is s é h t s li lo y d n o p S r u o p I(vnoite eporstvéreienurte)ion nt à une intervention. ne doit pas conduire systématiqueme La découverte d’un spondylolisthésis Il est maintenant prouvé : oir aucune douleur. eurs de spondylolisthésis sans n’av , et guérir avec le traite- que des patients peuvent être port en rapport avec un spondylolisthésis s leur dou de frir souf t ven peu - que des patients ment médical. dylolisthésis à des patients soufoser une intervention pour un spon prop r pou rd acco un t men elle Il existe actu leurs du dos (lombalgies), malgré rs (sciatique ou cruralgie), et de dou rieu infé bres mem des s leur dou de frant et, anti-inflammatoires, antalgiques, ayant comporté rééducation, cors duit con bien ical méd nt eme trait le trations. re myorelaxants, et éventuellement infil e du patient à sa situation, on opè d’une intervention est la toléranc ider déc r pou L’élément déterminant re médical complet et «qu’il en a mar quand le patient a eu un traitement d’avoir mal». laune aggravation progressive du dép Un déplacement très important ou , peut imposer l’intervention. cement, notamment chez l’enfant de rer un spondylolisthésis, en dehors Il n’y a en règle pas d’urgence à opé 3 situations exceptionnelles : une paralysie du pied - sciatique paralysante : entraînant troubles pour uriner : val che de - syndrome de la queue douloureuse malgré le traitement) - sciatique hyperalgique (restant très ne ésis est toujours opérable, mais on Techniquement, un spondylolisth ble onsa resp pas t n’es l qu’i se on pen propose pas d’intervention quand peu de chances de l’améliorer. a y l qu’i ou ent, pati du s leur des dou BUTS et BÉNÉFICES ESCOMPTÉS JUIN 2007 membres inférieurs. de la sciatique, et des douleurs des Le but est d’obtenir un soulagement résultat dans environ 80% des bon tel un nt ces interventions permette que t tren mon ntes réce es étud Les pas cas. du dos), pour lesquelles il ne faut rable sur les lombalgies (douleurs Le résultat est souvent moins favo le cas d’une profession espérer un soulagement total. la reprise du travail, surtout dans t rden reta qui dos du s leur dou Ce sont souvent les très physique. L’INTERVENTION anesthésie générale, en le but est de «décoincer le nerf», sous bes, jam les s dan s leur dou fre s où passent les racines, et Si le patient souf rir le canal au milieu des vertèbre ouv dos, du bas le s dan sion inci allant par une it de la libération (laminectomie) le sac et les racines nerveuses, il s’ag rer libé r e pou s» èbre vert les ter «grigno n de deux ou plusieurs vertèbres entr ter une arthrodèse, qui est la fusio ajou d’y r ire Pou essa e. néc giqu ent rolo souv neu très sion Il est se de compres ents exagérés soient aussi une cau èvert la de s coté les (sur elles, pour éviter que leurs mouvem s en cause, fe osseuse placée entre les vertèbre les réaliser la fusion, on utilise une gref ture, former un pont osseux entre frac e d’un n atio solid con la r pou me com va, qui bre, ou dans le disque), partie postérieure du bassin. étant prélevé localement ou sur la vertèbres, l’os utilisé pour la greffe souvent nécessaire de mettre nt la consolidation osseuse, il est nda atte en et , ents segm les iser s, appelé matériel d’ostéoPour immobil plus souvent), vissé dans les vertèbre le e titan (en ue alliq mét l érie mat en place du la mise en place d’un implant en ne greffe est réalisée dans le disque, qu’u Lors ion. ntat ume instr ou synthèse que (cage) peut être nécessaire. iger plas titrumentation peut permettre de corr Si la vertèbre est très déplacée, l’ins plècom iger corr de ire essa rarement néc le déplacement (réduction). Il est t. men tement le déplace u en en place un drainage par un tuya La plaie est refermée en laissant s jour 3 à 2 rant le sang, qui sera enlevée plastique relié à une bouteille aspi après l’intervention. r rvention, par voie antérieure, pou La réalisation d’une deuxième