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Résistances des voies aériennes à l’exercice
• Turbulences maximales au
niveau des VA supérieures surtout
en ventilation nasale
• Bronchodilatation adrénergique
par voie essentiellement humorale
•Augmentation du calibre
bronchique par majoration de la
traction radiaire ?
• Bronchoconstriction favorisée
par l’air froid et sec, la pollution,
les irritants.
Capacité et DU Médecine et Biologie du Sport 22 mars 2013 A .Bellocq
Coût énergétique de la ventilation
∆
∆∆
∆P
∆
∆∆
∆P
∆
∆∆
∆V
∆
∆∆
∆V
V
CL
=
B.Whipp R.Pardy
A haut volume pulmonaire,
le même volume courant
nécessite de développer
une pression (travail diaphragmatique)
plus importante
Capacité et DU Médecine et Biologie du Sport 22 mars 2013 A .Bellocq
Pic VO2 des muscles respiratoires = 6 % (5-8%) pic VO2 total
peut augmenter si distension dynamique
Compliance pulmonaire
Limitation ventilatoire à l’exercice ?
Réserve ventilatoire à l’exercice maximal
VEcontinue d’augmenter alors même que la VO2max. plafonne
RV = 30% environ (15-45%) VMM (35 à 40 x VEMS)
Volume courant commence tout juste à plafonner
FR < 40 /minute
Débits et pressions nettement infra maximaux
Courbes débit/volume loin de l’enveloppe maximale
P inspiratoires d’environ 15 à 30 % PImax.
P expiratoires au maximum de l’ordre de 3 % PEmax.
Pas de signe EMG de fatigue des muscles respiratoires
..
Capacité et DU Médecine et Biologie du Sport 22 mars 2013 A .Bellocq
Adaptation des échanges alvéolo-capillaires d’O2
à l’exercice
Au repos, temps de contact
important par rapport au temps
d’équilibration
A l’exercice, l’augmentation du débit
cardiaque réduit le temps de contact
UE Biologie et Physiologie de la Respiration Agnès Bellocq 3 avril 2012
Diminution du temps de contact à l’exercice