La thérapie photo dynamique Metvix

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Kératose Actinique
Carcinome Basocellulaire
Morbus Bowen
La thérapie
photo­dynamique
Metvix®
• Carcinome Basocellulaire
• Morbus Bowen
Après le traitement
• Kératose Actinique
Qu’est-ce que la PDT?
Indications de la thérapie
photodynamique Metvix®
Kératose Actinique
Kératose Actinique
■ Comment se nomme mon affection
cutanée, qu’est-ce que cela implique
et quelle est son origine?
On appelle cette affection cutanée kératose actinique ou
kératose solaire. «Kératose» signifie épaississement de
la couche cornée de l’épiderme, un phénomène que
vous pouvez constater par vous-même. «Actinique» et
«solaire» font référence à la principale cause de cette
affection, à savoir les rayons solaires, «actinique» signifiant induit par la lumière et «solaire» par le soleil. Les
kératoses actiniques apparaissent généralement à plusieurs endroits; surtout au niveau des zones exposées au
soleil pendant une période prolongée. Une des composantes des rayons solaires, la lumière ultraviolette qu’on
appelle aussi lumière UVB, est responsable en premier
lieu de la survenue de ces lésions cutanées. Les rayons
solaires ayant agi pendant des années sur certaines
cellules de la couche supérieure de la peau, il s’ensuit
des modifications permanentes de l’activité cellulaire
normale. La fonction des cellules devient incontrôlée et
elles forment des «kératoses».
■ S’agit-il d’un cancer de la peau?
La kératose actinique était autrefois appelée pré­
cancérose, stade précédant le cancer. De nos jours les
spécialistes parlent plutôt d’un cancer de la peau au
stade précoce – un «carcinoma in situ». Cela ne veut
pas dire pour autant que toutes les kératoses actiniques
se transforment en cancer invasif de la peau. Elles
peuvent rester en l’état pendant des années, se résor­ber ­spontanément ou augmenter de volume plus ou
moins rapidement. Elles peuvent aussi évoluer vers un
véritable cancer de la peau – le spinaliome ou carcinome
spinocellulaire, également appelé carcinome de l’épithélium pavimenteux. Le spinaliome, qui est le deuxième
Photo: Redondo, Spain
cancer de la peau le plus fréquent, est une maladie
grave. La probabilité pour que cette transformation en
cancer de la peau ait lieu durant la vie d’un individu est
d’environ 20 %.
■ Faut-il traiter une kératose actinique?
Oui. Les spécialistes vous y encourageons vivement.
Autrefois on estimait qu’il n’était pas indispensable de la
traiter si elle ne gênait pas le patient puisque 80 % des
kératoses actiniques «n’évoluent pas». On attendait donc
qu’un cancer de la peau se soit développé et on traitait
celui-ci, généralement par une intervention chirurgicale.
Aujourd’hui les spécialistes estiment que les kératoses
actiniques doivent impérativement être traitées, c’est-àdire enlevées. Le traitement est relativement simple, sûr
et efficace.
■ Comment se nomme mon affection
cutanée, qu’est-ce que cela implique
et quelle est son origine?
On appelle cette affection cutanée carcinome basocellulaire, épithélioma basocellulaire ou basaliome. Certaines
cellules, qui font partie des couches inférieures dites
«basales» de la peau, sont altérées. Elles sont devenues
«incontrôlables». Une ou plusieurs de ces lésions ­peuvent
apparaître sur le visage mais aussi sur le tronc ou sur
les bras et les jambes, seulement dans des régions
où il y a des racines capillaires. Plusieurs causes sont
possibles, la plus fréquente étant une trop forte exposition au soleil pendant des années. Mais les lésions
n’apparaissent pas forcément aux endroits qui ont été
exposés au soleil. Il existe divers types de carcinome
basocellulaire qui se distinguent par le lieu d’apparition,
la forme, l’ampleur et l’épaisseur de la lésion. Votre type
de carcinome basocellulaire que nous allons éliminer
par photothérapie dynamique (PDT) est «superficiel»
(plat, se développant en surface).
