prescrite pour un Jésus, pou u Bouddha ou pou lauteu de la Bhagavad Gita fut difficile ?
Le fait de suivre leur svadharma a nécessité de grands sacrifices et de renoncer à ce que tous
les hommes considèrent comme bon et désirable das le ode. Naois, est pou le
plus gad fie du ode uils ot hoisi de eoe à tout le reste pour accomplir
leur svadharma. Pour eux, après avoir pris connaissance de leur identité éternelle (en tant
ue Soi), il avait plus daute possiilit ue de patage ette oaissae ave
lhuait toute etie. Auu aute devoi aurait pu exercer demprise sur eux. Sils
avaient renié ou refoulé leur svadharma, alors quelle vie malheureuse et triste ils auraient
eue – quand bien même ils auraient été entourés de tout le luxe et de toute la richesse !
Cest pa ei uu hoe spiituel oaît so svadharma : si son âme est heureuse et si
elle se réjouit dans son accomplissement et si la pensée même de dévier de cette voie lui
doe al au œu et la dpie, alos il peut te sû uil sagit là de son svadharma.
Il ’est pas juste de laisse iahev le tavail sa ui devait te aopli. U tel
renoncement à l’atio est une illusion obscure. Et si un homme abandonne son svadharma
par crainte de la peie, il ’a vaiet auue opese. (Bhagavad Gita, 18-7-8)
La opese daopli le tavail ou lœuve appopie pa appot à votre propre
svadharma, ce sont la paix et la joie divines. En renonçant à tous les autres soucis, hormis
laoplisseet du tavail ue Dieu vous a pesit, vous ressentirez et connaîtrez Sa
certification en vous.
L’hoe atteit la pefetio uad so tavail ve Dieu, de qui toutes choses émanent
et qui existe en chacun.
Il vaut mieux accomplir votre propre travail, fut-il modeste, ue elui d’u autre, même si
celui-ci est important. Si l’homme accomplit le travail que Dieu lui donne, aucun péché ne
peut le toucher.
Et l’homme ne devrait pas abandonner son travail, même s’il e peut pas l’accomplir à la
perfection, car dans tout travail, il demeure quelque imperfection, car tout feu produit de la
fumée. (Bhagavad Gita, 18.46-48)1
Mieux vaut périr en accomplissant votre propre travail que prospérer en faisant celui
d’autui. (Bhagavad Gita, 3.35)
Dans les chapitres précédents, Krishna avait déjà enseigné à Arjuna la manière dont un
hoe devait œuve :
Fixe to œu su to tavail, ais jaais su sa opese. Ne tavaille jaais dans
l’optiue d’otei ue opese, et e esse jaais d’aopli to tavail. (Bhagavad
Gita, 2.47) Quand un homme parvient à renoncer à tous les désirs qui affectent so œu et
quand, par la grâce divine, il trouve la joie divine en lui-même, alors son âme a effectivement
trouvé la paix. (Bhagavad Gita, 2.55)
L’hoe ui a touv la joie de l’Espit et das l’Espit possde la satisfatio et la paix, et
homme se situe au-delà de la loi du karma (actions et rétributions). Il se situe au-delà de ce
qui est fait ou pas. Il se situe au-delà du monde des mortels. En te libérant des liens de
1 A ce propos, je suggère au lecteur ou à la letie leellet atile de Sally Kempton, Faire la paix avec la
perfection, NDT.