inte ire. compléter le greffe peut être nécessa www.com-edit.fr is Intervention pour Spondylolisthés (voie postérieure) I(vntervention pour SpondyloLis thésis oie postérieure) LES SUITES DE L’INTERVENTION Le kinésithérapeute vous apprend ra dès le lendemain ou le surlendema in la technique pour vous lever, et vous pourrez le faire ensuite auta nt que vous le souhaiterez. Vous pou rrez sortir environ 7 jours après l’intervention, lorsque vous arriverez à marcher, à rester debout le temps d’un repas, et à monter et descend un escalier. Le chirurgien est le plus re à même de vous donner des précision s sur les délais nécessaires avant de pouvoir vous asseoir et entrepre ndre des trajets automobiles. Un arrêt de travail de 3 mois minimu est à prévoir. m Le port d’un corset pendant quelque s semaines ou quelques mois peu t s’imposer, notamment s’il n’a pas été réalisé d’instrumentation. L’intervention ne peut se réaliser sans aucune douleur, mais celles-ci sont en général bien maîtrisées par les traitements analgésiques administ rés après l’intervention. Le médecin anesthésiste est le plus à même de donner les informations utiles à ce propos. RISQUES ENCOURUS Les risques propres à toute intervent ion chirurgicale Hématome, infection peuvent rend re nécessaire une réintervention, problèmes anesthésiques (dont vou parlera le médecin anesthésiste qui s doit être impérativement consulté avant l’intervention). Ces risques sont peu importants, bien contrôlés, mai s ils ne sont pas nuls. Les risques propres à cette intervent ion chirurgicale sur le rachis Persistance de la sciatique : survena nt si la compression a été trop long ue ou trop sévère, entraînant une lésion de la racine, d’évolution vari able, mais pouvant nécessiter la pris e prolongée d’antalgiques. Rupture ou démontage du matérie l d’ostéosynthèse, absence de con solidation de la greffe, peuvent rend nécessaire une réintervention. re Plaies des méninges (dure-mère), le plus souvent sans conséquence car suturée, mais pouvant entraîner des écoulements persistants de liquide, ou des kystes des méninges, peuven t conduire à un traitement médical ou à une réintervention. Complications digestives : retard à la réapparition des selles, exceptio nnellement occlusion intestinale. Les com plications exceptionnelles Une complication neurologique peu t survenir : même s’il est exceptio nnel, le risque de paralysie plus ou moins complète des membres infé rieurs, ou de problèmes pour uriner, exis te. Les troubles peuvent survenir au décours immédiat de l’interventio n, ou dans les jours qui suivent ; un hém atome peut se développer et comprimer les nerfs, pouvant obli ger à réopérer pour l’évacuer. Une lésion d’une racine nerveuse lors l’implantation du matériel peut égal de ement être à l’origine de paralysie . Une hémorragie potentiellement grave peut survenir par plaie des vais seaux situés dans l’abdomen devant le disque, une méningite (infectio n des méninges et du liquide céphalo -rachidien), et toutes les complications qui n’ont pas été encore déc rites… Certains antécédents, certaines part icularités, affections ou maladies (malformations, diabète, obésité, artérite ou autres affections vasculai res, alcoolisme, tabagisme, toxicom anies, comportements addictifs, affections psychiatriques, prise de certains médicaments, maladies du foie, maladies sanguines, tumeurs séquelles d’interventions ou de trau , matismes, etc.) peuvent causer ou favoriser la survenue de complications particulières, parfois graves, à l’extrême mortelles. Cette fiche est conçue pour four nir un support, et / ou un complém ent à l’information orale délivrée chirurgien au cours des consultation par le s précédant la décision opératoire ; cette information orale peut, seul adaptée au patient et à sa demand e, être e ; elle donne la possibilité de répo ndre aux questions posées, et con l’essentiel de l’information délivrée. stitue