Correspondances en Métabolismes Hormones Diabètes et Nutrition - Vol. XVII - n° 4 - avril 2013
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Éditorial
POUR LES PATIENTS DIABÉTIQUES DE TYPE 2
Traitement du diabète de type 2 : En complément du régime alimentaire et de l’exercice physique : • chez
les patients insuffisamment contrôlés par metformine seule à la dose maximale tolérée ou déjà traités par
l’association sitagliptine/metformine. • En association à un sulfamide hypoglycémiant quand l’association
metformine/sulfamide hypoglycémiant aux doses maximales tolérées ne permet pas d’obtenir un contrôle
adéquat de la glycémie. • En association à l’insuline lorsque l’insuline et la metformine, seules, à doses
stables, ne permettent pas d’obtenir un contrôle adéquat de la glycémie.
VELMETIA 50 mg/1 000 mg, comprimés pelliculés. COMPOSITION* FORME PHARMACEUTIQUE* INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES : Chez les patients diabétiques de type 2, Velmetia est indiqué pour améliorer le contrôle de la glycémie, en
complément du régime alimentaire et de l’exercice physique : • chez les patients insuffisamment contrôlés par la metformine seule à la dose maximale tolérée ou chez les patients déjà traités par l’association sitagliptine/metformine. • en association
à un sulfamide hypoglycémiant (trithérapie) lorsque les doses maximales tolérées de metformine et de sulfamide ne permettent pas d’obtenir un contrôle adéquat de la glycémie. • en trithérapie avec un agoniste des récepteurs activateurs de la
prolifération des peroxysomes gamma (PPARγ) (thiazolidinedione) lorsque les doses maximales tolérées de metformine et de l’agoniste des récepteurs PPARγ ne permettent pas d’obtenir un contrôle adéquat de la glycémie. • en addition à l’insuline
(trithérapie) lorsque l’insuline et la metformine, seules, à doses stables, ne permettent pas d’obtenir un contrôle adéquat de la glycémie. POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION* : Dose maximale quotidienne de 100 mg de sitagliptine.
2 prises par jour au cours des repas. Velmetia n’est pas recommandé chez l’enfant de moins de 18 ans. CONTRE-INDICATIONS : - hypersensibilité aux substances actives ou à l’un des excipients ; - acidocétose diabétique, précoma diabétique ;
- insuffisance rénale modérée ou sévère (clairance de la créatinine < 60 ml/mn) ; - affections aiguës susceptibles d’altérer la fonction rénale, tels que : déshydratation, infection grave, choc, administration intravasculaire de produits de contraste iodés -
maladies aiguës ou chroniques pouvant provoquer une hypoxie tissulaire telles que : insuffisance cardiaque ou respiratoire, infarctus du myocarde récent, choc ; - insuffisance hépatique ; - intoxication éthylique aiguë, alcoolisme ; - allaitement. MISES
EN GARDE SPÉCIALES ET PRÉCAUTIONS D’EMPLOI* : Pancréatites Depuis la commercialisation, des effets indésirables à type de pancréatite aiguë ont été spontanément rapportés. En cas de suspicion de pancréatite, Velmetia sera arrêté ainsi
que les autres médicaments potentiellement suspects. Acidose lactique ; Fonction rénale ; Hypoglycémie ; Réactions d’hypersensibilité; Interventions chirurgicales; Administration de produits de contraste iodés; Modification
de l’état clinique : chez les patients dont le diabète de type 2 était préalablement équilibré. INTERACTIONS AVEC D’AUTRES MÉDICAMENTS ET AUTRES FORMES D’INTERACTIONS* FÉCONDITÉ, GROSSESSE ET ALLAITEMENT* :
Velmetia ne doit pas être utilisé au cours de la grossesse, ni pendant l’allaitement. EFFETS SUR L’APTITUDE À CONDUIRE DES VÉHICULES ET À UTILISER DES MACHINES* : Des étourdissements et une somnolence ont été rapportés avec
la sitagliptine. EFFETS INDÉSIRABLES* : Fréquence des effets indésirables dans les études cliniques versus placébo et depuis la commercialisation; - Très fréquent (≥1/10): hypoglycémies ; - Fréquent (≥1/100, <1/10): hypoglycémies, nausées,
flatulence, constipation, vomissements, œdème périphérique ; Fréquence indéterminée : réactions d’hypersensibilité, maladie interstitielle pulmonaire, vomissements, pancréatite aiguë, pancréatite hémorragique et fatale et non fatale, angio-œdème,
éruption cutanée, urticaire, vascularite cutanée, lésions exfoliatives, arthralgie, myalgie, douleurs des extrémités, douleur dorsale, altération de la fonction rénale, insuffisance rénale aiguë. SURDOSAGE* PROPRIÉTÉS PHARMACODYNAMIQUES*
PROPRIÉTÉS PHARMACOCINÉTIQUES* DONNÉES DE SÉCURITÉ PRÉCLINIQUE* DURÉE DE CONSERVATION* PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES DE CONSERVATION* NATURE ET CONTENU DE L’EMBALLAGE EXTÉRIEUR*
