APPROCHE DIAGNOSTIQUE DES TUMEURS ET PSEUDO- TUMEURS DE LA PATELLA Etienne Pluot

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APPROCHE DIAGNOSTIQUE
DES TUMEURS ET PSEUDOTUMEURS DE LA PATELLA
Etienne Pluot
SL James, AM Davies,
J Rousseau, A Feydy, JL Drapé
Radiologie B, Hôpital Cochin, Paris
Royal Orthopaedic Hospital, Birmingham, UK
JFR 2010
Objectifs pédagogiques
• Connaître l’épidémiologie des tumeurs et
pseudo-tumeurs de la patella
• Reconnaître les caractéristiques et l’apport
de chaque modalité d’imagerie pouvant
orienter vers un diagnostic histologique
probable
• Être capable d’intégrer les données de
l’imagerie dans un contexte clinicobiologico-iconographique afin d’orienter le
diagnostic
PLAN
• Particularités anatomiques de la patella
• Panorama des lésions : cas cliniques
– Pseudo-tumeurs
– Tumeurs bénignes
– Tumeurs malignes
• Quels éléments exploiter pour proposer
un diagnostic histologique probable ?
ANATOMIE
• Patella = os sésamoïde constant
• Inclus dans le tendon quadricipital
ANATOMIE
• Patella = os sésamoïde constant
• Inclus dans le tendon quadricipital
• Absence de véritable périoste
• « Manchon fibreux » = expansion
aponévrotique du Rectus Femoris
ANATOMIE
• Patella = os sésamoïde constant
• Inclus dans le tendon quadricipital
• Absence de véritable périoste
• « Manchon fibreux » = expansion
aponévrotique du Rectus Femoris
réaction périostée impossible
ANATOMIE
• Patella = os sésamoïde constant
• Inclus dans le tendon quadricipital
• Absence de véritable périoste
• « Manchon fibreux » = expansion
aponévrotique du Rectus Femoris
réaction périostée impossible
• Vascularisation par un réseau artériel
anastomotique extra et intra-osseux
Scapinelli R.
J Bone Joint Surg Br.
1967 Aug;49(3):563-70.
• Anneau anastomotique extra-osseux
• Réseau intra-osseux
– 2/3 inf antérieurs : 10-15 foramen, perforantes
– Polaires inférieures
Scapinelli R.
J Bone Joint Surg Br.
1967 Aug;49(3):563-70.
• Vascularisation précaire
• Faible fréquence des métastases à la
patella
CAS CLINIQUES
PSEUDO-TUMEURS
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
• 7 ans
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
• 7 ans
• CRP
élevée
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
• 7 ans
• CRP
élevée
• Ostéomyélite
OSTÉOMYÉLITE
• 5-15 ans +++ : hypervascularisation
avant ossification ≠ adulte
• Adulte immunodéprimé
• S. Aureus, très rarement tuberculose
• Extension articulaire rare
• Lacune +/- bien limitée, petite taille
• IRM –TDM :
– Visualiser la lésion ( petite taille)
– Extension
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
• 15 ans
PSEUDO-TUMEURS
T2
T1
T2
T1
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
• 15 ans
PSEUDO-TUMEURS
T2
T1
T2
T1
• Gonalgie
antérieure
• Raideur
• 15 ans
• Niveaux
liquideliquide
PSEUDO-TUMEURS
T2
T1
T2
T1
• Kyste
osseux
anévrysmal
KYSTE OSSEUX ANÉVRYSMAL
•
•
•
•
80 % avant 20 ans
10 % des lésions patellaires
20 % des pseudo-tumeurs patellaires
Niveaux liquide-liquide évocateurs +++
KYSTE OSSEUX ANÉVRYSMAL
•
•
•
•
80 % avant 20 ans
10 % des lésions patellaires
20 % des pseudo-tumeurs patellaires
Niveaux liquide-liquide évocateurs +++
KYSTE OSSEUX ANÉVRYSMAL
•
•
•
•
•
80 % avant 20 ans
10 % des lésions patellaires
20 % des pseudo-tumeurs patellaires
Niveaux liquide-liquide évocateurs +++
Mais non spécifiques !
KYSTE OSSEUX ANÉVRYSMAL
•
•
•
•
•
•
•
80 % avant 20 ans
10 % des lésions patellaires
20 % des pseudo-tumeurs patellaires
Niveaux liquide-liquide évocateurs +++
Mais non spécifiques !
