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LES MANTRAS ET LA SCIENCE MODERNE - RADIO SAI GLOBAL HARMONY

LES MANTRAS ET LA SCIENCE MODERNE
Les traditions et les pratiques anciennes sont souvent tournées en ridicule ou accueillies avec
énormément de scepticisme par la génération actuelle. Cet article tente de clarifier et
d’expliquer par le biais de la scie ce ode e l’i t t de ce ui ous a t l gu
gratuitement par nos ancêtres éclairés.
L ENCHANTEMENT DU YAGNAM DE DASARA
La matinée du 30 septembre 2017 verra l off a de fi ale du sa ifi e de sept jou s o ga is
dans le Poorna Chandra Hall de Prasanthi Nilayam, comme partie intégrante des
célébrations de Dasara.
Le hall sera certainement envahi par les fidèles et les émotions des milliers de personnes
assemblées-là, touchées par ces vibrations sacrées, d o de o t à l u isso .
Pour beaucoup, le simple fait de se trouver dans cette atmosphère et de baigner dans les
sons de ces mantras captivants sera une expérience de grande élévation.
Tout comme la sérénité d t e assis de a t le samadhi de Prasanthi Nilayam ne peut être
mesurée pa au u algo ith e o ple e, le se ti e t su li e, su til et puissa t d assiste
au sacrifice védique est indescriptible.
COMMENT BRÛLER DU GHEE PEUT-IL CONTRIBUER À LA PAIX MONDIALE ?
Bhaga a S i Sath a Sai Ba a a d la
ue l o je tif de e yagna était le bien-être de tous
les êtres, partout, mais comment allumer un feu et y verser généreusement du ghee (beurre
clarifié) peut-il contribuer à la paix mondiale, pourrait se demander le rationaliste ?
Imaginez un e
e d u e t i u isol e et illettrée de la forêt amazonienne qui verrait pour
la toute première fois de sa vie une télévision et ue uel u u lui dise u a e et appa eil
o çu pa l ho
e, il pou ait réellement voir quelque chose qui se passe à des milliers de
kilomètres de là. L a o ig e se ait très certainement déconcerté, voire choqué.
Il pou ait s e fui e ou a t ou rejeter toute l affai e, e disa t Quelle â e ie ! C est
impossible ! ou il pou ait este là et ega de les s es défilant su l
a e s écriant :
C est i a uleu ! Vraiment phénoménal !
Da s u e tai se s, est pareil avec les mantras. Ceux-ci nous parviennent de scientifiques
spirituels qui ont acquis des connaissances concernant notre monde physique par
l e t e ise de la
taph si ue.
COMMENT T‘AVAILLAIENT LES SCIENTIFIQUES D ANTAN
Alors que les scientifiques modernes dépensent des milliards de dollars dans des
laboratoires complexes pour trouver des réponses à quelques mystères de la nature, les
sa a ts d aut efois o t o sa des illia ds d heu es à plo ge p ofo d e t au œu du
phénomène complexe que nous sommes et ont ainsi percé le mystère de nombreux secrets
de la nature.
Cela fo tio ait, puis ue e ui est à l e t ieu est ue le eflet de e ui est à l i t ieu
et vice-versa. Par exemple, les physiciens nous disent u u ato e esse le à u s st e
solaire miniature, avec un noyau qui joue le rôle du soleil et autour duquel tournent des
électrons, comme des planètes. Mais le noyau est minuscule, comparé aux orbites des
électrons…
Imaginez de soustraire tout l espa e d u ato e. Si on le faisait pour tous les atomes de tous
les êtres humains du monde, alors on pourrait mettre toute la race humaine dans le volume
d u a de su e !
C est da s ette
esu e où tout e ui ous e tou e est
ide ! N est-ce pas incroyable ?
