Le Mythe de l’origine de notre vie Un mythe est un récit qui se veut explicatif et parfois fondateur d'une pratique sociale. Il est porté à l'origine par une tradition orale, c’est-à-dire une « information », qui propose une explication pour certains aspects fondamentaux du monde et de la société qui a forgé ou qui véhicule ces mythes : Allégorie philosophique [Philosophie]. Ex Le mythe de la caverne1). Synonyme allégorie Anglais myth - la création du monde (cosmogonie) ; le statut de l'être humain, et notamment ses rapports avec le divin, avec la nature, avec les autres individus (d'un autre sexe, d'un autre groupe), etc. ; la genèse d'une société humaine et ses relations avec les autres sociétés. La science nous explique que l’Univers est né du Big Bang, une sorte d’explosion gigantesque, mystérieuse en ellemême, provenant « d’un espace vide infiniment petit possédant une énergie infiniment puissante» sur les confins de notre Univers, situé à 13,7 milliards d’années-lumière, la distance qui correspond à l’âge de l’Univers. Or, quelle que soit leur puissance, les télescopes butent et buteront toujours sur un « horizon cosmologique » situé à exactement 13,7 milliards d’années-lumière. Notre regard ne peut en effet porter plus loin que le plus ancien et le plus lointain signal émis par la lumière, qui voyage à 300.000 km/s. Le cosmos s’étend probablement au-delà de cette limite, mais nous ne pourrons jamais l’observer. Ce qui s’est donc passé « aux confins de notre univers » et que nous pouvons nous imaginer assis confortablement chez nous…..mais comme il n’y avait pas encore d’Univers à l’époque, et donc « pas de chez nous » !!!! ceci nous élargit l’esprit et nos pensées, vers la Non-existence possible de l’univers. Notre « Mythe » va donc pouvoir commencer son récit précisément dans « L’AU-DELÀ du cosmos » que l’information dont nous disposons désigne sous de nombreux vocables remontant aux plus anciennes habitudes, traditions et croyances, dont entre autres : le Paradis, l’Au-delà, Dieu, le Père, le Fils, le Saint-Esprit, le Divin ou la Divinité, le Ciel, le séjour des âmes des morts….et toutes les traductions ou concepts différents de multiples religions, mais reflétant des sens ou contenus généralement comparables. Selon nos informations parfois savantes, il semblerait que Dieu « à un certain moment » eut une sorte de prise de conscience et créa LE FILS (dénommé aussi Christ) dans son sens COLLECTIF, c’est-à-dire « LA TOTALITÉ DES FILS DE Dieu » (à ce niveau tout se passe sous une forme que nous » sur terre » nous ne pouvons même pas nous imaginer mais que nous décrivons comme énergétique, alors qu’il s’agit de « créature divines », chacune avec sa propre identité mais sans corps physique qui serait alors le signe de la dualité). Et, parmi les « Fils de Dieu », un nombre « X » d’entre-eux ont désiré faire l’expérience de la matière : une telle idée conçue se matérialisa immédiatement sous la forme du « BIGBANG ». Ils furent donc entrainé vers leur désir, la matière en création elle aussi, ….qui allait mettre 100 millions d’années (selon la Science) pour former l’univers que nous connaissons. Cette création a donc été celle des idées des Fils de Dieu. Selon les informations, nous nous sommes incarnés dans la matière sous la forme de petites boules, de sortes de graines, qui au cours des siècles puis des millénaires ont connu une évolution et une formation lente et très détaillée de chacune des caractéristiques qui, plus tard, se manifesteront chez les être humain que nous connaissons. Pendant la période de l’Atlantide (ouest des Amériques) et de la Lémurie (Extrême-Orient) , qui a précédé la nôtre de quelques dizaines de milliers d’années, nous avons beaucoup ressemblé physiquement au système végétal qui nous entoujrait et qui lui aussi évoluait. Les nations de l’époque fonctionnaient de manière fondamentalement différentes de celles qui ont existé depuis les civilisations égyptiennes jusqu’à aujourd’hui. Selon les informations, on peut rappeler que ces deux anciens empires avaient une technologie beaucoup plus avancée et totalement propre (à l’exception peut-être de la bombe atomique) , que la nôtre actuellement, ce qui ne les a pas empêché de se faire une guerre à outrance qui les détruisit tous les deux…..mais dont les derniers survivants, des savants de très, très haut niveau, se sont réfugiés dans les fameuses pyramides d’Égypte qu’ils avaient construites. Nous tous, donc, tant que nous sommes, sont des fils de Dieu, des Êtres divins, en train de faire l’expérience de la vie dans la matière en évolution….extrêmement différente et bien plus compliquée et difficile….mais avec ce que nous croyons ici-bas, de nombreux avantages….dont nous avons aussi fait l’expérience!? Raison pour laquelle nous ne devrions jamais porter de jugement critique sur nos frères….puisque nous sommes tous des frères semblables les uns aux autres, malgré les apparences, tous des « Christ » en promenade dans la vie. 1) Plátôn, né à Athènes en 428/427 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C.) est un philosophe de la Grèce antique, contemporain de .Socrate. 9 (il y a près de 2500 ans!). Selon toute vraisemblance, ce texte faisait partie des enseignements pythagoriciens et aurait été acheté par Platon à l'un des derniers philosophes de l'école pythagoricienne décimée, le philosophe Philolaos de Crotone6. À l'époque de Platon, Athènes est sur le déclin. Le siècle de Périclès est passé, et la cité voit son modèle démocratique perverti. On peut lire le texte de Platon comme une critique de sa propre cité, dont il stigmatise les défauts. Platon évoque le monde illusoire dans lequel vivent les citoyens de l'Athènes antique. Cette démocratie ne le satisfait pas depuis la condamnation et la mort de Socrate et la persécution de Pythagore. Mais il était alors dangereux de citer le Maître de l'école pythagoricienne qui avait été décimée et dispersée. Pythagore aurait vécu dans une grotte, où se réunissaient vingt-huit disciples : elle évoque la caverne de son maître Phérécyde. (…).Porphyre rappellera que pour les pythagoriciens la grotte symbolise le monde réel.