Association possible avec autre tumeur
…bénigne ou maligne, +++ > 20 ans
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 54 ans
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 54 ans
T2 Fat Sat
T1
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 54 ans
T2 Fat Sat
T1
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 54 ans
Pieds de face,
même patient
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 54 ans
Pieds de face,
même patient
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 54 ans
Pieds de face,
même patient
Goutte !
PSEUDO-TUMEURS
• Tophus
goutteux
intrapatellaire
•
•
•
•
•
•
•
TOPHUS GOUTTEUX INTRAPATELLAIRE
Fréquence : pied > cheville > genou
Atteinte patellaire rare
8 % des lésions patellaires
Préférentiellement au pôle supéro-latéral
Ostéolyse +++ masse des parties
molles, +++ calcifications
Survenue possible sur patella bipartite
Fracture pathologique possible
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 60 ans
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 60 ans
T1
T2
T1 Gd +
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 60 ans
• Bilan phosphocalcique perturbé
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 60 ans
• Bilan phosphocalcique perturbé
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 60 ans
• Bilan phosphocalcique perturbé
Aspect en maillot de rugby
des corps vertébraux
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 60 ans
• Bilan phosphocalcique perturbé
Aspect en maillot de rugby
des corps vertébraux
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 60 ans
• Bilan phosphocalcique perturbé
Hyperparathyroidie !
PSEUDO-TUMEURS
• Gonalgie
antérieure
• 60 ans
• Bilan phosphocalcique perturbé
Hyperparathyroidie
Tumeur brune patellaire
PSEUDO-TUMEURS
• Tumeur brune
TUMEUR BRUNE
• Hyperparathyroïdie Iaire / IIaire
• Amas de tissu fibro-vasculaire,
hémorragique, granulome cicatriciel
• Ostéolyse à contours nets
• IRM
– bas signal T1 et T2 : hémosidérine
– +/- ponctuations signal T2 élevé
• +++ contexte clinico-biologique évocateur
• Anomalies radiologiques associées
PSEUDO-TUMEURS PATELLAIRES
• 40 % des lésions patellaires
• Enfant / adulte jeune :
– Ostéomyélite
– Kyste osseux anévrysmal
PSEUDO-TUMEURS PATELLAIRES
• 40 % des lésions patellaires
• Enfant / adulte jeune :
– Ostéomyélite
– Kyste osseux anévrysmal
• Après 40 ans :
– Goutte
– Tumeur brune
PSEUDO-TUMEURS PATELLAIRES
• 40 % des lésions patellaires
• Enfant / adulte jeune :
– Ostéomyélite
– Kyste osseux anévrysmal
• Après 40 ans :
– Goutte
– Tumeur brune
• Autres < 5%
– Ganglion cyst, BPOP ( Nora), Synovite villonodulaire
PSEUDO-TUMEURS PATELLAIRES
• 40 % des lésions patellaires
• Enfant / adulte jeune :
– Ostéomyélite
– Kyste osseux anévrysmal
• Après 40 ans :
– Goutte
– Tumeur brune
• Autres < 5%
– Ganglion cyst, BPOP ( Nora), Synovite villonodulaire
CAS CLINIQUES
TUMEURS BÉNIGNES
TUMEURS BÉNIGNES
• Gonalgie
antérieure
TUMEURS BÉNIGNES
• Gonalgie
antérieure
TUMEURS BÉNIGNES
• Gonalgie
antérieure
• 18 ans
TUMEURS BÉNIGNES
• Gonalgie
antérieure
• 18 ans
• Chondroblastome
CHONDROBLASTOME
• 1-3 % des T osseuses primitives
• 2ème décennie
• Patella : 4-6 % des chondroblastomes
• Radiologiquement :
– Lacune arrondie / polylobée
– contours condensés
– taille 10-35 mm
CHONDROBLASTOME
• TDM
–Atteinte corticale (rare)
–Matrice minéralisée (chondroïde) à
rechercher
• IRM
–Bas signal T1
–Signal T2 variable (minéralisation)
–Niveaux liquide-liquide
TUMEURS BÉNIGNES
• Gonalgie
antérieure
TUMEURS BÉNIGNES
• Gonalgie
antérieure
T1
T2
TUMEURS BÉNIGNES
• Gonalgie
antérieure
• 24 ans
T1
T2
TUMEURS BÉNIGNES
• Gonalgie
antérieure
• 24 ans
T1
T2
?
TUMEURS BÉNIGNES
• Gonalgie
antérieure
Autre patient,
même histologie
T1
• Gonalgie
antérieure
T2
T1
• Gonalgie
antérieure
• 37 ans
T2
T1
• Gonalgie
antérieure
• 37 ans
?