Le macrocosme est réellement dans le microcosme. Les anciens Voyants savaient qu e
clarifiant l u d eu , on pourrait aussi o p e d e l aut e et c est ai si u ils d
stifi e t
de nombreux phénomènes que nous voyons autour de ous et u ils i t g e t ette
connaissance sous la forme de mantras de façon à ce que les générations futures puissent
bénéficier de cette sagesse.
Ils l o t fait de a i e totale e t d si t ess e. Pe so e e les a pa s pou ela et ils
atte daie t ie de pe so e. A l i e se de la plupa t des s ie tifi ues a tuels, ils
a aie t pas d aut e age da ue elui de guide leu s semblables vers une vie plus riche et
plus complète.
Ceu ui ig o e t tout ela, soit pa e u ils so t stupides, ut s ou sottement indifférents,
à l i age d u a o ig e pa appo t au gadgets ode es, e
e t es ha ts et es
p ati ues, les ualifia t de ha a ias, de gali atias et d e t a aga es
Ils pensent : Oh, e est ue du a agoui age ui o ti ue depuis des siècles, sans aucune
base s ie tifi ue, et e ta t u ho
es p og essistes et olu s, ous de io s ous
a ste i d e dosse es ieilles o e a es d od es…
Les jeunes de la génération actuelle pensent souvent que ces traditions sont absurdes.
Faisant référence à cela, Bhagavan a dit dans un discours, en 1992 :
Est-il i o a le ue K ish a tait apa le d appa aît e da s les fo e s des gopikas
(vachères), simultanément ? Si à notre époque, un yantra (un appareil comme un téléviseur)
est e
esu e d a o pli u tel sultat, alo s uels pou oi s suppl e tai es ne devraiton pas attribuer aux mantras ?
Les ondes électromagnétiques, da s l at osph e, peuvent préserver les sons et les formes
à jamais.1 Le pou oi de l Esp it est i o a le.
E fait, si o o pa e l a se al ilitai e d aujou d hui a e elui ui est e tio
da s les
Ecritures comme le Ramayana ou le Mahabharata, il existait des armes capables de faire
tomber la pluie, de soustraire le sol sous les pieds de l e e i ou de provoquer
instantanément d énormes conflagrations pou dui e l e e i e e d es.
1
Pour vous en convaincre, je suggère aux lecteurs de li e Les a ales akashi ues de Da iel Meu ois, u li e
ue l o peut t l ha ge li e e t et g atuite e t su I te et, NDT.
Et o
a o plissait pas ela e o st uisa t de g a des usi es d a es, h es et
coûteuses, comme à notre époque moderne, mais en chargeant de simples flèches avec le
pouvoir de mantras puissants.
Cela ous pa aît i o a le, pa e ue ous e pou o s pas o p e d e, à l i age d u
i dig e de l A azo ie ui e pige ait ue dalle à u s a tpho e !
Mais comme quelques indigènes plus téméraires ne rejetteraient pas la télévision comme
quelque chose de fantasmagorique et croiraient en ses résultats et expérimenteraient alors
l
e eille e t u elle peut off i , il e a fo t heu euse e t eau oup aujou d hui ui
croient en ces anciennes pratiques et qui, grâce à leur foi, ont la grâce de pouvoir assister à
des miracles…
COMMENT UN SACRIFICE VÉDIQUE A PU SAUVER LES VICTIMES DE
LA TRAGÉDIE MORTELLE DE BHOPAL
E
, Bhopal, la apitale de l Etat du Madhya Pradesh, a connu la pire catastrophe
chimique du monde, qui s est p oduite e aiso de la fuite a ide telle de p s de
to es d iso a ate de
th le, u gaz to i ue, da s u e usi e de pesti ides, dans la nuit
du deux au trois décembre.
Des milliers de personnes so t o tes et plus de
o t souffe t d i apa it s
partielles ou permanentes. Près de 33 ans après ce monstrueux accident malencontreux
p o o u pa l ho
e, les t au atis es et les effets o ifs de et e poiso e e t
chimiques perdurent encore de nos jours. Le taux de cancer chez les victimes de ce gaz
toxique est dix fois plus élevé, si on compare avec la populatio ui a pas t affe t e et il
y a régulièrement des décès prématurés.
