mflr Cdru up {:##'m W,Wru 6 6$e {:d'#-W 6 F.**Ë i:,*,', ffi Fr*i*f i.n a{ r{'mrcLlmi{ i tri cl r,r *{r ü.{ lr:q} La demande sst faite par la famille ou par * {*++ tr,i +û**ÿôi*r,S{tS! *r}i tii+ t}, t ç psi rs, u: Ë llen{ i s* il)tmn rr:[*lr'[ser tiçr ru m pi*ey n r*r"r'runt i d'Évaluatlon Élabore le ËPS qu'eile transmet n la ll est propnsË pnr l'Écule çu la famitle. Après üvis du mÉdËclrr scniaire, iI es[ ülabnrd par l,r*qulpe pcldmünürqu* nvec les CNAPH. parents et les " " o n ****on****$b&s+*r.r*s*o*r "" i *' a " r*'urrn I) IJ#:r-$*rrrTmlIs* La fnmllle salsit la MnPH puis I't*quipe plur"idiscIptinalre l'êcole a pmrtir des hesolns thernpeutiques de l'rilÈrve. ll est redige par le rnédecin scolaire et slgnd nar le directeur d'école. "' u f,) rr.r;f prnfessrün nË[s cnncerrr*es. kvt t\st I tvdi n*ç r'':rt r r rt,tr,pr rs ri m r':ri{ i s ri cJ* rd ms"rrr* *l*t nrmfiv* À l'inltiative des t*lquipes p6dfrüoüiques, te FFRI ürgânise des apprentissages cihkis sur des hesoins prelcis de l'Ei[èvc" ll est soumis a la farnille avnnt d'ûtre rrls en ffiuvrÊ. , fr lc:///F :/Troubt., »V S'ltt'rr oubles DYS LES TRÇ[}BI-E§ DVs Truuhle dê ['ôcqui§i[ir.]n, c't de li automatisatifl ft dr.l lar'rgage $ral . 'aÈqu$s:li[iüfl Tnnuhle,üÉ et dË l'6uttftnêti5sti0n dË la lP(ture fl ün qt {ie l'eut(rn'{§ti5ôitlsn de l'erdih*qraPhe 'Tr,lru,hl e dtj $'Ë c{T\rf s ILi Trrsuble de !'a'cqui§ifl $n et de I'autorqatlaation Tr${,lble dc là cünceptriüû' de la Proqrarnlrlatron et'de ta r,éa[ûsatlsn de$ Ëesites Trouble de $'ëcqu'sltion des cornDrètences n u nneriques et dʧ hËbËler,és rflËttièrrTôt{{Iue$ peut Ètre ry:p,} r hre Lmæpr,,{ÈP *' hnf,-, iiiiif ', Hffi HPq -l A L'ECOLË MATERNELLË GUHTLE ATTITUDE AT}OPTHffi FA#H A Uru JEUruË EruFANT GUI BHGAIH ? Lattitude la plus courante devant le bégaiement tient de la "conspiration du silence" alors qu'il est nécessaire chez le jeune enfant d'intervenir le plus rapidement possible : l'information des enseignants est donc essentielle pour : - savoir comment réagir en classe - pour aider les parents à agir au mieux avec leur jeune enfant qui commence à bégayer tt L) €t r) ,.|\ æ -? 7l {* \-/ CAMPAGNE NATIONALE DE PHEVENTION MENEE PAH L'ASSOCIATION PAROLE BEGAIEMENT Sous la haute présid+nce de tuladame §égolè*e ÊüYÀL, tr,:iinistre déiéguée chargée de l'+nseignernent scolaire rl Ufii ËNFANT I{Ë NAIT PAS BEGU§, IL tE DËVIËruT La consiitLtticn cie l'enfant, son histoire et l'inïluence du mirieu de viesont autani d,éréments qui peuvent se Actuellement on admet qu'une prédisposirion gJ;iiqr* ffffiri;;ff,trouble' ioue un rôre dans Dans la population générale et dans tous les pays, ir existe 1% de personnes adultes qui bégaient. Dans l'enfance' 5"/' d'enfants souffrent cun nogâiement, dans la proportion o,une tiite pour B garÇons. ,'Joiï,if avan, 5 ans ; [;il?fJ:.?:3ïim:,ffïî:i?,:i"i;ËË,"ï :î Pour3 enfants surces 4 environ, te oogàiement aura disparu iorsqu,ils seront adolescenis permet aâàire Jà'*i tes À, iùquï'c" cr venir bèsue :ï:';ï:r::',:.rî:jë;"Ë"oi,l.o,u"n, q;;ù;r;;î ii;:#;:i,,.îi,ffiJ" : Aussi ra prévenrion est-erJe nécessaire dans tcus res cas. Le bésaiement n'arre*e de iangage. lJ provoque chez t,enfani"t àun. ï;des dirricuriés phonorogiques ou ":::1lii:liË:.xiîîiÏ'#:ï::-xï::ïi, lnio,lrug* i". réa*ions "on :ïlflJJ:J,:i:::,:';:.i;ilîïTl[iiXi:;*Lïrt#J."iu)uno et Jeï sentiments négatifs inquiers ou tacnes, ir se ".