Paradoxe théorique de réaction

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Paradoxe théorique de réaction
ou
Peut on laisser la réaction s’exprimer tout en rendant inefficace ses
effets d'opposition à l'action.
Le seul chemin qui m’a permis cette hypothèse est le magnétisme. Il y en a peut-être d’autres.
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Rappel
Cas des alternateurs classiques en charge normale. La réaction d’induit crée un couple antagoniste
à la rotation ressentie par l’induit. Le couple antagoniste a une valeur (x) supérieure au couple moteur
(y) à vide.
Réaction d’induit
Stator
Rotation
Rotor
La réaction d’induit a toujours le même sens d’opposition à la rotation, elle ne s’oppose au champ
inducteur que pour contrarier la rotation. C'est-à-dire une fois en répulsion une fois en attraction du
champ inducteur qui passe devant le circuit magnétique du bobinage induit. Par l’intermédiaire du
stator c’est la terre qui assume l’énergie d’appui.
Importante précision sur la loi de Lenz, basée sur des faits avérés : Quelque soit la position de
l’induit, la rotation ressentie est l’expression du différentiel de rotation. La réaction d’induit est
toujours opposée au différentiel de rotation qui lui a donné naissance.
Rappel : La réaction d’induit ne nécessite aucune énergie pour exister, bien que ces effets avérés se
manifestent par un couple mécanique en opposition au différentiel de rotation. Son existence n’est
effective que par l’énergie que fournie l’alternateur. Cette énergie fournie par l’alternateur est le
résultat de la variation temporelle du champ magnétique inducteur, ΔФ et Δt.
Je propose de neutraliser le couple antagoniste de la réaction d’induit tout en laissant cette
réaction effective : Pour cela j’utilise deux alternateurs bis-rotor ainsi que deux moteurs bis-rotors.
Le principe du bis-rotor permet la rotation libre de l’induit et de l’inducteur. Il est nécessaire de bien
appréhender cette conception pour comprendre la suite du raisonnement
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Concept bis-rotor
L’énergie motrice ne s’appuis pas sur la carcasse, elle se répartie à égalité sur les deux rotors.
Carcasse
Rotor externe
ou
Rotor interne
Palier (roulement)
Rotation
Rotation
Pour un moteur tournant à 3000 t/mn, les
rotors vont tourner chacun à 1500 t/mn en
sens inverse.
Exemple d’opposition à la rotation d’un moteur bis-rotors :
Opposition
Le rotor interne va accélérer sa rotation.
Je transmets donc le sens d’opposition à la rotation du rotor externe
sur le rotor interne.
Le rotor interne ajuste sa rotation par rapport à la rotation du rotor
externe afin d’avoir le différentiel de rotation égale à la vitesse
pour laquelle il a été conçu.
Le raisonnement et similaire mais inversé si l’opposition se manifeste sur le rotor interne.
Cette configuration bis-rotors ne présente aucun avantage pour l’utilisation actuelle que nous faisons
de la physique. C’est un principe fondamental pour mon raisonnement dans l’assemblage des deux
alternateurs bis-rotors et des deux moteur bis-rotor.
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A vide :
les petits ronds rouges et gris foncés indiquent les sens de rotation.
Différentiels
de rotation
1500 t/mn
Double
alternateur
bis-rotor
identiques
x = x’
0000 t/mn
Couples moteurs
(y = y’) à vide
Rotors
centraux
solidaires
1500 t/mn
Moteur
bis-rotor
1500 t/mn
couple = y
1500 t/mn
Moteur
bis-rotor
3000 t/mn
couple = y'
Différentiels
de rotation
1500 t/mn
En charge : Raisonnement basé sur les effets avérés de la réactance d’induit.
Le couple de
la réactance
d’induit
s’oppose au
différentiel de
rotation
Report des effets
de la réactance
d’induit sur les
moteurs bis-rotors.
Le couple de
la réactance
d’induit
s’oppose au
différentiel de
rotation
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Première hypothèse : Résultats des effets de la réactance d’induit sur les moteurs bis-rotor.
Les effets de la réactance d’induit se neutralisent sur les parties communes
et solidaires aux deux alternateurs bis-rotors.
