M. Virât, Quand les enseignants aiment les élèves, 2019
Les enseignants ont tendance à ne pas s’engager dans une relation
avec les élèves. Ils restent fixés sur les instructions. Pourtant cela
permet de favoriser l’estime de soi, la motivation et de limiter
l’anxiété chez les élèves
P. Niedenthal et al., 2008
Les émotions d’autrui influences celles des autres
Couchot-Schiex et Trottin, 2005
Ces auteurs parlent la loi du 2/3 1/3 (les enseignants font plus de
retour aux garçons qu’aux filles et ils sont de meilleurs qualités)
(Sujet sur la mixité, les différenciations d’élèves…)
J-L. Ubaldi et A. Coston, 2013
« L’homme debout » (l’enseignant ne s’affranchit pas des problèmes,
ils les règlent et cherchent à trouver de réelles solutions pour faire
avancer les élèves
Mise en place de « Lignes Jaunes » (des règles, des routines, des
lois…)
(L’enseignant est le garant du bon déroulement de la leçon, il permet
de limiter le sentiment d’insécurité qui est un frein à la pratique et à
l’engagement)
J-P. Garel, Bienveillance et exigence pour un enseignement
inclusif, 2020
La bienveillance se n’est pas dire aux élèves ceux qu’ils veulent
entendre mais ceux dont ils ont besoins d’entendre, elle est sous
couverte d’exigence
Il faut connaître ses élèves et s’adapter à chacun d’eux (le rôle de
l’enseignant c’est être capable de connaître ses élèves et donc
d’adapter sa façon de s’adresser à chacun)
D. Hawn, Le groupe, 2000
Formation de groupe stable sur toute une séquence afin de favoriser
les interactions entre les élèves
(La bienveillance est autant du point de vue de l’enseignant vers
l’élève mais aussi de l’élève à l’élève et permettre aux élèves de
s’adapter à un petit nombre d’élève dans un premier temps est garant
de la bonne entente des élèves)
La formation de groupe de niveau engendre de la souffrance chez les
élèves
Durant, 2001
Il constate et donne un exemple dans son cours qu’une fille sort du
terrain car malgré la mise en place de groupe stable, les garçons ne lui
font pas de passe. C’est donc par sa posture « d’Homme debout » que
l’enseignant va expliquer aux garçons que les groupes seront les
mêmes sur toute la séquence et que la compétence est collective ainsi
il constate par la suite une coopération des élèves
(Les groupes stables ne se suffisent pas à lui-même)
P. Grand-Clément, Les cahiers pédagogiques, 2018
Une évaluation par capitalisation
(C’est une évaluation qui n’évalue que les progrès des élèves, une fois
un stade validé on ne peut pas descendre mais seulement proposer une
augmentation de la compétence)