T2
T1
• Gonalgie
antérieure
• 37 ans
• Tumeur à
Cellules
Géantes
T2
TUMEUR À CELLULES GÉANTES
3ème décennie
4-5 % des T.osseuses primitives
<1 % patella
Fracture pathologique fréquente ( 20%)
Métastase pulmonaire possible
+++ si fracture pathologique
• Localement agressive
•
•
•
•
•
– > 75% du volume patellaire
– Destruction corticale
TUMEUR À CELLULES GÉANTES
• Ostéolyse à contours nets / flous
• Destruction corticale, aspect en bulles
de savon
• IRM
– Hypo / isosignal T1
– Hypersignal T2 hétérogène
– Plages de bas signal = hémosidérine
– Niveaux liquide-liquide : kyste anévrysmal
associé?
AUTRES TUMEURS BÉNIGNES
• Kyste osseux essentiel
• Ostéome
• Ostéome ostéoïde
• Ostéoblastome
• Fibrome chondromyxoïde
• Hémangiome
• Lipome
AUTRES TUMEURS BÉNIGNES
• Kyste osseux essentiel
• Ostéome
• Ostéome ostéoïde
• Ostéoblastome
• Fibrome chondromyxoïde
• Hémangiome
• Lipome
Fréquence
nettement
inférieure à
TCG / CB
AUTRES TUMEURS BÉNIGNES
• Kyste osseux essentiel
• Ostéome
• Ostéome ostéoïde
• Ostéoblastome
• Fibrome chondromyxoïde
Fréquence
nettement
inférieure à
TCG / CB
• Hémangiome
• Lipome
50 %
TUMEURS BÉNIGNES
•
•
•
•
24 ans
T1
Gonalgie
Nocturne
Calmée
par
l’aspirine
T2
T1 Gd +
TUMEURS BÉNIGNES
•
•
•
•
24 ans
T1
Gonalgie
Nocturne
Calmée
par
l’aspirine
T2
T1 Gd +
TUMEURS BÉNIGNES
•
•
•
•
24 ans
T1
Gonalgie
Nocturne
Calmée
par
l’aspirine
T2
T1 Gd +
CT
TUMEURS BÉNIGNES
•
•
•
•
24 ans
T1
Gonalgie
Nocturne
Calmée
par
l’aspirine
T2
T1 Gd +
CT
TUMEURS BÉNIGNES
•
•
•
•
24 ans
T1
Gonalgie
Nocturne
Calmée
par
l’aspirine
• Ostéome
ostéoïde
T2
T1 Gd +
CT
CAS CLINIQUES
TUMEURS MALIGNES
TUMEURS MALIGNES
• Gonalgie
TUMEURS MALIGNES
• Gonalgie
TUMEURS MALIGNES
T1
T1 Gd +
T1
T2
TUMEURS MALIGNES
T1
T1 Gd +
T1
T2
Métastase
carcinome
bronchique
TUMEURS MALIGNES
• 15 % des lésions patellaires
• Vascularisation précaire
• Tumeurs primitives plus fréquentes que
métastases !
• T primitives
– Lymphome
– Hémangio-endothéliome
– Ostéosarcome
10 %
• Métastases : 5 %
– KBP, sein, rein, digestif, col, ORL, mélanome
Quels éléments exploiter pour
proposer un diagnostic
histologique probable ?
ÉLÉMENTS D’ORIENTATION
ÉLÉMENTS D’ORIENTATION
• Avant tout…..L’AGE DU PATIENT !!!
ÉLÉMENTS D’ORIENTATION
• Avant tout…..L’AGE DU PATIENT !!!
• Contexte et signes associés
• Antécédents
• Signes cliniques : fièvre, horaire des
douleurs…
• Biologiques : signes inflammatoires,
bilan métabolique
• Radiologiques ( hyperpara, goutte….)