*1Ë,iii : ei il est nécessaire d'intervenir le plus tôt possible, bien avant 4 ans, Or ce n'est pas facile pour éviter ces réactions qui s,aclcJiiionneni à repérer car l'enfant peut ne pas bégayer à l'écote ou ne pas le montrer. et aboutiront à transformer les répéiiiions en blocages, la tristesse en colères puis souvent en un repli, en jouant seu], car le bégaiement est un troubre de ra reration verbare en situarion IJ:*ifjî5[îs de communication. Plusieurs observations seront nécessaires. §ü*iTuEr^JT sÂVsra sr {Jr-{ Ët.JFÂtJT EsT ià firsüur ? L',enseignant peut re. mieux repérer un compofiement différent chez un enfant comparé à l'ensemble de ses étèves : - il bute très souvent sur les mots, monire r ffiffi rr;*rir,il rrrff:Tll :v æ - son regard se détourne quant il veut parler ? - il craint plus que les autres de s,exprimer-en groupe ? - ou peui-être est-iltrop sage ? parle peu ou pas - presque en retrait - ou esi-il agressif Les parents peuveni ne rien en dire, âyant reçu le mauvais conseii d'attendre : ,,C,est psycnoroliq,1", àtt*nd". ça passera, n'y faîtes pas ? ? ? attention,,. , âÊrtl rB <, X, , / ,ÿ L'enseignant doit sensibiriser res parents et res aider à falre une dérnarche co'tcefnant re troubre de teur enfant. OUE FAIHE COFâCRETËMENT ? Lenseignant bien informé sur ce trouble peut beaucoup. Avec les parents : 1i Avoir un dialogue à ce sujet avec eux : c'est souvent difficite, tes parents ayant bien du mal le plus souvent à regarder ceTte question en face - inquiétude face à un trouble devant lequel ils ne savent pas comment se comporter - peur d'avoir à trouver encore du temps pour y remédier. : 2l Frendre I'avis du médecin scolalre et avec son accord, 3l Leur remettre le déplianl ci-joint - à photocopier. Le dialogue dépassera le seul problème de ia parole pour parler ciu bien être de I,Çnfant à s,exprime r .. par exemple, leur confier des comptines à apprendre à la maison sera |occasion d'.;;rr;;;r teur enfant, diminuer l'impoftance des perlormances "scolaires" au profit des domaines ou l'enfant se débràuille bien, rassurer. 4/ Encourager les parents à prendre en cansidération les conse!!s figurant sur le dépliant qui ler:r esi destlné. 7Ç?r' 5/ Accepter d'entrer en relation, le cas échéant, avec lss praîiciens qui pienneni *^i;lli,j, t en charge I'enfant. Ën classe : Ne pas metire l'enfant "sur la sellette", ne pas corriger son langage ; ne jamars le forcer à parler ou à répéter. Accepier la récitation de ia comptjne au creux de lbreille, amp"lifjËr la communication avec lui par le\autres demandes en fonction de son trouble, tui consacrer un temps oe oiarotul f rJ,È[. !l"Jj,lt:,î1Ï:T^u*. dehors du groupe ;; Eviier de le presser de manière générale, rnais surtout en situation de parole. En classe enseigner l'écoute de l'autre, le respect des temps de parole. Réagir devant les moqueries et les brutalités : Expliquer aux enfants : "chacun est différent, on courT plus ou moins vite, on voit ou on parie plus ou moins bien. Mais chacun est riche aussi de queique chose,'. Encourager I'enfant à sa*voir répondre aux mogueries par "oui je bregaie". L'enseignant pourra ainsi développei. une image positive de l'enfant qui bégaie mais reconnaît sa ciifficulté. Àmélicrer les attitucies du personn+l scolaire : L'enseignant connaissant bien cette prévention du bégaiement peut renseigner ses coilègues et éviter à I'enfant des remarques ôu des conseils nociTs ; il peut"souligner le rôle des àttitudes positives à l,égard de i'enfant:se metire à sa hauteur, parler calmement, éviier de lui demander de s,expiiquer quancl on le réprimande... Ne pas faire sembrant de ne pas rernarquer que |enfant bégaie. ET PüUffi LË$ PtUS GHANDS A UECOLE PBIMAIBE U{ Af{*N olrue ? Jr(o*re !.'