Photo: Redondo, Spain
■ S’agit-il d’un cancer de la peau?
Oui. Comme son nom l’indique le carcinome basocellulaire est un cancer. C’est le cancer cutané le plus ­courant.
Ces altérations n’ont heureusement pas la gravité du
mélanome, qui peut dans certaines circonstances se
révéler mortel. Le carcinome basocellulaire ne produit
des métastases que dans moins de 1 % des cas. Il a
toutefois une autre caractéristique très désagréable: sa
taille peut augmenter rapidement et endommager non
seulement la peau mais aussi le tissu environnant, ce qui
risque d’entraîner de véritables altérations.
■ Faut-il traiter le carcinome basocellulaire?
Oui, il ne faut pas attendre. Le carcinome basocellu­laire doit être traité, c’est-à-dire éliminé.
Carcinome Basocellulaire
Carcinome Basocellulaire
Morbus Bowen
Les dermatologues désignent la maladie dont vous
souffrez par le nom de Morbus Bowen, parfois abrégé
en M. Bowen. Bien que cette maladie ne soit pas rare, il
n’existe malheureusement pas de dénomination ­française
courante pour la désigner. «Morbus» est un mot latin qui
veut dire «maladie» ou «souffrance» et «Bowen» est
le nom d’un dermatologue américain (John Templeton
Bowen, Boston, 1857-1940), qui a décrit cette maladie
pour la première fois en 1912. En français on parle le
plus souvent de «maladie de Bowen». Mais Bowen ne
savait pas encore exactement ce qu’est en fait la maladie qu’il a décrite; il la considérait comme un nouveau
type de trouble de la kératinisation limité à la couche
superficielle de la peau («a new kind of dyskeratosis
restrictedto the epidermis»). C’est pourquoi on désigne
parfois cette maladie aussi sous le nom de Dyskeratosis
maligna. Dans cette expression, on trouve le mot
«Dyskeratosis» = trouble de la kératinisation et le mot
«maligna» = malin. En parlant de «malin», on veut laisser entendre que la maladie de Bowen peut se développer et devenir assez dangereuse, si elle n’est pas traitée
comme la forme précoce d’un cancer de la peau.
Les formes spéciales de la maladie de Bowen, qui
­peuvent apparaître sur les muqueuses ou les épithéliums de transition (transition entre la peau normale
et une muqueuse, comme dans la zone anale ou génitale), sont appelées érythroplasies de Queyrat du nom
du dermatologue français qui a été le premier à décrire
cette forme particulière de la maladie de Bowen. Or,
Louis Auguste Queyrat (Paris, 1872-1933) ne savait pas
qu’il avait identifié et décrit la même affection que
Photo: Redondo, Spain
Bowen mais située à un autre endroit du corps. Pendant
longtemps on a donc pensé qu’il s’agissait de deux
maladies cutanées différentes et de nos jours encore les
médecins utilisent les deux appellations. Chez la femme,
la maladie de Bowen touchant la région du vagin est
appelée VIN ou néoplasie intra-épithéliale vaginale. On
parle aussi de «variante muco-cutanée» (ou variante
muqueuse) de la maladie de Bowen.
■ S’agit-il d’un cancer de la peau?
Oui. La maladie de Bowen est une forme précoce du
cancer clair de la peau, qui, s’il n’est pas traité, peut se
transformer en une forme assez agressive de cancer de
la peau appelé carcinome spinocellulaire (spinaliome).