ÉLÉMENTS D’ORIENTATION
OM
KOA
5
AGE DU
PATIENT
(ans)
20
OM
KOA
5
AGE DU
PATIENT
(ans)
CB
20
OM
KOA
5
AGE DU
PATIENT
(ans)
CB
20
TCG
30
OM
KOA
5
AGE DU
PATIENT
(ans)
CB
TCG
T. Brune
Tophus
20
30
40
BÉNIN
OM
KOA
5
AGE DU
PATIENT
(ans)
CB
TCG
T. Brune
Tophus
20
30
40
BÉNIN
OM
KOA
5
AGE DU
PATIENT
(ans)
CB
TCG
T. Brune
Tophus
20
30
40
Lymphome
Sarcome
Métastase
BÉNIN
OM
KOA
5
AGE DU
PATIENT
(ans)
CB
TCG
T. Brune
Tophus
20
30
MALIN
40
Lymphome
Sarcome
Métastase
LÉSIONS PATELLAIRES : RÉSUMÉ
• Rarissimes : 0,12% des tumeurs
osseuses
• 85 % pseudo-tumeurs et tumeurs
bénignes
• 15 % tumeurs malignes
• Imagerie peu spécifique :
– Petite taille
– Absence de réaction périostée
LÉSIONS PATELLAIRES : RÉSUMÉ
• Rarissimes : 0,12% des tumeurs
osseuses
• 85 % pseudo-tumeurs et tumeurs
bénignes
• 15 % tumeurs malignes
• Imagerie peu spécifique :
– Petite taille
– Absence de réaction périostée
LÉSIONS PATELLAIRES : RÉSUMÉ
• Rarissimes : 0,12% des tumeurs
osseuses
• 85 % pseudo-tumeurs et tumeurs
bénignes
• 15 % tumeurs malignes
• Imagerie peu spécifique :
– Petite taille
– Absence de réaction périostée
LÉSIONS PATELLAIRES : RÉSUMÉ
• Rarissimes : 0,12% des tumeurs
osseuses
• 85 % pseudo-tumeurs et tumeurs
bénignes
• 15 % tumeurs malignes
• Imagerie peu spécifique :
– Petite taille
– Absence de réaction périostée
LÉSIONS PATELLAIRES : RÉSUMÉ
• Rarissimes : 0,12% des tumeurs
osseuses
• 85 % pseudo-tumeurs et tumeurs
bénignes
• 15 % tumeurs malignes
• Imagerie peu spécifique :
– Petite taille
– Absence de réaction périostée
LÉSIONS PATELLAIRES : RÉSUMÉ
• Rarissimes : 0,12% des tumeurs
osseuses
• 85 % pseudo-tumeurs et tumeurs
bénignes
• 15 % tumeurs malignes
• Imagerie peu spécifique :
– Petite taille
– Absence de réaction périostée
• Importance du contexte
LÉSIONS PATELLAIRES : RÉSUMÉ
• 3 lésions les + fréquentes
– Chondroblastome
– TCG
– Kyste osseux anévrysmal
• 5 -15 ans : évoquer l’ostéomyélite
• Après 40 ans
– T malignes primitives / secondaires
– Tophus goutteux intra-osseux
Et pour
aller plus
loin…
Et pour
aller plus
loin…
[email protected]
QCM 1
•
Quelles propositions sont vraies ?
1. les tumeurs patellaires malignes sont les plus
fréquentes
2. le type de réaction périostée témoigne de
l’agressivité d’une lésion patellaire
3. le kyste osseux anévrysmal est évoqué devant
des niveaux liquide-liquide à l’IRM
4. les infections sont la 1ère cause d’ostéolyse
patellaire chez l’adulte
5. les lésions tumorales patellaires sont fréquentes
QCM 2
•
Quelles sont les 3 tumeurs /
pseudo-tumeurs patellaires les plus
fréquentes ?
1. Kyste osseux anévrysmal
2. Chondroblastome
3. Tumeur à cellules géantes
4. Tophus goutteux
5. Ostéomyélite
QCM 3
•
Citer les éléments qui orientent vers
un diagnostic histologique probable
d’une lésion patellaire patellaire
1. type de réaction périostée
2. âge du patient
3. bilan phospho-calcique
4. antécedents et contexte clinique
5. rupture corticale
QCM 1
•
Quelles propositions sont vraies ?
1. les tumeurs patellaires malignes sont les plus
fréquentes
2. le type de réaction périostée témoigne de
l’agressivité d’une lésion patellaire
3. le kyste osseux anévrysmal est évoqué devant
des niveaux liquide-liquide à l’IRM
4. les infections sont la 1ère cause d’ostéolyse
patellaire chez l’adulte
5. les lésions tumorales patellaires sont rares
QCM 2
•
Quelles sont les 3 tumeurs /
pseudo-tumeurs patellaires les plus
fréquentes ?
1. Kyste osseux anévrysmal
2. Chondroblastome
3. Tumeur à cellules géantes
4. Tophus goutteux
5. Ostéomyélite
QCM 3
•
Citer les éléments qui orientent vers
un diagnostic histologique probable
d’une lésion patellaire patellaire
1. type de réaction périostée
2. âge du patient
3. bilan phospho-calcique
4. antécedents et contexte clinique
5. rupture corticale
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