. FÉ.Anlcrrr q, ? ,-"ù fÊ,mr«is 1,, frenrreois lll l- 1î{,, --- à' AU COLLEGE, AU LYCEE Au"Rl. tl LÉs . c-'e1*11 <oo,-ti-/ VAcAr-r(€s îU îL, VA ÿA /AÿAS TUTT,TU / tes jeunes qui béEaienT ne coi'nprennent pas que les enseignants ne soienT pas informés sur leur trouble et de ses conséquences dans la vie scolaire. Si vous aussi vous vous interrogez sur la conduite à tenir en classe devant un enfant qui bégaie, ou sur l'attitude à adopter à l'égard de la fimille, contactez #ls ri auâæ kz:p3æ @æiææz* Laboratoire de recherches sur le langage INSERM Bâtiment Pharmacie 4J, boulevard de 1,Hôpita1 75013 PARIS Té1 (répondeur) et Fax : 01 46 65 36 39 Avec le soutieil dÊ l'AGlEll], Asscciation Générale des lnsTituteurs d'Ecoies IMaiernelles N E a T E U z cr f o I C 6 C ë q c E ,Ê C C ,rr. j insnectionacaoÉmh#h .i,rt'IM lrrrlllrt .Lnirtllar litl!lll!. ,.,.8#, ,$ LA DYSPHASIE :.1 Mars 2008 DEFINITION La dysphasie est une des pathologies qui a fait l'objet d'un plan d'action interministériel santé et éducation nationale car elle a des implications sur les appr,entissages. Cf circulaire n' 2002-024 du 31/1/2002 La dysphasie est un trouble structurelgénérant un déflcit sévère etdurable du développement de la production eUou de la compréhension de la parole et du langage. C'est un trouble spécifique, qui ne peut être expliqué : . . o . . . ni par une déficience intellectuelle ; ni par un trouble sensoriel auditif ; ni par un trouble de la communicatiÔn ; ni par une malformation ou paralysie oro-buccale ; ni par un.trouble massif du comportement ; ni par une carence affective et/ou éducative. Ce trouble est caractérisé par des altérations particulières du langage oral touchant la prononciation, I'accès au lexique, l'agencement des phrases et parfois des problèmes de compréhension. Lâ dysphâsie se disiingue du retard Smple du langage. Celui-ci n'a pas de caractère de déviance ni de gravité ei évolue de façon favorable en suivant les étapes du développement normal mais avec retard. La dysphasie peut être plus ou moins sévère et se présenter sous des formes diverses atteinte prédominante de l'expression orale (dysphasie expressive) atteinte de la compréhension (dysphasie réceptive) ; . o r atteinte mixte (réception et expression altérées). Les troubles associés sont fréquents . troubles mnésiques r troubles praxiques . troubles de I'attention. : ; : ; ; C'est pourquoi un diagnostic précis doit êhe effectué par une équipe médicale pluri-disciplinaire. A RETENIR . . r Les capacités d'apprentissage sont préservées. Des aides et adaptations pédagogiques, en liaison avec les partenaires extérieurs, devront accompagner tout le parcours de formation de l'élève. Le maintien à l'école maternelle ou le redoublement d'une clàsse ne se justifie pas. Gioupe départemenEl Elèves à besoins particuliers Commission Troubles Spécifiques des Apprentissages CONSEILS GENERAUX - ATTITUDE D'ENSEMBLE Les élèves dysphasiques ont presque toujours des difficultés d'acquisition de la lecture et de l'orthographe, Ces difficultés portent principalement sur la voie d'assemblage (voie indirecte) dont la