Les effets de la réactance d’induit se neutralisent sur les rotors solidaires
des moteurs. En favorisant la rotation du rotor interne du moteur tournant à
3000 t/mn et en s’opposant à la rotation du rotor interne du moteur
tournant à 1500 t/mn.
Les effets de la réactance
d’induit se neutralisent sur les
deux rotors centraux solidaires
des moteurs bis rotors.
Ce résultat des effets de la
réactance d’induit est incorrect, car
il y a une interaction aux effets avec
l’énergie apportée aux moteurs
Deuxième hypothèse : Résultats des effets de la réactance d’induit sur les moteurs bis-rotor.
Les effets de la réactance
d’induit s’auto-neutralisent.
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Troisième hypothèse : Résultats des effets de la réactance d’induit sur les moteurs bis-rotor.
La neutralisation des effets de la réactance
d’induit est incorrecte, car le couple moteur à
vide est inférieur à la réactance d’induit.
Je pense avoir réussi dans cette configuration, en respectant la réaction, à rendre inefficace ses
effets d'opposition à l'action.
Paradoxe théorique : La puissance à vide suffit à maintenir le différentiel de rotations, donc ΔФ et
Δt, quand les alternateurs bis rotors sont en charge.
La réactance d’induit est toujours présente, car sans réactance d’induit pas de courant induit. C’est
uniquement son effet, le couple antagoniste à la rotation, qui est neutralisée ou s’auto-neutralise.
Le principe de la thermodynamique est respecté :
Dans le générateur électrique : [Puissance absorbée(Pa) – pertes(p)]=0
A l’extérieure du générateur électrique : [Puissance utilisée(Pu) – Puissance(s) transformée(s) (Pt)]=0
Le seul inconvénient est que cela perturbe nos références.
Il est important de bien comprendre, que c’est Pt qui déséquilibre et engendre Pu. Ensuite c’est Pu qui
induit la réaction, sans lui apporter de l’énergie, et que Pt est égal et opposé à Pu. Le principe de la
thermodynamique est respecté comme dans tous les cas classiques d’apport ou de soustraction
d’énergie créant un déséquilibre que les lois de la physique tentent de rétablir par réaction. Dans ce
cas c’est Pt qui crée le déséquilibre que Pu tente de rétablir. Tant que Pt reste effectif, Pu cherchera à
s’y opposer avec les conséquences décrites. L’état d’équilibre primaire étant l’état de fonctionnement
à vide de l’alternateur.
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Raisonnement mathématique : Le concept proposé est techniquement réalisable
Conditions requises : Alternateurs en charges
y puissance à vide < x réactance d’induit
y’ puissance à vide < x’ réactance d’induit
y = y’
x = x’
1) Les réactances se neutralisent en neutralisant aussi les couples moteurs :
(x-y) + (-x’+y’)=0 => (x-y-x’-y’) = 0
Ce résultat est conforme au respect de la thermodynamique est les rotations devraient
s’arrêter. Dans ce cas, x = x’ = 0 et (-y-y’)>0 ou (y+y’)>0. Les rotations devraient
donc être effectives.
2) Si il y a une auto régulation des rotations, x et x’ sont effectifs. Hors y+y’ représentent la
puissance à vide et ne permettent pas l’existence de x et x’ normalement supérieures.
3) S’il y a une variation cyclique des rotations en recherche d’équilibre. Les réactances x et x’
sont alors effectives bien que y et y’ de valeurs inférieures ne le permettent pas.
4) Si les réactances s’auto-neutralisent, elles ne peuvent pas neutraliser les couples moteurs, y+y’
maintiennent alors ΔФ et Δt, donc Pu. Ce résultat ne respecte pas la loi de la
thermodynamique.
Les quatre hypothèses mènent à un paradoxe.
Ce générateur a besoins d’un apport d’énergie pour fonctionner, qui est la puissance à vide. Il n’est en
rien comparable au mouvement perpétuel qui est une utopie, car rien n’est perpétuel.
Je n’ai exposé qu’une théorie logique basée sur des faits avérés dans les machines actuelles. Il reste
l’expérimentation de ce paradoxe.
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