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES D’ÉLIMINATION* TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ : Merck Sharp & Dohme Ltd. Hertford Road, Hoddesdon Hertfordshire EN11 9BU Royaume-Uni. PRÉSENTATION (S)
ET NUMÉRO (S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ : EU/1/08/456/010, Velmetia 50 mg/1 000 mg, comprimés pelliculés, boîte de 56. CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DÉLIVRANCE : Liste 1. Médicament soumis à
prescription médicale. Remb. Séc. Soc. à 65 % dans les seules indications : - chez les patients insuffisamment contrôlés par la metformine seule à la dose maximale tolérée ou chez les patients déjà traités par l’association sitagliptine/metformine :
- en association à un sulfamide hypoglycémiant (trithérapie) lorsque les doses maximales tolérées de metformine et de sulfamide ne permettent pas d’obtenir un contrôle adéquat de la glycémie. - en association à l’insuline lorsque l’insuline et
la metformine, seules, à doses stables, ne permettent pas d’obtenir un contrôle adéquat de la glycémie. Code CIP : 3400938677973 Velmetia 50 mg/1 000 mg,
comprimés pelliculés (boîte de 56). Prix 44,00 €. CTJ = 1,57 €. DATE DE PREMIÈRE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION :
16 juillet 2008. DATE DE MISE À JOUR DU TEXTE : 18 décembre 2012. PIERRE FABRE MÉDICAMENT - 45 Place Abel-Gance 92 100 BOULOGNE CEDEX
- Info. Médic. : 0 800 950 564 (n°vert, appel gratuit depuis un poste fixe) - Pharmacovigilance : Tél. 01 49 10 96 18. VERSION ML : V6.
* Pour une information complète, veuillez consulter le RCP disponible sur le site internet de l’ANSM : www.ansm.sante.fr ou sur le site internet de l’Agence européenne du médicament : http://
www.ema.europa.eu/.
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médicamenteuse du contrôle glycémique du
diabète de type 2 recommandée par la HAS
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Attention, ceci est un compte-rendu de congrès et/ou un recueil de résumés de communications de congrès dont l’objectif est de fournir des informations sur l’état
actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités de santé françaises et ne doivent donc pas être mises
en pratique. Ces informations sont sous la seule responsabilité des auteurs. Le contenu est sous la seule responsabilité du coordonnateur, des auteurs et du directeur
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DE L’ENDO 2013
San Francisco, 15-18 juin 2013
San Francisco, 15-18 juin 2013
San Francisco, 15-18 juin 2013
San Francisco, 15-18 juin 2013
Coordonnateur:
Pr Gérald Raverot
Rédacteurs:
Pr Françoise Borson-Chazot / Dr Corinne Langrand
Pr Bertrand Cariou / Dr Le Bras Maëlle
Pr Olivier Chabre / Dr Sandra Larcher
Pr Hervé Lefebvre / Dr Lucile Moreau
Pr Jean-Louis Wemeau / Dr Stéphanie Espiard
Le cerveau, centre d’intégration des informations
sensorielles et source des réponses adaptées, est une
cible privilégiée de l’alcool. L’intoxication éthylique
modifie l’équilibre veille-sommeil, les performances
intellectuelles et nombre de sécrétions hormonales
placées sous le contrôle des noyaux neuronaux de
l’hypothalamus endocrine. L’alcool modifie également
l’organisation temporelle de nombreuses sécrétions
endocriniennes. L’article de Thierry Danel plonge le
lecteur dans cet univers des répercussions nombreuses
et variées de l’apport aigu ou chronique d’alcool sur
les rythmes de la sécrétion hormonale. Les exemples
choisis – la mélatonine, dont la sécrétion est modu-
lée par l’alternance lumière/obscurité, les sécrétions
corticotrope et thyréotrope placées toutes deux sous
contrôle hypothalamique – illustrent l’impact de l’alcool
sur les centres géniteurs des rythmes de la sécrétion
endocrine et les répercussions potentielles en patho-
logie. Ces conséquences sur les rythmes sécrétoires
s’étendent également à la sécrétion gonadotrope.
Outre la fréquence accrue de la cryptorchidie chez le
garçon né de mère consommatrice d’alcool pendant la
grossesse, l’intoxication éthylique est connue pour être
responsable d’une inertie gonadotrope et pour exer-
cer un eet toxique direct sur le testicule. Un tableau
d’hypogonadisme hypogonadotrope résulte de la
combinaison de ses eets centraux et périphériques.
Les différents volets de ce dossier, qui permettent
d’aborder les conséquences néfastes de l’alcool aux
diérents stades de la vie (période fœtale, phase pédia-
trique et stade adulte), apportent au lecteur de nom-
breux éclairages sur une problématique complexe et
dont la prise en charge nécessite des compétences
spécifiques. ■
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