On lit parfois aussi le mot précancérose (= «qui précède
le cancer»); mais ce terme est en fait inadéquat, car il
tend à minimiser l’importance de cette maladie; on serait
en effet tenté de conclure qu’il ne s’agit pas encore d’un
«vrai» cancer et qu’on pourrait d’abord attendre et voir
«comment la chose se développe». Or il serait faux d’attendre, car la maladie de Bowen ne régresse pas spontanément mais a au contraire une très forte pro­babilité de
se transformer à un moment donné en un carcinome
spinocellulaire invasif (qui croît dans la profondeur). Pour
de telles formes de cancers précoces, il existe une excellente expression, qui décrit exactement de quoi il s’agit:
les médecins parlent de «carcinoma in situ». Il s’agit à
nouveau d’une expression latine qui signifie «cancer
localisé». Il faut s’imaginer, dans le cas de la maladie de
Bowen, qu’il y a déjà de nom­breuses cellules de la mince
Morbus Bowen
■ Comment se nomme mon affection
cutanée, qu’est-ce que cela implique
et quelle est son origine?
couche superficielle de la peau (épiderme) qui se sont
transformées en cellules cancéreuses, que ces cellules se
sont ensuite divisées et qu’elles ont continué à grandir en
surface (pas en profondeur). Mais elles sont encore «sur
place», c’est-à-dire exactement là où elles sont apparues.
Elles n’ont pas encore formé de métastases (c’est-à-dire
qu’il n’y a pas encore de cellules qui se sont détachées),
qu’il n’y a encore aucune autre couche de la peau qui
soit atteinte – si l’on excepte la couche superficielle – et
surtout qu’aucun autre organe n’est atteint.
contamination par des virus ceux-ci favorisent très cer­
tainement la formation de ce «carcinoma in situ».
Les lésions caractéristiques de la maladie de Bowen sont
généralement visibles à l’œil nu: elles se présentent sous
la forme d’excroissances rouges ou brun-rouge, ­croûteuses
et squameuses. Il est important que le diagnostic soit
posé par un dermatologue expérimenté. Il fera procéder
dans la plupart des cas au prélèvement d’un fragment de
peau, qu’il soumettra à un examen histologique (examen
au microscope des structures fines du tissu) en raison du
risque élevé de confusion d’une maladie de Bowen avec
un psoriasis ou un eczéma. Contrairement à la kératose
actinique apparentée à la maladie de Bowen, qui n’apparaît qu’à des endroits du corps qui ont été exposés au
soleil, la maladie de Bowen peut également survenir sur
des zones non exposées. Les rayons solaires ne sont donc
pas le déclencheur unique de cette maladie. En plus du
soleil, il existe toute une série de facteurs déclenchants,
comme les produits chimiques (l’arsenic, les hydrocar­
bures polycycliques, comme le benzol, l’essence, le
­goudron, la suie, etc.), les substances psychoactives,
comme l’alcool et la nicotine et beaucoup d’autres en­
core. On a découvert récemment que certains virus
­pouvaient être impliqués. Ce qui ne veut pas dire que la
maladie de Bowen est une maladie infectieuse qu’on développe lors d’une infection virale mais qu’en cas de
Un spinaliome qui se développe en profondeur est un
cancer de la peau relativement agressif, qui a tendance à
se propager aux autres couches de la peau et à former
des métastases. Les métastases, une affection maligne,
sont le produit de la dissémination de cellules cancé­
reuses ou de nids cellulaires par voie sanguine ou lympha­
tique dans l’organisme qui peuvent coloniser d’autres
­organes et propagent ainsi le cancer. Dans le chapitre précédent, nous avons découvert le terme de «carcinoma in
situ». En réalité, on peut déduire du fait que la maladie de
Bowen soit un précurseur du cancer, localisé «in situ»,
c’est-à-dire très précisément à l’endroit où les cellules
cancéreuses sont apparues, qu’un traitement est possible
et a de bonnes chances de succès. Grâce aux méthodes
modernes, dont le thérapie photodynamique, on arrive de
nos jours à stopper la maladie de Bowen et à empêcher
qu’elle ne se transforme en un dangereux spinaliome.
Plusieurs traitements successifs sont parfois nécessaires.
Une telle série de traitements, si elle s’avère nécessaire,
peut très bien être effectuée sous forme de PDT.
■ Faut-il traiter la maladie de Bowen
Morbus Bowen
Oui. La maladie de Bowen doit être traitée, car elle ne
régresse pas spontanément ou seulement dans de très
rares cas, mais avant tout parce que la probabilité est
grande de la voir se transformer, à un moment ou à un
autre, en un carcinome spinocellulaire (spinaliome)
croissant en profondeur.