construction doit êke l'élément central de la prise en charge pédagogique. La lecture est une voie incontournable d?rnélioration de la production orale même si elle est difficile à acquérir et nécessite des médiations adaptées. Elle est Ia clé d'un parcours scolaire à la hauteur de l'efficience intellectuelle préservée,de [élèVê. r C'est pourquoi le maintien en école maternelle est inutile : l'élève doit entrer sans tarder dans l'apprentissage systématisé de la langue écrite. De même le redoublement en école élémentaire ou au collège ne se justifie pas aménagement adapté. et ne constitue pas I un PRINCIPES DE L'AIDE ll s'agit de minimiser, pour chaque tâche; l'impact du langage oral surJes processus d'apprentissage, Pour ce faire : expliciter les liens entre les notions à acquérir et les activités ; doubler le langage de supports visuels au moment de la consigne ; adapter les supports en facilitant la prise d'information visuelle , - Dans la classe, I'efficacité du travail sera renforcée par: une fonnulation claire des objectifs ; une mise en æuvre de situations motivantes (inventives, créatives, ludiques,..) la décomposition de la tâche en étapes ; la répétition de tâches visant les mêrnes notions à acquérir (entraînement pluri-heMomadaire), Le plaisir de l'expérience de la réussite même modeste permet à I'élève d'être rassuré sur ses capacités PRESERVEES d'apprentissage. Ses progrès doivent êtres reconnus et valorisés par l'enseignant - ', COMMENT CHOISIR LES ADAPTATIONS A METTRE EN GUVRE POUR CHACUN ? - Les élèves n'ont pas toujours besoin de l'ensemble des adaptations mentionnées ci-dessus : il s'agira en réunion d'équipe (éducative ou de suivi de la scolarisation) de sélectionner les aides pertinentes pour chacun. Les élèves n'ont pas besoin des mêmes aides tout au long de leur parcours. Certaines apparaîtronten fonction de la complexification des apprentissages ou seront abandonnées lorsqu'elles deviendront inutiles. ll est nécessaire d'être à l'écoute de l'élève : il devient rapidement capable de dire ce qui l'aide réellement et ce dont il n'a plus besoin. L'ensemble des adaptations, proposées et retenues par l'ensemble des partenaires du parcours scolaire de l'élève, urera dans son Personnalisé de Scolarisation, .IENS http/lwww. bienlire.education.fri httB://www,inshea.fr/ http//www. dysphasie. org/ http//www, federation-fl a. asso.frl http//www. apedys. org/ httn://www. coridys. asso.frl Groupe départemental Elèves à besoins particuliers Commission Troubles Spécifiques des Apprentissages I l -l a a a Je m'assure qu'il comprend et distingue re sens des mots de ra consigne. Je lui relis la consigne. Je luilaisse le temps de relire les consignes. e il a des problèmes pourtrouver la . bonne page et localiser le mot dans la page; esa a a a confusion des sons occasionne des confusions de sens (orfe/somitles, ces - ses - c'esf - s,esf...) eil a souvent un btocage face à ; Je lui permets de souligner ou de faire des marques sur le texte. Je rn'assure de la compréhension du texte lu. Je lui apprends à repérer les indicaleurs de temps, les liaisons logiques, les personnages... souliEne...» en I'aidant à anaryser re texte ou en le faisant pour tui << encadre, lécrit. a t,avance. D, Dans les situations individuelles êcrites, quand / si - : je demande une production graphique o ; (graphisme, dessin, schéma, ...); - je demande une copie ; - je