Mais même si le péril était si grave, plusieurs familles purent échapper au terrible impact
négatif dû à u e e positio à des l e ts adioa tifs o tels li
s da s l ai et da s l eau,
o
e si u
a p ote teu les a ait p ot g es. Elles a aie t ig autou d elles ette
couverture protectrice à leur insu en a o plissa t l agnihotra homa, un sacrifice védique.
M. S. L. Kushwaha (45 ans) se réveilla vers 1h15 dans la nuit du 3 décembre en entendant sa
femme, Triveni, qui vomissait. Lui-même avait vite commencé à tousser et à ressentir une
douleur dans la poitrine. Ses yeux étaient brûlants et il suffoquait. Ses enfants se
réveillèrent, quelques minutes plus tard en se plaignant des mêmes symptômes.
Il a ait au u e id e de e ui a i ait. E ega da t pa la fe t e, il it des ge s ui
fuyaient dans la pa i ue. Quel u u
ia pou les i fo e ue l ai tait e poiso
e
aiso d u e fuite de gaz à l usi e d U io Ca ide, située à 1,5 km de là.
Kushwaha décida également de s e fui , ais sa fe
ela
a o pli l agnihotra ? Kush aha o se tit et e d a s
symptômes disparurent.
ta et lui dit : Pou uoi e pas
i utes, tous les te i les
L agnihotra est un sacrifice védique qui repose sur les sciences védiques de la bioénergie, de
la
de i e, de l ag i ultu e et du g ie li ati ue. Pou l a o pli , u feu est p pa
dans une pyramide en cuivre en suivant les biorythmes du lever et du coucher du soleil.
E suite, o lui fait u e off a de de ghee, de ouse de a he, de iz et d aut es i g die ts,
accompagnée de chants védiques.
Il a été découvert que la fumée ainsi générée piégeait les particules des radiations toxiques
da s l at osph e et eut alisait l effet adioa tif à u i eau su til. ‘ie
est a a ti, il a
seulement transformation du négatif en positif.
M. M. L. Rathore (33 ans) habitait avec sa mère, sa femme et ses quatre enfants près de la
gare ferroviaire de Bhopal où des dizaines de personnes périrent à cause de
l e poiso e e t au gaz to i ue. Il a o plissait l agnihotra depuis cinq ans. Quand la
catastrophe frappa, il débuta immédiatement le sacrifice et enchaîna tout de suite avec un
autre rituel, le tryambakam homa. Le gaz mortel épargna sa famille.
Un autre exemple qui se détache est le cas exceptionnel de la famille Prajapati. Alo s u O.
N. P ajapati souff ait d i itatio s s
es et de ougeu s au eu , sa fe
e se t ou ait
dans un état critique, comme ses deux fils.
Il e t ep it i
diate e t d a o pli l agnihotra homa et endéans une semaine, il fut
débarrassé de tous les s ptô es de l ag essio
o telle. Sa fe
e fut elle aussi gu ie,
mais il lui fallut plus longtemps pour se rétablir.
Un des deux fils, âgé de 13 ans contracta la tuberculose. Prajapati ne lui administra aucun
remède conventionnel, préférant le traite e t dispe s pa l agnihotra. Au bout de
uel ues se ai es, il fut gu i de so i fe tio g â e à l i pa t positif de l at osph e de
l agnihotra, du mahamrityunjaya homa et à l utilisatio
guli e de e d e de l agnihotra,
comme remède. Et le plus intéressant peut-être, est ue la plus jeu e fille de P ajapati, qui
est née un an après la tragédie, est en réalité son enfant qui a la meilleure santé !
Ceci fut rapporté dans un journal national de l I de, le a il
di ue de o
att e la pollutio .
Quel est le secret ? Co
e t u tel
, sous le tit e, Le
o e
i a le se p oduit-il ?
