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le directeur d'école.
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La demande sst faite
par la famille ou par
l'êcole a pmrtir des
hesolns
thernpeutiques de
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par le rnédecin
scolaire et slgnd nar
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par l,r*qulpe
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À l'inltiative des
t*lquipes p6dfrüoüiques,
te FFRI ürgânise des
apprentissages cihkis
sur des hesoins prelcis
de l'Ei[èvc" ll est soumis
a la farnille avnnt d'ûtre
, rrls en ffiuvrÊ.
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LES TRÇ[}BI-E§ DVs
Trouble de $'ëcqu'sltion
des cornDrètences n u nneriques
et dʧ hËbËler,és rflËttièrrTôt{{Iue$
'Tr,lru,hl e dtj $'Ë c{T\rf s ILi ün
qt {ie l'eut(rn'{§ti5ôitlsn
de l'erdih*qraPhe
Tr${,lble dc cünceptriüû'
de la Proqrarnlrlatron et'de
ta r,éa[ûsatlsn de$ Ëesites
Tnnuhle,üÉ fl 'aÈqu$s:li[iüfl
et l'6uttftnêti5sti0n
la lP(ture
Trrsuble de !'a'cqui§ifl $n
et de I'autorqatlaation
Truuhle ['ôcqui§i[ir.]n,
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A L'ECOLË MATERNELLË
GUHTLE ATTITUDE AT}OPTHffi
FA#H A Uru JEUruË EruFANT
GUI BHGAIH ?
Lattitude la plus courante devant le bégaiement tient de la "conspiration du silence"
alors qu'il est nécessaire chez le jeune enfant d'intervenir le plus rapidement possible :
l'information des enseignants est donc essentielle pour :
- savoir comment réagir en classe
- pour aider les parents à agir au mieux avec leur jeune enfant qui commence à bégayer
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CAMPAGNE NATIONALE DE PHEVENTION
MENEE PAH L'ASSOCIATION PAROLE BEGAIEMENT
Sous la haute présid+nce de tuladame §égolè*e ÊüYÀL,
tr,:iinistre déiéguée chargée de l'+nseignernent scolaire
Ufii ËNFANT I{Ë NAIT PAS BEGU§, IL tE DËVIËruT
La consiitLtticn cie l'enfant, son histoire et l'inïluence du mirieu de viesont autani d,éréments qui peuvent se
,'Joiï,if ffffiri;;ff,trouble' Actuellement on admet qu'une prédisposirion gJ;iiqr* ioue un rôre dans
Dans la population générale et dans tous les pays, ir existe 1% de personnes adultes qui bégaient.
Dans l'enfance' 5"/' d'enfants souffrent cun nogâiement, dans la proportion o,une tiite pour B garÇons.
[;il?fJ:.?:3ïim:,ffïî:i?,:i"i;ËË,"ï :ï:';ï:r::',:.rî:jë;"Ë"oi,l.o,u"n, avan, 5 ans ;
Pour3 enfants surces 4 environ, te oogàiement aura disparu iorsqu,ils seront adolescenis :
ii;:#;:i,,.îi,ffiJ" permet aâàire q;;ù;r;;î Jà'*i tes À, iùquï'c" cr venir bèsue
Aussi ra prévenrion est-erJe nécessaire dans tcus res cas.
Le bésaiement n'arre*e ":::1lii:liË:.xiîîiÏ'#:ï::-xï::ïi, ï;des dirricuriés phonorogiques ou
de iangage. lJ provoque chez t,enfani"t àun. "on lnio,lrug* i". réa*ions et Jeï sentiments négatifs :
:ïlflJJ:J,:i:::,:';:.i;ilîïTl[iiXi:;*Lïrt#J."iu)uno inquiers ou tacnes, ir se ".*1Ë,iii ei
il est nécessaire
d'intervenir le plus
tôt possible, bien
avant 4 ans,
Or ce n'est pas facile à
repérer car l'enfant peut
ne pas bégayer à l'écote
ou ne pas le montrer.
pour éviter ces réactions qui s,aclcJiiionneni
et aboutiront à transformer les répéiiiions
en blocages, la tristesse en colères puis
souvent en un repli,
IJ:*ifjî5[îs en jouant seu], car le bégaiement est un troubre de ra reration verbare en situarion
de communication.
