ESSAI DE RADIESTHESIE VIBRATOIRE L. CHAUMERY – A. DE BELIZAL
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Bien entendu les surprises furent nombreuses, les moments de découragement aussi, nous nous
sommes trouvés souvent devant des phénomènes incompréhensibles que nous n'avions pas prévus.
Tout cela dû à des causes diverses, à une fausse technique non encore au point, à l'apport d'ondes
parasites, etc... Plus de deux cents détecteurs furent établis par nous et de tous ces essais nous avons
tiré des conclusions et une méthode qui nous a laissé entrevoir des horizons nouveaux.
Puis, en poursuivant l'étude de la sphère, nous avons eu l'idée d'en joindre quelques-unes en les
juxtaposant par leurs pôles contraires ; ceci nous a permis de découvrir la « Pile Radiesthésique »
dont la « tension » est fonction du nombre d'éléments et « l'intensité »celle des diamètres employés.
Nous obtenons ainsi, comme dans la pile électrique, « voltage » et « ampérage », et le rayon qui
émane de chacun des pôles est toujours le vert du spectre d'une part, et son opposé ou " vert négatif
", d'autre part
Nous revendiquons l'absolue paternité de cette « Pile Radiesthésique », tant en ce qui concerne sa
découverte, ses propriétés que ses applications. Elle a du reste fait, ainsi que le « Pendule
Universel », l'objet d'un brevet en date du 10 avril 1936 et portant le n° 816.132. Cette pile nous a
donné les résultats les plus remarquables tant au point de vue momification de viande, de poissons,
d'œufs, de végétaux que comme rayon guérisseur dans les affections cancéreuses.
Notre pendule universel n'était pas seulement récepteur, il était aussi émetteur, c'est-à-dire
qu'accordé à une couleur du spectre il permettait de produire cette onde lorsqu'on le faisait girer
volontairement. Et cette vibration est d'ordre électromagnétique dont la tension est portée au chiffre
100, par l'insertion au centre du détecteur d'une pile à 4 éléments.
Ainsi l'accumulateur radiesthésique prenait naissance puisqu'il se révélait à l'expérience qu'un
disque de métal ou de bois, la matière important peu, pouvait recevoir et garder une imprégnation
vibratoire équilibrée pour la restituer ensuite sous forme d'onde contraire ou onde guérisseuse qu'il
est possible d'appliquer sur un témoin-maladie. Les possibilités de l'accumulateur radiesthésique ne
se limitent pas là et nous verrons que, par son entremise, il est facile de transporter des ondes, d'en
imprégner à distance un organe malade, enfin d'établir un véritable relais par lequel une personnes
même ignorante de la radiesthésie, pourra, à l'aide d'un plan, capter la vibration envoyées et la faire
passer à l'endroit choisi par elle (son lit par exemple), et cela par l'intermédiaire d'un autre
accumulateur, vierge de toute charge, qui s'imprégnera automatiquement de l'onde émise, et la
quittera aussi facilement pour en prendre une nouvelle, chaque fois que l'accumulateur-distributeur
changera sa longueur d'onde.
Puisque nous possédions un détecteur étalonné, nous avons pu étudier les vibrations émises par
certains signes ou par des statues telles que celles d'Egypte et de l'île de Pâque.
Le pendule sphérique, utilisé en récepteur, et ceux qui en dérivent nous ont permis de faire
l'inventaire de ces ondes de forme et de dessiner la marche de leurs rayons, d'en faire ressortir la
nocivité en certains points ou dans certaines directions. Tout ceci ne peut être traité d'imaginaire,
nous en avons fait la preuve, soit par la momification de viande sous l'influence unique des
radiations sortant de ces formes, soit par la sensation de fatigue nettement perçue par les humains.
La réversibilité de notre détecteur nous a conduits à penser que la radiesthésie n'est pas seulement
une possibilité de ressentir, elle serait aussi une possibilité de donner, et toujours, dans un cas
comme dans l'autre, le corps humain serait l'intermédiaire nécessaire agissant au moyen d'une sorte
de télémécanique encore mystérieuse dont le mécanisme resterait à trouver.
Nous verrons plus loin que dans l'antiquité nous attribuons la puissance des ondes à la masse des
appareils ou des formes qui les produisaient. Cette forme massive était le seul moyen que les
anciens avaient à leur disposition, moyen sûr de durée indéterminée, en rapport de temps avec celle
des appareils qui les engendraient.