Les observations des participants aux différents séminaires et colloques auxquels j’ai participé
ont permis d’améliorer ce travail : je profite de cette occasion pour remercier le laboratoire PSE
de son soutien financier, me donnant ainsi l’opportunité de présenter mes recherches dans ces
différentes manifestations. J’ai souvent pu tirer bénéfice des commentaires francs mais justes qui
m’ont été adressés dans les séminaires lunch PSE et CREST-LEI et lors des journées doctorales
de l’ADRES. Je remercie enfin trois rapporteurs anonymes pour leurs critiques très constructives
et un quatrième rapporteur, aujourd’hui beaucoup moins anonyme puisqu’il fait partie du jury
de thèse...
De nombreuses personnes ont joué un rôle décisif en me donnant à la fois l’idée et la possi-
bilité d’entreprendre cette thèse. Je souhaite d’abord rendre hommage à Richard Racine, mon
professeur en classe préparatoire à l’ENS Cachan dans un lycée dijonnais, qui m’a donné goût à
la Microéconomie et sans qui je ne me serais peut-être jamais engagé dans cette voie. Bernard
Walliser n’en est sans doute pas conscient mais ses ouvrages ont, à cette époque, éveillé mon
intérêt pour le thème de la rationalité et m’ont communiqué l’envie de faire de la recherche.
Cette thèse n’aurait pas vu le jour sans un financement et, à ce titre, je tiens à exprimer ma
gratitude à Philippe Fontaine, alors directeur du département D2 à l’ENS Cachan, pour avoir
défendu ce projet dans un contexte de rude concurrence pour la répartition des bourses. Face aux
quelques péripéties administratives qui ont émaillé le début de cette thèse, je souhaite remercier
Elda Andrée pour la patience dont elle a fait preuve.
Cette thèse a été en partie réalisée sur le site des Saints-Pères qui n’a inévitablement cessé de
se dépeupler année après année. Merci à mes collègues de bureau pour m’avoir réservé un accueil si
chaleureux : Basak Bayramoglu, Emmanuel Doumas, Anne Duchêne et David Meunier. Je garde
aussi un bon souvenir des discussions avec beaucoup de thésards des laboratoires CREST-LEI et
EUREQUA dont la liste serait trop longue à énumérer.
J’adresse une pensée appuyée à tous ceux qui ont supporté au quotidien mes (trop rares)
moments d’euphorie et mes (trop fréquents) coups de blues. Je pense en particulier aux "amis de
Cachan" (et à leurs conjoints) avec qui le contact n’a jamais été rompu : Guillaume Chastellière,
Valérie Courtin, Claudine Desrieux, Christophe Hachon, Sumudu Kankanamge, Pierre Labardin,
Ziad Malas, Henry-Pierre Mélone et Anabelle Perdriau. Enfin, je souhaite rendre un affectueux
hommage à mes parents pour leur implication, leur soutien, leurs encouragements... et la relecture
des chapitres grâce auxquels il m’a été possible de réaliser cette thèse.