Plusieurs observations seront nécessaires.
§ü*iTuEr^JT sÂVsra sr {Jr-{ Ët.JFÂtJT EsT firsüur ?
L',enseignant peut re. mieux repérer un compofiement différent chez un enfant
comparé à l'ensemble de ses étèves :
- il bute très souvent sur les mots, monire r
ffiffi rr;*rir,il rrrff:Tll :v æ
- son regard se détourne quant il veut parler ?
- il craint plus que les autres de s,exprimer-en groupe ?
- ou peui-être est-iltrop sage ? parle peu ou pas ? <,
- presque en retrait ? X,
- ou esi-il agressif ? ,
Les parents peuveni ne rien en dire, âyant reçu le mauvais
conseii d'attendre : ,,C,est psycnoroliq,1", àtt*nd". , ,ÿ
ça passera, n'y faîtes pas attention,,. /
L'enseignant doit sensibiriser res parents et res aider à falre une
dérnarche co'tcefnant re troubre de teur enfant.
âÊrtl
rB
OUE FAIHE COFâCRETËMENT ?
Lenseignant bien informé sur ce trouble peut beaucoup.
Avec les parents :
1i Avoir un dialogue à ce sujet avec eux : c'est souvent difficite, tes parents ayant bien du mal le plus
souvent à regarder ceTte question en face :
- inquiétude face à un trouble devant lequel ils ne savent pas comment se comporter
- peur d'avoir à trouver encore du temps pour y remédier.
2l Frendre I'avis du médecin scolalre et avec son accord,
3l Leur remettre le déplianl ci-joint - à photocopier.
Le dialogue dépassera le seul problème de ia parole pour parler ciu bien être de I,Çnfant à s,exprime r .. par
exemple, leur confier des comptines à apprendre à la maison sera |occasion d'.;;rr;;;r teur enfant, diminuer
l'impoftance des perlormances "scolaires" au profit des domaines ou l'enfant se débràuille bien, rassurer.
4/ Encourager les parents à prendre
en cansidération les conse!!s figurant
sur le dépliant qui ler:r esi destlné.
5/ Accepter d'entrer en relation, le cas
échéant, avec lss praîiciens qui pienneni
en charge I'enfant.
Ën classe :
Ne pas metire l'enfant "sur la sellette", ne pas corriger son langage ; ne jamars le forcer à parler ou à répéter.
Accepier la récitation de ia comptjne au creux de lbreille, amp"lifjËr la communication avec lui par le\autres
!l"Jj,lt:,î1Ï:T^u*. demandes en fonction de son trouble, tui consacrer un temps oe oiarotul f rJ,È[. ;;
dehors du groupe
Eviier de le presser de
manière générale, rnais
surtout en situation de parole.
En classe enseigner l'écoute
de l'autre, le respect des temps
de parole.
Réagir devant les moqueries
et les brutalités :
7Ç?r'
*^i;lli,j, t
Expliquer aux enfants : "chacun est différent, on courT plus ou moins vite, on voit ou on parie plus ou moins
bien. Mais chacun est riche aussi de queique chose,'.
Encourager I'enfant à sa*voir répondre aux mogueries par "oui je bregaie". L'enseignant pourra ainsi développei.
une image positive de l'enfant qui bégaie mais reconnaît sa ciifficulté.
Àmélicrer les attitucies du personn+l scolaire :
L'enseignant connaissant bien cette prévention du bégaiement peut renseigner ses coilègues et éviter à
I'enfant des remarques ôu des conseils nociTs ; il peut"souligner le rôle des àttitudes positives à l,égard de
i'enfant:se metire à sa hauteur, parler calmement, éviier de lui demander de s,expiiquer quancl on le
réprimande...
Ne pas faire sembrant de ne pas rernarquer que |enfant bégaie.
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