Quelle prise en charge infirmière du diabète de type 2 chez les
personnes atteintes de schizophrénie ?
AMADOU DJOGO BAH
Étudiant Bachelor – Filière Soins infirmiers
Directrice de travail :
ANNE FRANÇOISE PIRLET
TRAVAIL DE BACHELOR DÉPOSÉ ET SOUTENU A LAUSANNE EN 2016 EN VUE DE
L’OBTENTION D’UN BACHELOR OF SCIENCE HES-SO EN SOINS INFIRMIERS
Haute Ecole de Santé Vaud
Filière Soins infirmiers
Résumé
Titre :
Quelle prise en charge infirmière du diabète de type 2 chez les personnes atteintes de
schizophrénie ?
Problème :
Le diabète est considéré depuis quelques années comme un problème majeur de santé
publique et le terme d’épidémie est de plus en plus souvent appliqué au diabète de type 2.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS, 2015) estime le nombre de diabétiques à 347 millions de
personnes dans le monde. Les populations souffrant de troubles psychiatriques, et notamment celles
atteintes de schizophrénie et trouble bipolaire sont fortement exposées au risque de diabète. Cependant,
la stigmatisation par la société, les comportements étranges, le repli social, l’arrêt du traitement,
l’absence de compliance aux soins rendent la prise en charge du diabète particulièrement difficile chez
ces patients.
Méthode :
Ce travail prend la forme d’une revue de littérature. Les bases de données CINAHL et
Medline PubMed ont été essentiellement consulté et dans une moindre mesure, le Journal of Advanced
Nursing et la base de données SantéPsy.
Résultats
: cette revue de littérature démontre que les infirmières en santé mentale doivent faire de la
prise en charge des symptômes de la schizophrénie une priorité, afin de faciliter les auto-soins du diabète
chez les patients atteints de schizophrénie.
Conclusion
: Il apparaît dans les résultats des articles analysés dans cette revue de littérature que ces
patients atteints de schizophrénie ont un risque plus élevé de développer en comparaison à la population
générale. Mais les interventions de promotion de la santé, lorsqu’elles sont incorporées dans la pratique
de la santé mentale, peuvent être efficaces et peuvent améliorer la qualité de vie et le bien-être des
clients.
Mots-clés
: Schizophrénie, diabète, neuroleptiques, prévention, complication.
ii
AVERTISSEMENT
Les prises de position, la rédaction et les conclusions de ce travail n’engagent que la responsabilité de
ses auteurs et en aucun cas celle de la Haute Ecole de Santé Vaud, du Jury ou du Directeur du Travail
de Bachelor.
J’atteste avoir réalisé seul le présent travail, sans avoir utilisé dautres sources que celles indiquées dans
la liste de références.
Juillet 2016, Amadou Djogo Bah
iii
Remerciements
Je tiens à adresser mes remerciements aux personnes qui m’ont offert l’opportunité de réaliser ce travail
de Bachelor.
Je souhaite remercier l’équipe des enseignants de HESAV qui mont permis d’acquérir les
connaissances et la posture professionnelle nécessaire à la rédaction de ce travail. Ma reconnaissance
va tout particulièrement à Mme Anne Françoise PIRLET, ma directrice de Travail de Bachelor qui m’a
suivie dans l’élaboration de ce travail, mais également à Mme Catherine BIGONI pour ses conseils.
Mes remerciements vont également à ma famille et amis, pour leur aide et conseils, ainsi et surtout pour
leur patience, que cela soit pour ce travail, comme tout au long de ma formation.
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