La thérapie photodynamique
La PDT est une méthode moderne qui, dans une certaine
mesure, s’attaque à votre affection cutanée avec ses
propres armes. Les lésions cutanées sont d’abord rendues hypersensibles à une lumière donnée puis sont
soumises à une lumière rouges, qui les détruit de
manière ciblée. En quelques jours ou semaines, elles
sont éliminées et remplacées par des cellules saines
qui sont produites par la division de cellules cutanées
voisines. La peau saine qui entoure la lésion n’est
généralement pas touchée.
■ Comment se déroule cette PDT?
Il existe deux méthodes thérapeutiques, votre médecin
choisira celle qui est la mieux adaptée à votre cas.
Soit deux séances de traitement seront fixées dès le
départ à un intervalle de 7 à 14 jours jours (maladie de
Bowen et carcinome basocellulaire), soit il effectuera
une séance de traitement et vous convoquera au bout
de trois mois pour évaluer et discuter des résultats du
traitement (kératose actinique). Si la guérison est complète, votre traitement sera achevé. Une deuxième
séance de traitement aura lieu s’il reste des traces de
kératose actinique.
• Votre dermatologue commencera par enlever à l’aide
d’un instrument spécial la couche cornée ou enflammée qui s’est formée à la surface de la lésion. Etant
donné le risque de faible douleur et de léger saignement, il peut avoir recours à une anesthésie locale et
bien évidemment stopper le saignement éventuel.
• Puis il applique une crème sur les lésions et sur un
centimètre autour des bords. Cette crème ­prénommée
Metvix® contient un principe actif, au nom compli­qué, le méthyl aminolévulinate ou MAL. Le MAL est
absor­bé sélectivement par les cellules cutanées
malades, où il est transformé en protoporphyrine IX
(PP9), qui rend les cellules hypersensibles à la
lumière rouge.
• Les endroits où la crème a été appliquée seront ensuite recouverts d’un film protecteur et, si vous devez
sortir pendant cette phase du traitement, dotés d’une
protection additionnelle contre la lumière. La durée
d’action optimale du MAL est de 3 heures. Pendant
ce temps vous pouvez vous installer dans la salle
­d’attente ou vaquer à vos occupations. En règle
générale, vous ne sentirez rien pendant cette phase,
ou seulement des légers picotements ou fourmillements.
• Au bout de ces 3 heures, le dermatologue essuie
l’excédent de crème et nettoie éventuellement les
lésions avant de les exposer à un rayonnement de
lumière rouge intense à l’aide d’une lampe spéciale.
La durée d’exposition est de 8 à 12 minutes. Cette
méthode permet de détruire sélectivement les
cellules cutanées malades. Le traitement complet est
répété une ou deux semaines plus tard dans le cas de
Carcinome basocellulaire superficiel et de la maladie
de Bowen.
Qu’est-ce que la PDT?
■ On m’a conseillé une Photothérapie
dynamique (PDT). De quoi s’agit-il?
■ Est-ce que je vais sentir quelque chose?
■ Que se passe-t-il ensuite?
Le processus d’élimination des cellules lésées et leur rem­
placement par des cellules saines se met en route après
le traitement. En général, vous serez convoqué au bout
de 3 semaines pour évaluer et discuter les résultats. Mais
vous pouvez bien évidemment convenir d’un rendezvous à tout moment.
■ Cette méthode a-t-elle
été suffisamment testée?
Oui. Des études ont été faites à travers toute l’Europe.
Le médicament utilisé, Metvix®, a été homologué par
Swiss­medic pour ce ­traitement après des tests intensifs.
Votre dermato­logue a participé à des séances de formation spéciales sur le PDT.
■ Y a-t-il d’autres traitements possibles
et pourquoi me conseillez-vous la PDT?