demande une production exclusivement écrite; demande une production graphique et écrite. - je . r o r o Je lui propose et/ou permets d,utiliser des repères visuels. Je lui propose une série de cadres pour écrire en segmentant la phrase en mots. Je.lui rappelle ses stratégies de copie res prus efficaces.orrrniqrà.s p* r.. rééducateurs. Je lui apprends à se relire plusieurs fois, une lecture pour chaque point à havailler (le genre, le nombre, l'accord des verbes...). ne sanctionne pas I'orthographe sicelle-ci n,est pas la compétence évaluée. Je lui permets d'utiliser un ordinateur s'il a du mal à écrhe manuellenlent. J.e § "t e Parce que quand l'élève esten srtuation de production il a des difficultés à repérerdes phraseg segmenter la chaîne orale en phmses et en eil mofs; améliorc sa production orale en prenant appui sur l'éuit en relisant ; eses dlfficultés de représentation dans l'espace l'empêchent de respecfer les ,?ormes. E. Quand i'êvalue, je tiens compte des difficultes de l'élève comme dans les diverses situations d'apprentissage. Quand l'élève est en situation de réceptiàn J'utilise toujours la même présentation pour les documents en fonction du type d,activité demandée. r . J'accentue les repères visuels. o Je ne donne qu'une seule consigne à la fois. r Je raccourcis les textes, les dictées... . Je scinde les textes en paragraphes distincts. e Je l'aide en repérant pour lui à l'avance les indicateurs de temps, les liaisons logiques... selon le code habituellement utilisé. Quand l'élève est en situation de production . . . e Je luipermets de souligner ou de mettre ses repères sur le texte. perce gue ses difticulté de mémoire nécessitent qu'il ait Je I'incite à se relire par une lecture attentive pour chaque point à havailler (le genre, le nombre, l'accord des verbes...). ses réfrârentiels â disposifion même en Je ne sanctionne pas l'orthographe sicellecin'est pas la compétence évaluée. situation d' évalu ati on. Je lui donne les mgyens de visualiser ses apprentiss a F. Quand ie donne des leçons à apprendre. a a a a a Je conseille un agenda avec dates pour noter les leçons. J'indique les leçons sur un support dactylographié ou sur support recopié lisiblement. J'accepte qu'il souligne, surligne, encadre ou annote les textes sur son cahier. Je partage, fractionne les tâches à faire. J'accepte la restitution d'une règle ou d'une leçon selon une formulation propre au niveau d,acquisition verbale de l,élève. J'instaure une relation de confiance avec la famille en explicitant l'organisatiàn et les adaptations mises en place ainsi que mes attentes en termes d'aide familiale. æ parce que l'élève peul très brbn avoir compis sans être capable de redire « par cæur » ; æ pour éviter que /es parenfs soucieux de la réussite de leur enfant ne lui fassent refaire la joumée scolaire. DÀNS MA CLASSE LES ADAPTATIONS PEDAGOGIOUES POSSIBLES POUROUOI Parce gue quand l'êlève est en A. Dans les Je réfléchis à sa place dans la classe pour m'assurer d'une proximité physique et visuelle. J'attire l'attention de Ia classe et plus particulièrement celle de l'élève en I'appelant par son prénom ou en jouant sur les intonations de la langue orale... situations collectives Je ralentis mon débit verbal. orales quand / si : - je donne une consigne ; - je donne une explication ; - ie valide une connaissance - j'interroge ; ; - ie sollicite des échanges. J'accornpagne la