L‘ Recommandations en cardiologie

exercice de notre spécialité doit intégrer le respect des
“bonnes pratiques”. La rapidité de l’évolution des straté-
gies diagnostiques et thérapeutiques oblige à une remise
en question régulière de nos pratiques. Les sociétés savantes
nationales et internationales contribuent à formaliser ces chan-
gements dans des textes de recommandations (ou guidelines)
rédigés par des groupes d’experts.
Plusieurs domaines de la cardiologie ont déjà été examinés.
Sur le Web “cardio” de la Société Française de Cardiologie,
vous trouverez les textes concernant :
– le traitement anticoagulant oral,
– la réadaptation cardiaque.
http://www.webcardio.com/sfc.htm
Sur le site de l’American College of Cardiology sont dispo-
nibles des mises au point d’actualité sur :
– l’utilisation du Viagra chez les patients “cardiaques” (photo 1),
– le diagnostic de la maladie coronaire chez le diabétique
(photo 2). http://www.amhrt.org
Sur le site de la Société Européenne de Cardiologie existe un
document complet sur la prise en charge de l’infarctus du myo-
carde aigu (photo 3), avec plus de 120 références et quelques
tableaux (stratification du risque : photo 4).
http://www.escardio.org
CETTE RUBRIQUE A ÉTÉ CRÉÉE AVEC LE SOUTIEN DE PL@NÈTE ROCHE CARDIOVASCULAIRE
La Lettre du Cardiologue - n° 304 - décembre 1998
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Recommandations en cardiologie
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Les nouvelles de
http://www.planete-roche-cardio.tm.fr
❏ En direct de l’AHA (Dallas) 1998 :le compte rendu en direct par
un groupe d’experts sous forme de diapositives téléchargeables.
❏Et toujours :free Medline, les sites du mois, quoi de neuf.
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Enfin, quand ces recommandations deviennent des références
médicales opposables (RMO), vous pouvez les consulter sur le
site suivant : http://www.gie-sml.fr/spsomrmo.htm
Sont ainsi “référencées” :
– réf 14 : “Prise en charge de l’HTA...” (photo 5),
– réf 15 : “Prise en charge des hypercholestérolémies”, avec un
tableau synthétique (photo 6),
– réf 54 : “Techniques invasives dans l’insuffisance coronaire”
(photo 7).
Deux options existent désormais :
– une ligne téléphonique numéris plutôt qu’ana-
logique ;
– l’utilisation du câble si votre domicile ou votre
bureau en disposent ; si le coût d’abonnement
devient plus élevé, il peut être justifié par l’utilisation
intensive, avec une vitesse 10 à 100 fois supérieure
à celle d’une ligne téléphonique analogique.
☞Conseils techniques :
comment gagner du temps
en navigation et téléchargement
La Lettre du Cardiologue - n° 304 - décembre 1998
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Dr François Philippe,
CMC de la Porte de Choisy, 75013 Paris
E-mail : [e-mail]