Une explication qui est fou ie pa M. Mi osla Ha e , u ph si ie de l e -Yougoslavie, est
u o peut e p he so o ps d a so e des l e ts adioa tifs e do a t ha u de
ces éléments au corps sous une forme naturelle (non radioactive). Une fois que le corps est
saturé par ces éléments, il rejettera les versions radioactives. Même si ceux-ci ont été
absorbés auparavant, ils sont finalement remplacés par les éléments non radioactifs.
Maintenant, où trouver ces éléments non radioactifs qui protègent notre corps ? Dans la
e d e de l agnihotra ! Elle o tie t l e se le des
l e ts hi i ues atu els a e
leur adioa ti it atu elle. Et le plus fo ida le, est ue
e si l homa est accompli
avec des éléments radioactifs, la cendre elle est toujours non radioactive !
UN ANCIEN RITUEL DU FEU PURIFIE LA NATURE ET AMÉLIORE
LA PRODUCTIVITÉ, ASSURENT DES SCIENTIFIQUES DE COCHIN
Une équipe de scientifiques dirigée par le Prof. V.P.N. Nampoori, l a ie di e teu de l E ole
I te atio ale de Photo i ue de l U i e sit des Sciences et Technologies de Cochin, est
arrivée à une révélation tout aussi stupéfiante.
L uipe alisa u e tude pouss e su l i pa t d u ituel du feu ieu de
a s organisé
à Pa jal, u illage isol situ da s le dist i t de Th issu da s l Etat du Ke ala. Ce yagnam
appelé athirathram fut célébré du 4 au 15 avril 2011.
D ap s les s ie tifi ues, le ituel du feu se le a oi a l
le processus de la
ge i atio des se is et la p se e de i o es da s l ai , l eau et la terre de la zone du
rituel du feu et autour de la zone fut fortement diminuée.
L uipe a ait planté trois types de semis – des pois à vaches, des haricots mungo et des pois
chiches – des quatre côtés du site du rituel à des distances variables. Elle en a conclu que la
croissance était la meilleure da s les pots les plus p o hes de l autel du feu. L impact était le
plus pe epti le pou les pois hi hes ui se d elopp e t
fois plus ite u ailleu s…
La recherche se focalisa également sur le comptage des colonies de bactéries en trois lieux
différents : da s l autel du feu, à
et à , km. L a al se i o ie e effe tu e a a t,
pendant et quatre jours après le yagna
la ue l ai à p o i it de l autel tait pu et
o ptait t s peu de olo ies i o ie es et tait ai o seule e t pou l ai , ais
aussi pou l eau et la te e autour du site du rituel.
Le plus surprenant, est ua d l uipe de e he he effe tua des tests da s les e i o s
i
diats d autels du feu d athirathrams qui eurent lieu en 1918 et en 1956, toujours
préservés dans les jardins de brahmanes nambudiris. Il fut découvert que ces briques
continuaient à être vierges de microbes.
C est u e i di atio ue l i pa t du ituel est du a le , o t d la les he heu s. Des
tudes he he t e fait à d ou i si d aut es ha ge e ts positifs da s l at osph e sont
également durables.
En guise de conclusion, le Prof. Nampoori a déclaré : Ces d ou e tes aide t o
seulement à chasser les notions superstitieuses associées aux rituels védiques, mais aident
aussi à p e ise es t aditio s pou l a lio atio de la nature et de notre
e i o e e t.
LE RUDRAM ME ‘ÉÉNE‘GISE
M. G. R. Praveena, un spécialiste du sanscrit, ui e plus d e seig e les ios ie es i spi e
également les tudia ts de l E ole Se o dai e Sup ieu e S i Sath a Sai à apprendre le chant
des Védas dit : Tous les h
es di ues poss de t de ultiples sig ifi atio s ui so t
plus p ofo des ue e ue l o o p e d g
ale e t. Les t adu tio s a glaises de es
mantras sont grossièrement inadéquates et incomplètes.
