Etudes et références de soutien:
1. FONCTION THYROÏDIENNE DIMINUEE (HYPOTHYROÏDIE), AVEC UNE PRODUCTION DIMINUEE DE L’HORMONE THYROÏDIENNE;
SURPOIDS SUITE A UNE FONCTION THYROÏDIENNE DIMINUEE
L’Iode est un nutriment essentiel pour l’être humain et est nécessaire pour la production de l’hormone thyroïdienne thyroxine (T4 ou
3,5,3’,5’-tetraiodothyronine, qui par poids contient 65 % d’iode), et dont la forme active, triiodothyronine (T3 of 3,5,3’-triiodothyronine,
qui par poids contient 59 % d’iode), tout autant pour la production de leurs précurseurs, les iodotyrosines1. A coté du fait que la carence
d’iode a un jeune âge engendre une fonction thyroïdienne diminuée et une réduction du développement mental et corporel (voir
plus loin), elle peut conduire chez l’adulte à une fonction thyroïdienne réduite (hypothyroïdie) avec des plaintes potentielles comme
la frilosité, constipation, surpoids, oedème, fatigue, apathie, faiblesse de la mémoire, dépression, libido diminuée, cycle menstruel
perturbé, peau sèche, fragilité des ongles, perte de cheveux, douleurs et crampes musculaires. Dans certains cas, cette hypothyroïdie
peut s’accompagner d’une grosseur thyroïdienne visible (goitre). Il va de soit que l’utilisation d’un bon supplément à base d’iode
comme IODE PLATINUM peut aider à la résolution de l’hypothyroïdie.
2. METABOLISME ENERGETIQUE DIMINUE SUITE A UNE CARENCE EN IODE
Les diverses fonctions biologiques des hormones thyroïdiennes T4 et T3 et des iodityrosines régissent la régulation du métabolisme
énergétique et des fonctions endocrines: par la contribution à l’oxydation cellulaire, la production de calories, la thermorégulation, les
échanges métaboliques intermédiaires, production de protéines et d’enzymes, la rétention de monoxyde de carbone, gluconéogénèse
et production de gonadotropines hypophysaires (dont une augmentation de la transcription et la sécrétion de l’hormone de
croissance)2,1. La supplémentation d’iode peut à ce point inuencer positivement le niveau d’énergie et la température corporelle
qu’un mieux être s’en fera sentir
3. DEVELOPPEMENT MENTAL ET INTELLECTUEL DIMINUE SUITE A UNE CARENCE EN IODE
L’Organisme Mondial de la Santé (OMS) décrit un large spectre de maux suite à une carence en iode, dépendant de la gravité et de
l’âge auquel cette carence apparaît. A ces maux appartiennent l’hypothyroïdie et les goitres, (voir ci-dessus point 1) problèmes de
croissance (voir ci-dessous point 4), mais aussi un développement mental réduit chez les enfants et les adolescents et une capacité
intellectuelle diminuée chez les adultes. Une carence en iode a une fonction suboptimale au niveau du système nerveux, avec
entre autre apathie et lenteur d’esprit1. La carence en iode est vue comme la cause principale du “minimal brain damage” ou dégâts
cérébraux de moindre importance. Il est important de palier à la carence en iode dans ces cas.
4. DEVELOPPEMENT CORPOREL RALENTI SUITE A UNE CARENCE EN IODE
Parce que l’iode est essentiel pour le fonctionnement de l’hormone thyroïdienne, elle remplit un rôle important pour la croissance
et développement corporel des nourrissons, enfants et adolescents3,4,5,6,7. Suivant la gravité de la carence en iode, il est décrit divers
gradation du nanisme, dont certains sont irréversibles. Il est ici à remarquer que la gravité des problèmes du développement est due
à la carence sérieuse chez le foetus et le jeune enfant 8,9. C’est pourquoi, un certain apport d’iode chez la femme enceinte et les jeunes
enfants est certainement indiqué.
5. LE MAINTIEN D’UNE PEAU, D’OS, CHEVEUX ET ONGLES NORMAUX
Aux symptômes de l’hypothyroïdie appartiennent entre autres une peau sèche et qui démange, chute de cheveux et ongles fragiles.
L’apport d’iode peut aider à prévenir ces symptômes. L’iode contribue aussi au maintien d’os forts et d’une bonne dentition.
6. CONTRIBUTION A LA PREVENTION ET SOUTIEN EN CAS DE CANCER DU SEIN
L’iode joue non seulement un rôle important dans la défense des ganglions mammaires, dans une culture de cellules cancéreuses
mammaires a été montré que l’iode, grâce a un eet anti-oestrogène, aide à freiner la croissance des cellules cancéreuses. Il est aussi
accepté qu’en synergie avec le sélénium, que la liaison organique avec l’iode (“iodolipides”), fabriqué dans la thyroïde combat le
développement des cellules cancéreuses mammaires. On peut donc armer que l’iode, à côté de la vitamine D et du sélénium, mérite
une place dans la prévention naturelle et en soutien du cancer du sein. Un certain nombre d’études suggèrent que l’iode aide à la
prévention contre les cancers de la matrice, prostate et ovaires et d’autres cancers.
1. SCF (Scientic Committee on Food), 2002. Opinion of the Scientic Committee on Food on the Tolerable Upper Intake Level of Iodine.
2. Houston R, 1998 Iodine. Physiology, Dietary Sources and Requirements. Deciency Disorders. Emory University, Atlanta, GA, USA. Elsevier Ltd. All rights reserved. pp.
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3. IoM (2002). Institute of Medicine. Dietary Reference Intakes for Vitamin A, Vitamin K, Arsenic, Boron, Chromium, Copper, Iodine, Manganese, Molybdenum, Nickel, Silicon,
Vanadium, and Zinc. Washington D.C. National Academy Press 2002 http://books.nap.edu/openbook.php?isbn=0309065542
4. Sadler, M.J., Strain, J.J. and Caballero, B. (Editors). 1999. Encyclopedia of Human Nutrition 2E., San Diego. Academic Press. Chapters by R Houston, pp1138-1146 and FP
Kavishe, pp 1146-1153.
5. Garrow JS, James WPT, Ralph A (2000). Human Nutrition and Dietetics. Tenth Edition, Churchill Livingstone (Harcourt Publishers) London, ISBN-10: 0443056277.
6. WHO (World Health Organization), 2007. Iodine deciency in Europe. A continuing public health problem. Published jointly with UNICEF.
7. Strain JJ, Cashman KD (2002). Minerals and trace elements. In Introduction to Human Nutrition (MJ Gibney, HH Vorster, FJ Kok, eds). Blackwell Publishing. Textbook
8. Boyages SC (1994). Primary pediatric hypothyroidism and endemic cretinism. Current therapy in endocrinology and metabolism. 5:94–8.
9. Bleichrodt N, Born MP (1994). A meta-analysis of research on iodine and its relationship to cognitive development. In: Stanbury JB, ed. The damaged brain of iodine
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