2016-2017 Streptocoques, pneumocoques, entérocoques
( diamètre d’inhibition > 14 mm) , incubation de 24h à 37 (5-10% CO2). C'est plus pour classer que l'ont fait ce
test mais il y a un problème : 5 % des pneumocoques sont devenus résistants.
2ème test de ly se par la bile :
On a addition de bile ou de sels biliaires, la suspension devient plus clair (30 minutes à 37 degrés)
G) Identification
On aura une agglutination des particules de latex sensibilisées avec des Ac anti-capsulaires :
* slidex pneumo kit : on met les mets avec de l'anti sérum si on a une agglutination : reconnaissance Ag-Ac
–colonie → résultat positif
–surnageant d'hémoculture → résultat positif
* pneumo Dryspot ( Oxoid)
•Spectrométrie de mass Maldi TOF si équipement nécessaire
→ identification très simple
Devant cette évolution, on a une 2ème approche de diagnostic indirecte qui va être de rechercher des Ag disolubles
, on recherche le polyoside C pour lequel on a le développement des Ac.
On aura un système de migration où on met les Ag sur un agent d'hémoculture avec des Ac et on démarre une
migration, à un moment on a la capture de cet Ag. Il faut aussi une zone témoin avec déjà le contrôle positif pour
contrôler qu'un test est efficace.
La sensibilité est de 88 à 100 % de pneumonies aiguës communautaires chez l'enfant et la spécificité est de 55 à
80%. Il faut faire attention aux faux-positifs notamment dus à la vaccination, aux valeurs prédictives négatives →
test inversé on va chercher quelque chose de négatif.
L'absence de réaction va exclure de façon quasi certaine une infection au pneumocoque, si réponse positive
on ne sait pas de quoi il est question.
Ensuite on recherche les Ag solubles dans les liquides céphalo-rachidiens, on voit à ce moment que la sensibilité et
la spécificité sont très importantes, là on va vraiment regarder si on a bcp de leucocytes ( il faut une forte
suspicion) on aura une spé >99% donc pas de réactions croisées et une sensibilité excellente.
Si on prend un type de prélèvement on a des identifications classiques ou pour un prélèvement polymicrobiens
c'est la recherche du test négatif qui est intéressante
Dans le LCR les tests d'agglutination ne sont pas recommandés car il y a beaucoup de réactions croisées.
H) Méthodes moléculaires de détection/ identification
Si on fait le calcul, on est devant une méningite, quand on cultive c'est simple, on a le gram qui confirme, reste
tous les négatifs, on peut se retrouver avec des cultures qui sont toutes négatives si on a attendu trop longtemps, le
principe est de savoir si c'est tel type de bactérie qu'on peut couvrir avec tel type d'antibiotique.
Principe : prendre l'ADN de la bactérie, un gène dédié lytA-CDC à un des mécanisme de virulence, si ça
correspond on a une identification.
On va retrouver les sites normalement stériles.
Le LCR où on a une bonne sensibilité pour le gène pneumolysine, le choix de ce gène cible est important car autre
facteur de virulence peut entrainer des autres réactions croisées.
–spécificité de 100 dans LCR
4/8