Par exemple, si o p e d l h
e populai e S i ‘ud a
ui est ha t uotidie e e t à
Prasanthi Nilayam, la première partie, le Namakam peut superficiellement faire référence à
l off a de de p oste atio s à la d it
di ue, ‘ud a et à la e he he de sa p ote tio
cont e les fo es de la atu e, ais da s le
e te ps, tout l h
e o e e aussi le
système médicinal.
Ceux qui sont en mesure de le décoder savent qu il pe to ie e fait toutes les aladies ui
affectent l ho
e, ainsi que leurs remèdes qui mentionnent les herbes précises pour
chaque maladie et les procédures pour préparer ces formules. C est pou uoi da s es
mantras, Rudra est loué comme le plus grand guérisseur capable de nous protéger contre
tous les p ils.
D si eu d e te d e u t oignage personnel, je lui demandai : Vous tes uel u u ui a
p o a le e t ha t le ‘ud a des illie s de fois e t ois d e ies et de i d tudes et
plus ta d, d e seig e e t, à P asa thi Nila a . Co
e t ha te le ‘ud a ous a-t-il aidé
personnellement ?
J ai ai te a t p es ue a s et si je suis encore aussi actif aujou d hui, est à cause de la
force et de la vitalité qui proviennent du chant de ces mantras , répondit M. Praveena et il
continua : Sur le terrain, les garçons qui ont le tiers de mon âge veulent jouer avec moi, car
pour eux, est u d fi sti ula t et ils so t sou e t stup faits pa a souplesse.
E plus d t e u i st u teu de oga, je o pose également des poèmes en sanscrit et
j e t aî e les ga ço s à la da se et donc, si je considère toute la contribution à tous les
i eau ue j ai pu appo te ha ue fois ue Dieu e a do
l oppo tu it , je suis
persuadé ue e i a t possi le e aiso de a passio pou le ha t des V das ui
ga d d a i ue et plei d e gie.
a
POURQUOI LES MANTRAS PEUVENT MANIPULER NOTRE ADN
Il y a quelque temps, les scientifiques modernes pensaient que seulement 2 % de notre ADN
qui fabriquent des protéines ous taie t utiles. Le este tait ue de l ADN pou elle
disaient-ils. Fondamentalement, par le biais de leurs expériences, ils ne pouvaient pas voir ce
ue faisait et ADN, s il e odait pas des p ot i es.
Mais dans un passé récent, une équipe de chercheurs russes o ai ue ue ie
est
inutile dans la nature réunit des linguistes et des généticiens dans une entreprise hasardeuse
pou e plo e et ADN pou elle . Leu s sultats et leu s d ou e tes fu e t tout
simplement révolutionnaires.
D ap s eu , l ADN est espo sa le o seule e t de la o st u tio de ot e o ps,
sert également au stockage de données et à la communication.
ais il
Les linguistes russes découvrirent que le code génétique – sp iale e t da s l ADN
pou elle – suivait les mêmes règles que tous nos langages humains. Cela veut dire que
nous parlons, comme nous parlons, parce que notre ADN est structuré ainsi.
Le biophysicien et biologiste moléculaire russe, Pjotr Garjajev, et son équipe explorèrent
également le co po te e t i atoi e de l ADN et d ou i e t u ils pou aie t vraiment
odifie l i fo atio g
ti ue de l ADN e utilisant des rayons lasers et des ondes radio
adéquates, à condition que les fréquences (sons) soient appropriées.
Ceci explique scie tifi ue e t pou uoi les suggestio s, l h p ose et d aut es
thodes
similaires peuvent avoir un tel impact sur les humains et sur leurs corps. Il est tout à fait
normal et naturel que notre ADN réagisse au langage, aux mots et à la pensée.
Ainsi, en utilisant simplement la vibration (les fréquences soniques) et le langage, l ADN peut
être impacté, modulé, guéri et plus. Bien entendu, la vibration doit être correcte.
