent aux malades dès leur premier contact ......... 26 Tableau X : Répartition selon qu’ils sont préparé psychologique pendant l’accueil................................. 26 Tableau XI : Résultats selon que les conditions d’attente à la consultation sont bien réunies ................. 27 Tableau XII : Résultats selon qu’ils sont satisfaits du temps mis pendant l’attente ................................. 27 Tableau XIII : Données selon la collaboration soignant-malade à l’HGR/LUS........................................... 27 Tableau XIV : résultats selon que les infirmiers se soucis de malades ..................................................... 28 Tableau XV : Résultats selon que les infirmiers répondent à temps aux appels des malades .................. 28 Tableau XVI : Résultats selon que les soignants souhaites une bonne guérison aux malades à la sortie.. 29 DISCUSSION ET INTERPRETATION DES RESULTATS ................................................................................. 30 CONCLUSION ET SUGGESTION ............................................................................................................... 32 CONCLUSION ......................................................................................................................................... 32 SUGGESTION ......................................................................................................................................... 33 36 Ouvrages 1) YVON DOND, manuel de soins infirmiers éd. 2004 2) KATABAZIN.G, Connaissances, attitudes et pratiques des mères sur les candidoses digestives chez les enfants, Bruxelles, 2000 3) VATN.F, Techniques générales de soins, éd.1990 4) BYAKUJOGA RUGEMA B. Techniques générales des soins, 2010 5) Dictionnaire hachette encyclopédique de poche, éd.1993 6) Dictionnaire francais, la Rousse, éd. 2006 7) Dictionnaire de la médecine, éd. 1985 8) htt/infirmier.fr/anne.perrot solivures/2008 9) htt/infirmier.fr/anne.perrot solivures/2009 10) fr.wikipedia.org/wiki/qualité