Il existe d’autres possibilités thérapeutiques, comme
une opération, la cryochirurgie, c’est-à-dire le traitement
des lésions par des températures extrêmement basses,
des crèmes à appliquer localement dans le cadre d’une
«chimiothérapie» ou des «immunomodulateurs». Dans
de nombreux cas, on peut utiliser aussi un laser. Les
crèmes doivent être appliquées pendant plusieurs semaines. L’intervention chirurgicale et surtout la cryo­
chirurgie peuvent laisser des cicatrices et provoquer des
décolorations ou colorations permanentes de la peau
traitée. Dans votre cas, le principal avantage de la PDT
est sa forte «sélectivité» (c’est-à-dire le fait que la peau
saine n’est pas touchée) et en particulier l’excellent résultat cosmétique qu’on peut en attendre. De plus, cette
méthode permet de traiter non seulement les cellules
lésées mais aussi celles qui ne sont pas encore visibles.
Qu’est-ce que la PDT?
Oui. La plupart des patients ressentent une gêne, beaucoup même une légère douleur qui chez certains peut
devenir relativement forte. Vous devez dire au médecin
si vous avez mal. Il pourra alors vous soulager en refroidissant la zone douloureuse, par d’autres moyens ou
interrompre la séance. Mais sachez qu’il s’agit ici d’une
«bonne douleur»: le tissu malade est détruit!
Après le traitement
■ Effets indésirables possibles
■ Exposition au soleil
Les symptômes suivants peuvent survenir:
• Des démangeaisons, des brûlures, voire des douleurs
peuvent persister durant les 24 heures qui suivent le
traitement. Les douleurs peuvent même s’intensifier.
• Le processus de répulsion des cellules devenues
malades et la guérison qui s’ensuit peuvent entraîner
des rougeurs. En règle générale, celles-ci disparaissent au bout d’une à deux semaines.
• Une desquamation et la formation de croûtes peuvent
également survenir pendant 2 à 5 jours.
• Dans de rares cas, des petites bulles ou pustules
remplies d’un liquide jaunâtre apparaissent.
• L’apparition de gonflements est possible après le traitement et peut persister quelques jours. Ils peuvent
être très intenses pendant quelques heures. Si le
traite­ment a eu lieu sur le front, ces gonflements
se situent souvent autour des yeux.
• Vous devez éviter toute exposition directe au soleil
pendant les 24 heures qui suivent votre séance de
thérapie photodynamique.
• Jusqu’à la cicatrisation complète de la peau, des
changements de coloration peuvent survenir (appelés
hypo- et hyperpigmentation).
■ Comment soulager immédiatement
ces effets indésirables?
Vous pouvez soulager les effets indésirables par une
­aspersion d’eau froide (p.ex. l’eau thermale) ou par
l’appli­cation d’une poche réfrigérante. Les antalgiques
(ou de le paracétamol, ibuprofène ou l’acide acétylsali­
cy­lique) calment la douleur. En cas de survenue de bulles ou de pustules désagréables, vous pouvez appliquer
sur la zone touchée un produit recommandé par votre
médecin.
Pendant les 3 mois qui suivent votre traitement, vous
ne devez pas exposer directement les zones traitées
aux rayons solaires. Protégez-vous par des vêtements
appropriés et portez un chapeau à large bord. Dès que
ces zones ne seront plus suintantes ou lésées, utilisez
une crème solaire avec un indice de protection 50+.
Appliquez celle-ci de préférence 30 minutes avant de
sortir.
■ Utilisation de crèmes, pommades et lotions
de nettoyage
Pendant les 24 heures qui suivent votre séance de
thérapie photodynamique n’appliquez aucune crème ou
pommade sur la zone traitée à moins que votre médecin
ne vous ait prescrit ou recommandé une préparation.
■ Quelles lotions de nettoyage pouvez-vous
utiliser?
Les syndets doux testés dermatologiquement pour les
peaux sensibles et abîmées ont fait leurs preuves.
Après le traitement
Si vous avez l’impression de réagir de manière excessive,
parlez-en à votre dermatologue.
■ Que pouvez-vous faire pour y remédier?
GALDERMA SA
Case postale 492
6330 Cham
[email protected]
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