Plus une personne est évoluée, plus il est fa ile d ta li u e o
u i atio o s ie te a e
l ADN. C est pourquoi élever notre conscience individuelle est important pour opérer de tels
i a les .
Quoi u il e soit, e ue ela p ou e, est ue ie u a e des so s app op i s prononcés
a e pu et , ous pou o s ha ge les lo s de o st u tio de ase de ot e ie, l ADN.
Il est gu e to a t ue les V das aie t p o la
depuis toujou s ue l o de ie t e ue
l o pe se et la sig ifi atio litt ale du a t a, est ela par la répétition duquel on peut
su o te les t ou les ou les p o l es et l asse isse e t ou l es la age.
LE ‘UD‘AM BOOSTE L IMMUNITÉ D UNE OCTOGÉNAI‘E
En octobre 2016, après avoir écouté un débat sur l i po ta e et l effi a it des h
védiques, un auditeur bahreïni de Radio Sai écrivit :
es
E
, a
e ui a ait alo s a s a o
e
à app e d e le ‘ud a . Elle outait
a e eau oup d appli atio le tuto iel de ‘adio Sai pou tenter de l app e d e. Elle o ait
e pas pou oi t e e
esu e de
o ise l h
e e e tie , ais e
oi s d u a , à
force de volonté, de détermination et en chantant tous les jours, elle est parvenue à
o aît e l e ti et du ‘ud a pa œu .
Il est intéressant de noter que durant cette période, nous avons constaté un changement
dans sa santé et nous en ignorions la raison. Il y eut même des occasions où tous les
e
es de la fa ille souff aie t d u e i fe tio , et la seule pe so e ui l a ait it e
était ma mère octogénaire !
Cette année, après avoir participé au programme de leadership destiné aux jeunes à
Prasanthi Nilayam, en juillet 2016, je suis rentré chez moi, fourbu après un programme
ha g de deu se ai es. Puis ue a
e tait pas a e oi à Bah eï , j ai it le
‘ud a à la aiso pou o ti ue la p ati ue et oi s d u e jou e ap s a oi
commencé, je me suis senti totalement redynamisé.
Durant ces deux semaines, ma mère se trouvait aussi en Inde et elle avait cessé de chanter
pour diverses raisons. Elle tait à pei e a i e là depuis uel ues jou s u elle to a
malade et connût des p o l es espi atoi es. De etou à Bah eï , ap s u elle se soit
reposée pendant deux jours, je lui demandai de recommencer à chanter le Rudram et ce
jour-là, son visage retrouva so
lat et elle se lait aussi f aî he u u e ose. Ce fut
radical, presque spectaculaire.
J ig o ais tout à fait ue le ‘ud a pou ait a oi u tel i pa t aussi p ofo d su la sa t .
Maintenant, peu importe à quel point je peux être fatigué, quand je chante le Rudram, je
retrouve mon énergie ! 2
GUÉRI DU VIH, GRÂCE AU RUDRAM ET À SAI
M. A u Ma dale, u a de t fid le de Bhaga a , d I do e, da s le Madh a P adesh, eçut
l oppo tu it d e seig e des a t as di ues à des fid les Sai à Ma ipu pe da t di
jours, en janvier 2007.
U jou , dit-il, u ho
e est e u e t ou e et a de a d si o pou ait gu i de
i po te uelle aladie pa le ha t des V das. Je lui ai dit ue s il tait assidu et ue s il
avait la foi, Swami prendrait soin de tout, il ne fallait entretenir aucune inquiétude.
J ai app is plus ta d u il s agissait d u patie t attei t du VIH. Si ois plus ta d, j ai
contacté un fidèle de la gio pou
e u i à so sujet et o
a po du u il a ait t
hospitalisé, mais que maintenant, son état retournait à la normale, et il a bientôt pu sortir de
l hôpital et les tests o t o t
u il tait d so ais d a ass de e te i le i us !
