2
Height, weight, and waist circumference (WC) were measured in the clinic. PA was assessed with a validated
self-report instrument. The combined associations between PA, BMI, and WC with mortality were examined
with Cox proportional hazards models, stratified by center and age group, and adjusted for sex, education,
smoking, and alcohol intake. Center-specific PAF associated with inactivity, body mass index (BMI; in kg/m2)
(>30), and WC (≥102 cm for men, ≥88 cm for women) were calculated and combined in random-effects meta-
analysis. Life-tables analyses were used to estimate gains in life expectancy for the exposures. Results :
Significant interactions (PA × BMI and PA × WC) were observed, so HRs were estimated within BMI and WC
strata. The hazards of all-cause mortality were reduced by 16–30% in moderately inactive individuals compared
with those categorized as inactive in different strata of BMI and WC. Avoiding all inactivity would theoretically
reduce all-cause mortality by 7.35% (95% CI: 5.88%, 8.83%). Corresponding estimates for avoiding obesity
(BMI >30) were 3.66% (95% CI: 2.30%, 5.01%). The estimates for avoiding high WC were similar to those for
physical inactivity. Conclusion: The greatest reductions in mortality risk were observed between the 2 lowest
activity groups across levels of general and abdominal adiposity, which suggests that efforts to encourage even
small increases in activity in inactive individuals may be beneficial to public health.
L’InVS évalue l’impact à court terme des particules en suspension sur la mortalité dans 17 villes
françaises dont Lyon
L’Institut de veille sanitaire (InVS) a publié un article sur l’impact à court terme des particules en suspension
(PM10) sur la mortalité dans 17 villes françaises de 2007 à 2010 dont Lyon. Les associations entre les
concentrations en PM10 et la mortalité journalière ont été étudiées dans chaque ville en appliquant un modèle
intégrant des variables environnementales, démographiques et socioéconomiques.
Les résultats montrent que l’effet de la pollution est différé de quelques jours après l’exposition, sauf en été où
l’impact des PM10 est immédiat tant pour la mortalité non accidentelle que pour la mortalité cardiovasculaire.
Concernant la mortalité non accidentelle, les effets observés sont plus importants pour les personnes âgées de
plus de 74 ans.
Selon l’EFSA l’exposition au bisphénol A ne présente pas de risque pour la santé des
consommateurs
La réévaluation complète par l'
Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) de l'exposition au
bisphénol A (BPA) et de sa toxicité a permis de conclure qu’aux niveaux actuels d’exposition (4 µg/kg de
pc/jour), le BPA ne présente pas de risque pour la santé des consommateurs de tous les groupes d'âge (y compris
les enfants à naître, les nourrissons et les adolescents).