verbalisation de gestes... eUou je reproduis le message par écrit, par dessins ou par pictogrammes au tableau. Je diminue la quantité d'informations à kaiter pour une consigne et je ne donne qu'une consigne à la fois. J'utilise la redondance, la répétition. Je pose des questions sur le message. Je fais reformuler par les élèves de la classe. Je veille à ce que l'élève soit attentif aux échanges, qu'il y participe dans la mesure de ses moyens. Je prends un temps avec l'élève concerné pour m'assurer que le message est bien compris. si(uaffon de réception : elllui est difficile et coûteux de comprendre un message,' ç- il a des problèrnes de représentations mentales; eil aune mémoire immédiate défaillante; æ son attention ne peut être soutenue longfemps; ç il lui.faut du temps et il se fatigue vite sensible aux bruits ambiants ; eilest e il a une relation différente à fous les implicîtes scolaires. Production orale . o r B. Dans les situations individuelles orales quand / si : - je demande une production orale spontanée ; - je demande une production o o Je lui propose d'abord des questions fermées. J'amorce le discours. Je le laisse aller au bout de son propos sans l'interrompre afin de ne pas perturber sa concentration et sa pensée. Je lui permets d'utiliser à son tour des gestes, des mimes, des pictogrammes... Je reformule correctement mais je ne I'oblige pas à répéter en cas d'erreur de sa part. Lecture expressive . r . orale « dirigée ». J'évite de le faire lire devant les autres à moins qu'il ne soit volontaire. Je I'incite à ralentir sa lecture à haute voix pour éviter une augmentation des erreurs. Je lis les syllabes comportant des sons complexes en même temps que lui (lecture accompagnée, pEr exemple il ne dira qu'un mot cible). Poésie c . . o C. Dans les situations individuelles orales a quand / si a : je donne un document de travail : image et texte - o exercices écrits a a Je ne lui demande d'apprendre qu'un passage court. Je ne lui demande pas de réciter le premier et peut-être pas devant les autres. Je ne le pénalise pas pour l'inversion des syllabes sur des mots complexes. Je ne l'interromps pas pendant sa récitation. situafion lui est co(tteuxde produire un discours,' e- il a du mal à s'expimer ; æ il n'apas le mot immédiatement disponible ; e il ne prononce pas bien ; e il ne fait pas loujours des phrases correcfes,' e il a une relation différente â lous les . implbites ; la répétition n'améliore pas la production orale. Parce que quand l'élève est en situation de réception : e e Je donne une seule consigne à la fois. en aloutant de production: eil e J'utilise toujours la même présentation pour les documents en fonction du type d'activité demandée (ex : les cohsignes sont toulours écrites en gras et soulignées). J'aère la présentation des fiches d'exercices. J'accentue les repères visuets (polices de caractères plus grandes, de préférence Arial, Verdana, Comic sans MS, espacements doubles entre les mots, entre les lignes). Je peux raccourcir la longueur des textes, des dictées, des documents... Je scinde le texte en paragraphes bien distincts Je simplifie dans un premier temps les consignes, puis ie les complexifie progressivement les contraintes une par une. Parce que quand l'élève est en r§ il se repère difftcilement dans /'espace et /e femps (avant, après) ; il a du rnal à se repérer et sbrienter dans le texle ef à le comprendre ;