Ce i s est p oduit ap s a oi ha t le ‘ud a pe da t si ois, a e dilige e. Le plus
jouissa t, est u ap s sa gu iso , il a d id d a oi u e fa t, puis ue le ouple
attendait cette faveur depuis longtemps et je suis vraiment heureux que son fils qui a
maintenant cinq ou six ans soit en parfaite santé !
Arun Mandale ajoute encore : Pa ailleu s, j ai de a d à eau oup d tudia ts de ha te
le Medha Suktam quotidiennement et tous ont eu de meilleurs résultats dans leurs études et
il a plei d e e ples, o
e eu -là.
DES EXPÉ‘IENCES MANT‘IQUES DI‘ECTES AVEC L AVATA‘
‘a ga ath ‘aju, u a ie tudia t de l u i e sité de Bhagavan, pria intensément Swami
pou u il lui do e u e e pli atio plus si ple du Ga at i a t a et au ou s d u
e,
Bhagavan lui dit :
Cela eut di e si ple e t : Ô Dieu ! Je Te prie de me bénir avec darshan (vision), sparshan
(contact) et sambhashan (conversation) ou leur équivalent. Seigneur, accorde-moi cette
oppo tu it et lai e o i tellige e.
Ap s a oi eçu e se et de Bhaga a , dit-il, il essaya et cela fonctionna la plupart du
temps. Même après avoir termi ses tudes à l u i e sit de S a i, ha ue fois u il
e ait à P asa thi, il s asse ait da s le Sai Kul a t Hall et o
e çait à psal odie e
2
Dans le merveilleux livre de Swami Ramdas, Carnet de pèlerinage, on peut constater à quel point la répétition
perpétuelle d u
a t a tout si ple peut dote le p ati ua t d u e e gie ph o
ale, o
ee
t oig e t ses a e tu es et ses p g i atio s e t ao di ai es da s toute l I de, NDT.
mantra et plus souvent que non, Swami le remarquait soudainement et entamait une
conversation avec lui.
Hari Shankar, qui travaille maintenant pour le Sri Sathya Sai Central Trust, commença un jour
à psalmodier ce mantra dans le Sai Kulwant Hall, espérant et priant pour que Bhagavan le
bénisse d u e a i e ou d u e aut e, u e fois au out d u
le de
répétitions.
ème
Alo s u il itait le a t a pou la
fois, Bhagavan sortit de la pièce des entrevues
donnant sur le portique et le regarda droit dans les yeux en lui demandant : Co
e t
t appelles-tu, mon garçon ? 3
FAIRE CONFIANCE AU PASSÉ ET BÂTIR UN BEL AVENIR
Si nous pouvions faire confiance à nos anciens sages et voyants avec au moins la moitié de la
sincérité avec laquelle nous faisons confiance aux docteurs et aux scientifiques modernes,
ous pou io s ite ha ge l ADN du o de ui ous e tou e.
Là où règne la négativité, nous pouvons la transformer en un environnement constructif
sans confrontation ni guerre en la chargeant tout simplement de vibrations sacrées qui
modifient le psychisme.
3
Pour plus de détails concernant ce mantra surnommé la Mère des Védas, voir le li et i titul Le pou oi et
la puissa e du a t a de la Ga at i et l a ti le i titul D ou i la sple deu et la gloi e du a t a de la
Ga at i , tous deu e t l ha ge e t li e et g atuit, NDT.
Le so le plus puissa t de l u i e s, est OM, et l
otio la plus puissa te, est l a ou
pur et inconditionnel. Chaque mantra débute avec OM et OM est à lui seul un puissant
mantra.
Nous serions libérés de tous nos chagrins et soutenus par une force formidable pour
affronter tous les défis de la vie si seulement nous nous efforçions de maîtriser le pouvoir
qui est en nous en suivant la voie tracée par nos ancêtres éclairés avec une confiance totale
et u z le e thousiaste…
-
Partage-pdf.webnode.fr
Bishu Prusty, Radio Sai Global Harmony
Septembre 2017