ceci pr`es que la section efficace commune σEdu proton et de l’´electron est rempla¸c´ee par la section
efficace M.σNpour l’´etoile et par la section efficace σNpour le corps d’´epreuve. A chaque raie de
Lyman, la physique pr´equantique associe une ´energie wet un rayon r. De mˆeme elle associe `a chaque
trajectoire privil´egi´ee du corps d’´epreuve, une ´energie W, le Hamiltonien du corps d’´epreuve, et la
distance privil´egi´ee Rdu corps d’´epreuve `a l’´etoile pour une orbite circulaire. Cette ´energie et cette
distance sont d´efinies via le cort`ege du corps d’´epreuve, id est, d’un atome d’hydrog`ene.
De mˆeme qu’on rep`ere deux ´etats extrˆemes de l’atome d’hydrog`ene, l’´etat fondamental dans
lequel wet rsont not´es wfet rf, l’´etat ionis´e dans lequel wet rsont not´es wiet ri, on rep`erera
deux ´etats extrˆemes du couple astre et corps d’´epreuve, l’´etat fondamental gravifique dans lequel W
et Rseront not´es Wfet Rf, l’´etat hors attraction gravifique, dit ”ionis´e” par extension, dans lequel
Wet Rseront not´es Wiet Ri.
La calcul direct des caract`eres Wet R`a partir du mod`ele pr´equantique est possible mais on peut
le faire plus simplement par transposition des effets ´electromagn´etiques d´ej`a calcul´es, car les effets
gravifiques et ´electromagn´etiques sont produits semblablement dans le mod`ele pr´equantique.
Voici la transposition de rvers R, les rayons d’orbites plan´etaires privil´egi´ees que nous recher-
chons pour les comparer aux rayons orbitaux observables dans le syst`eme solaire.
La transposition se fait par substitution de 2.π.G.m1.m2`a αet de m2`a m,m1d´esignant la
masse de l’astre, m2celle du corps d’´epreuve, mcelle de l’´electron, Gd´esignant la constante de la
loi d’attraction de Newton.
Rappel m2=Wi/c2et m1=M.Wi/c2. En unit´es naturelles, c= 1, m2=Wi, m1=M.Wi.
rf=1
2.π.α.m , induit Rf=1
2.π.(2.π.G.M.Wi.Wi).Wi,id est Rf=1
4.π2.G.M.W 3
i.
Ru=ru, la port´ee de l’influence gravifique est la mˆeme que la port´ee de l’influence ´electromagn´etique.
C’est une distance finie.
R(N) = Ru.2N−No, N = 1,2,· · · , No
Nd´esigne le nombre de particules Udu cort`ege du corps d’´epreuve, un atome d’hydrog`ene,
selon l’´etat gravifique du syst`eme consid´er´e. Noest ce nombre dans l’´etat hors attraction, N= 1 ce
nombre dans l’´etat gravifique fondamental. No= 1 + Log Ru
Rf/Log(2).
On ne s’attend pas `a trouver R(1) d’ordre de grandeur la distance du soleil `a Mercure lorsqu’on
retient pour Mune estimation du nombre d’atomes d’hydrog`ene du soleil, parce que les plan`etes sur
orbites telles que Rserait inf´erieur au rayon apparent du soleil, ou mˆeme inf´erieur `a dix fois environ
le rayon du soleil, sont soumises `a des effets divers autres que gravifiques et largement dominants.
On peut calculer toutes les distances Rprivil´egi´ees mais il est raisonnable de ne comparer aux
observations que celles qui se situent `a plus de a≈dix rayons solaires environ et `a moins de b≈
deux fois la distance du soleil `a Pluton. La limite sup´erieure marque le seuil `a partir duquel l’influence
gravifique du soleil devient plus petite que l’influence gravifique de la galaxie, le mod`ele consid´er´e
cessant d’ˆetre acceptable comme mod`ele d’un astre isol´e et d’un corps d’´epreuve. R(N) est ´etabli
pour le syst`eme isol´e d’un astre et d’un corps d’´epreuve, non pas d’un astre, tel que le soleil, et d’un
corps d’´epreuve, dans une galaxie.
Les valeurs num´eriques sont les suivantes, en unit´es naturelles :
masse du proton mP= 1836 ; masse de l’´electron = 1.
masse de l’atome d’hydrog`ene m2=Wi=mP+ 1 −α2/2≈1837.
masse du soleil mS= 2.18E60.
Le nombre sans dimension MS=mS/m2≈1.2E57.
La constante Gen unit´es naturelles de la loi de Newton, G= 2.8E−46
Rayon Rfdu corps d’´epreuve ou satellite dans l’´etat fondamental gravifique du couple soleil et
satellite, Rf= 1.23E−23.
Port´ee commune ruet Rudes influences ´electromagn´etiques et gravifiques ru=Ru≈un rayon
galactique, id est environ 45 000 ann´ees lumi`ere, id est 1.7E32 unit´es naturelles de longueur h
m.c.
3