
50 Spécifi que – Partie 2 Temps, mouvement et évolution
ACTIVITÉ 3
Référentiel et principe d’inertie p. 132
1. La balle suspendue.
2. a. Dans un référentiel lié à la voiture. On l’appellera
le référentiel voiture.
b. Par rapport à la route par exemple. C’est le référen-
tiel terrestre.
3. a. À l’aide du diagramme objets-actions, les actions
mécaniques s’exerçant sur la balle sont l’action de la
Terre et l’action du fil.
Balle
Fil
Terre
b.
4. Dans le référentiel voiture, la balle est immobile ; dans
le référentiel terrestre, elle est animée d’un mouvement
rectiligne uniforme. Le principe d’inertie est donc véri-
fié dans ces deux référentiels, les actions mécaniques
qui s’exercent sur la balle se compensent.
5. Dans le référentiel voiture.
6. Les actions mécaniques sont les mêmes, mais comme
le fil est incliné, le schéma des forces est le suivant :
dF fil/balle
dF Terre/balle
a
7. Non puisque les actions mécaniques ne se compen-
sent pas même si la balle est au repos.
8. a. La vitesse augmente de 90 km · h-1 soit 25 m · s-1
en 10 secondes. La variation de vitesse est :
Dv/Dt = 25/10 = 2,5 m · s-2.
dF fil/balle
dF Terre/balle
3. a. Elle est de 900 5 km · h-1, tout dépend du sens
dans lequel la personne se déplace avec sa tasse de thé
dans l’avion.
b. Le périmètre de l’orbite terrestre est :
2pR = 2p ¥ 150 ¥ 106 = 9,42 ¥ 108 km.
Il correspond à la distance parcourue en un an, soit :
3,15 ¥ 107 s.
La vitesse est donc v = 9,42 ¥ 108/(3,15 ¥ 107) ª 30 km · s-1.
4. a. Une balle que l’on fait rebondir dans l’avion.
b. Le référentiel avion et le référentiel terrestre.
5. La trajectoire de la balle est modifiée.
6. Trajectoire et vitesse, qui caractérisent le mouve-
ment, sont différentes d’un référentiel à l’autre. Il faut
donc toujours préciser quel est le référentiel d’étude.
ACTIVITÉ 2
Looping et accélération p. 131
1. a. et b. Pour obtenir la trajectoire, il faut relier les points.
Les points 0 à 10 sont alignés, la trajectoire est rectiligne.
Des points 11 à 20, la trajectoire s’incurve, elle est cur-
viligne. Elle se termine des points 21 à 29 par une por-
tion de cercle, elle est alors circulaire.
2. a. Le vecteur vitesse est dans le sens du mouvement
et il a pour direction la tangente à la trajectoire.
b. Des points 0 à 6, le vecteur vitesse augmente, le
mouvement est rectiligne accéléré. Jusqu’au point 10,
ce vecteur est constant, le mouvement est rectiligne
uniforme. Des points 11 à 20, le vecteur vitesse aug-
mente, le mouvement est curviligne accéléré. Il va
ensuite diminuer petit à petit, le mouvement devient
circulaire ralenti. Des points 22 à 25, la vitesse semble
constante, le mouvement est alors circulaire uniforme.
3. a. Le vecteur accélération diminue en grandeur
jusqu’au point 4, il est sur la trajectoire et dans le sens
du mouvement. Il devient nul par la suite.
b. Le vecteur accélération augmente jusqu’à la position
18. Il diminue ensuite, tout en restant toujours orienté
vers l’intérieur de la trajectoire.
L’angle formé entre les deux vecteurs est inférieur à 90°
quand le mobile accélère, il devient égal à 90° si l’ac-
célération est constante et est supérieur à 90° quand
le système ralentit.
4. Les deux vecteurs vitesse et accélération permettent
par leur caractéristiques de décrire un mouvement. S’ils
sont colinéaires, la trajectoire est rectiligne, le sens du vec-
teur accélération par rapport au vecteur vitesse permet de
savoir si le mouvement est accéléré ou ralenti. Si le vecteur
accélération est nul, le mouvement est rectiligne uniforme.
Si les deux vecteurs ne sont pas colinéaires, le mouve-
ment est curviligne (ou circulaire). L’angle alors formé
entre les deux vecteurs permet de savoir si le mouve-
ment est accéléré, uniforme ou ralenti.
04732977_.indb 50 27/07/12 10:50